- Observatoire, 1914 Une missive envoyée, parchemin imbibé de l’encre verte qui lui est propre, fragment de ce passé où il a fréquenté la noble maison de Salazar Serpentard. Pluton le pacifique, peu investi de cette mission d’éradication de ce carmin embourbé, troublé par l’absence de magie, mais duquel peut émerger des sorciers d’exception. Des preuves de cela, il en pleuvait, pourtant le pouvoir ne veut ni n’accepte d’entendre que ce qui lui plait. Sevda, douce compagnie que Merlin lui a permis de retrouver récemment, sorcière sans pareil, sans pourtant l’ombre d’une pureté éthérée, telle que celle tant convoité de son hémoglobine. Sevda, créature malmenée par l’Inquisition présidée par Grindelwald, agitant les foules, faisant miroiter un monde à des sorciers aigris, éreintés, usés de cette hargne qui embrouille les esprits, même savants.
Pluton soupire, regarde l’horizon, décide pour le moment de se bercer d’illusions, rêve de la capacité de son astre à se délester du sens commun, de cette réalité qui afflige son aîné, créant cette réalité alternative où elle peut s’isoler. Le pouvait, du moins. Palpitant qui tressaute, tumulte causée par l’annonce de fiançailles auxquelles il n’a pas agréé. Colère froide, sourde, regard noir qui consume l’humanité, embrase le monde et ne concède pas, comme à l’accoutumée. Il s’agissait bien d’une première, où Pluton s’est enflammé, perdant pied de cette constante résignation d’être le fils droit, prodige virginal de toute forme de rébellion. Hurlement éploré, venin s’échappant de lippes qui tressautent, perte complète de contrôle.
On avait fiancé l’astre sans l’aviser, lui qu’on avait pourtant mandaté pour la protéger.
Elle devinerait par sa plume le fait qu’il est désarçonné, tétanisé. Volonté d’être fils prodige annihilé par cette vérité révélée qu’on avait offert la main de leur précieuse lune à un forcené, à l’infant Gaunt qui avait déjà enterré une femme, du haut de sa taille d’Elfe de maison et de sa réputation de veuve noire, mari aussi éploré que des pleureuses qu’on aurait engagé.
Le cœur palpite, le cœur saigne, il attend, Pluton, la respiration sifflante, le regard fatigué de cette colère consumée, peu habitué d’être habité d’un sentiment aussi puissant, destructeur de mont et vallée. Il déglutit, se retourne brusquement, pas l’ombre d’un vivant. Il repense au saccage qu’il a causé dans ses quartiers, faisant fuser des sortilèges dégoulinant de magie noir, ne serait-ce que pour faire taire cette agitation au creux de sa poitrine.
Son centre de gravité offert comme trophée. Pluton suffoque, soudainement affolé.
Et alors qu’il peine à respirer, elle se matérialise devant lui, divinité éthérée. Candide demoiselle, descendance Flamel qu’il a vu naître, témoin de ses premiers mots, des premiers pas imprimés sur le sol anglais, satisfait de pouvoir être celui à même de toujours la consoler, étreinte réconfortante, d’une tendresse qu’il ne sut jamais par la suite répétée. Il n’ose pas regarder son annulaire gauche, trop craintif de le voir emprisonné par une promesse d’éternité qui, possiblement, peut rapidement expirer.
Il ouvre la bouche pour parler, tétanisé, pour mieux se décider, Pluton le protecteur, à se précipiter vers elle pour l’enfermer dans des bras qui se veulent protecteur, subrepticement tenté de ne plus jamais la libérer. Ainsi enfin, elle serait efficacement protégée.
« Je m’y suis opposé, Moon, de toutes mes forces. Et pourtant j’ai failli, failli à cette promesse qui date de ce moment où tes billes d’eau se sont ouvertes sur ce monde qui ne te mérite pas, je- qu’il ne parvient pas à terminer, voix tremblotante qui cherche un réconfort vain dans l’effluve familier de la chevelure couleur blé.
Moon Flamel
sans camp
crédits : @Amatis
face claim : ella purnell
pseudo : .psychée
particularité : princesse de son monde, étoile tombée du ciel, anomalie de ce monde douce folie, sacrifice de son sang, magie noire qui la ronge de l'intérieur damnation de ce monde, le noire coule dans ses veines dans son sang, elle en crèvera surement la belle drogué de cette douceur de magie qu'il faudrait qu'elle oublie. (malédiction)
en vie, vivante sous les traits de l'absence cachée aux yeux de tous pour faire naître l'enfant dans le secret de silence perturbant. depuis son retour elle ne cesse de sourire, comme si la vitalité d'orphée avait enveloppé l'enfant dans des draps de bonheur délicat dont elle aimait se vautrer. malheureuse pourtant de ne pouvoir dire mot de devoir cacher encore sa présence dans le monde des vivants, devoir mentir encore alors qu'elle aimerait tellement pouvoir crier sur les toits de Londres qu'elle est là, vivante attendant l'enfant de son frère.. douloureuse pensée qui vient à son esprit candide de voir ce futur père ne pas connaitre l'existence de son enfant et de se laisser faire dans les bras d'une vipère assoiffé de son sang. elle la déteste de tout son être depuis qu'elle a découvert sous les discours d'amos que la lestrange tenter à amadoué son frère pour enfanter. elle s'y refuse la colère qui s'empare de son être, elle ne peut le concevoir qu'il oublit dans d'autres bras l'amour véritable qu'orphée lui apportera. elle soupire passe une main dans ses cheveux de blé avant de se lever, elle s'avance vers la sortie, soupirant fortement de peur de partir. oui, peur de rester ici sous les traits de son fiancé et pourtant peur de partir pour découvrir en la bouche de sa planète le pire. elle soupire prend son courage à deux mains et s'envole dans le lointain.
il est là devant elle, le regard dans le vide les bras ballant réfléchissant surement à comment parler à sa petite sœur qu'il a totalement ignoré, oublié. aucune réponse, n'y d'atlas, n'y de lui quand leurs géniteurs avaient prit la décision de la vendre à l'homme le plus offrant pour s'enquérir de sa main envie vierge de toute alliance. elle soupire, la colère en elle l'avait rongé durant des nuits à se demander pourquoi ils n'avaient pas tout deux passés la porte de la demeure gaunt pour la récupérer et la libéré de cette obligation dont ils étaient suspect. elle avait doucement prit la décision de ne pas leur faire remarquer, espérant secrètement qu'ils viendraient à elle pour s'excuser. elle voulait comprendre, comprendre pourquoi les flamel avaient laissé la jeune femme dans des bras qu'ils ne cautionnaient pas.. elle sourire son regard se posant sur son corps attendant qu'il ne pose son regard sur elle. désespoir instable qui croise leurs prunelles, les remords bien encrés, les secrets durement cachés, le mensonge les enveloppants dans le silence pesant. pourtant pluton brise la distance il s'approche rapidement à elle la prenant fortement dans ses bras, les bas tombant le long de son corps écoutant alors les désespoir de son frère à l'annonce du vole de sa sœur. elle soupire voyant son regard embué de larme non dissimulé. elle ne le supporte pas laissant sa main grimper à son visage d'un doigt faisant fuir l'une des larmes chutant sur ses lèvres. « cela ne devait pas se passer comme cela... » elle soupire fortement avant de saisir doucement ses mains et de plonger son regard dans le sien. elle laisse ses doigts caresser sa peau, douceur dans l'instant ses doigts nuent de toute alliance, amos n'ayant aucunement pris le temps de l'acheter dans le bonne et due forme. « ils ont trouvé un acheteur conséquent pouvant leur offrir fortune et un nom potable pour l'unique enfant de sexe féminin, rien de plus rien de mois.. » elle soupire une larme venant à grimper à sa joue pauvre poupée brisée de n'être qu'un simple objet aux yeux d'un être qu'elle aurait tellement désiré aimer... pourtant il n'en est rien, enfermé dans les bras du monstre qui la fera sienne qui voudra l'enfanter la pauvre vierge. elle tremble doucement à chaque souvenir de sa colère brûlante, elle désespère doucement se sentant crever dans l'instant....
- Observatoire, 1914 Il opine de la tête, ramené à l’ordre par la cadette, des mots qui le percutent de plein fouet, l’asphyxie momentanément. Rien ne se passe comme prévu, le monde des sorciers est percuté par les idéologies d’une minorité enflammée, au détriment de la magie qui s’est insinué dans d’autres carmins que le leur, éthéré. Pluton devrait retourner chaque soir à sa femme, qui ne serait pas fait sacrifiée au nom d’une cause qu’il refuse de cautionner. Si tout se passait comme prévu, c’est à une Orphée rayonnante, peut-être même le ventre rebondi d’une vie qui y prend racine, femme à la douceur infinie qui saurait chasser tourments et soucis d’un battement de cil, d’un sourire espiègle dont elle seule avait le secret. Il parvient à reprendre pied dans le moment présent au contact frais de Moon, dont la voix résonne doucement, suintant de cette réalité crève-cœur contre laquelle il n’a pas su gagner.
« Comment est-il ? » qu’il lui demande, hésitant à vouloir connaître cette vérité qu’il ne peut mettre à jour que lorsque les mots dépassent les lippes de l’infante, qu’il ne peut qu’accueillir comme étant ce nouveau monde dans laquelle leur astre s’est retrouvée coincée contre son gré, dans un mariage qui n’est pas le moins du monde désiré, par eux, fratrie Flamel qui s’efforcent de survivre, au gré des épreuves et des veuvages qui ne font que se multiplier. Il secoue la tête, avant de rectifier « La vraie question derrière cela est comment vas-tu, mon astre? ». Il devine aisément qu’elle s’est retrouvée à la dérive, comète sortie de son orbite. Pourtant, dans ce tumulte, elle est belle comme le jour, sa Lune, et sa beauté tragique n’en est que plus évidente. Il décroche la larme de sa joue, y dépose un baiser en la libérant de son étreinte, craignant l’empêcher de respirer par ce besoin viscéral de la protéger.
« La tirade t’a sans doute déjà été susurrée par Atlas, mais tu n’as qu’un mot à dire, un seul, et il disparait, foi de Flamel » promet-il solennellement, déterminé à protéger cette vertu qu’elle possède, cette lumière unique qui émane de son esprit décalé qui trouve son refuge dans les étoiles, à la Flamel, trouvant quiétude et répit dans le savoir, sans demander son reste. Il sourit faiblement, désigne l’immense télescope se trouvant à proximité « As-tu quelque chose à m’apprendre ce soir, Moon? Peux-tu me présenter ce monde qui a toujours su te captiver? ».
Moon Flamel
sans camp
crédits : @Amatis
face claim : ella purnell
pseudo : .psychée
particularité : princesse de son monde, étoile tombée du ciel, anomalie de ce monde douce folie, sacrifice de son sang, magie noire qui la ronge de l'intérieur damnation de ce monde, le noire coule dans ses veines dans son sang, elle en crèvera surement la belle drogué de cette douceur de magie qu'il faudrait qu'elle oublie. (malédiction)
(ϟϟ) Sujet: Re: planète éplorée - moon Ven 15 Mai - 19:48
c'est la question qui leur brûlent les lèvres; ses frères s'inquiètent. pauvre enfant de la lune offerte au néant achat compulsif d'un homme désirant un enfant. elle soupire se tourne ne préfère pas le regarder, ne désire aucunement en parler, souvenir, instabilité de son regard qui la toise, qui la dévore, pauvre proie dangereuse pulsion dans ses yeux noirs de la détenir pour un soir. elle frisonne passe ses mains le long de ses bras caressant sa peau, les yeux dans le vide, le regard perdu dans le perfide. souvenir de lui qui l'attrape qui la retient qui hurle qui la détient... prisonnière de son être fiancée, vendue enchère imparfaite n'ayant donné aucun avis, pauvre d'elle.. soupire larme qui déboule sur son visage enfantine ne sachant que faire pétrifier à cette simple idée de perdre sa liberté... elle ne le regard plus, jamais, elle ne veut pas, non elle ne veut pas qu'il lise en ses yeux sa détresse sa peur, car elle n'a pas le droit, elle ne doit pas avoir peur elle doit être forte, féroce, puissante et pourtant elle n'est plus que poussière d'étoile parsemé dans l'univers démantelé par des doigts acéré qui tente à trouver sa nuque pour la briser... « il.. » les yeux qui se lèvent au ciel retenant quelques larmes en ses yeux « je voulais simplement être aimé, rencontré quelqu'un qui me face m'envoler qui face sentir mon coeur s'accélérait... perdre doucement pied, ne plus désirer la lune, ne désirer que lui, seulement lui... » murmure qu'elle lance dans l'air« il ne m'aimera jamais, il désir simplement un enfant, un héritier... » elle se tourne vers lui la colère qui grimpe en elle, souvenir d'oprhée qu'il ne peut plus aimer, caché aux yeux de tous, pour lui, et lui qui batifole dans les draps d'une autre, elle qui souffre dans les bras d'un monstre, lui qui s'en fout, elle qui pleure qui hurle tourbillon d'émotion qui implose explose qui la détruit de l'intérieur « j'ai plus rien ! je ne suis plus rien ! j'ai tout perdu toi ! moi ! » accusation qu'il ne peut comprendre car elle sait, elle sait qu'orphée est encore en vie qu'elle porte leur enfant alors que lui se pavane dans d'autre draps, ignorant violemment l'amour oubliant son nom son prénom oubliant ses promesses, ses déclarations dont moon aurait rêvée entendre pour elle... elle est brisée détruite, souffrant de ce manque d'amour, de cet amour qui les fuit qui les meurtrie ! il tente de lui changer les idées de la rassurer mais, elle refuse elle ne veut pas, elle ne veut pas l'écouter « dois-je t'apprendre que coucher avec une catin n'est aucunement de l'amour pluton ? » sa voix résonne dans le silence claquement insistant sur chaque mot, elle sait, elle veut qu'il sache qu'elle sait, elle l'accuse en cet instant de lui avoir fait espérer en l'amour alors que lui à tout oublier, préférant se délaisser dans les bras d'une pauvre pestiférait cherchant simplement un nom et un bébé.
- Observatoire, 1914 Pluton observe l’astre qui devient comète, étoile filante au cœur à prendre, naïade d’une douce naïveté qu’il faut protéger jalousement, car dans un monde aussi sinistre, une lumière comme la sienne finit souvent par se ternir, cessant soudainement d’illuminer le monde gravitant autour d’elle, inexorablement. Les syllabes s’échappent de ses lippes, tremblant de cette décision qu’on lui a imposé, faisant fi des demandes incessantes des frères de l’en épargner. La colère gronde sous son épiderme, courroucé qu’après l’avoir si longtemps délesté de la responsabilité d’être ordinaire, soigneusement protégée contre mer et monde, c’est à un monstre qu’on la commet, étreinte d’un jonc qui semble malédiction à sa fine phalange. Il déglutit, ferme les yeux, incapable de supporter la souffrance qui suinte des mots qui lui sont adressés.
« S’il y a bien une sorcière dans ce bas monde qui peut avoir raison de la folie des Gaunt, car pour ne pas être enivré par l’opportunité d’accéder à ton cœur, c’est toi. Sans toi, mon astre, il est condamné » finit-il par dire, calculant le poids de ses mots, cherchant à éviter de provoquer une réaction trop prompte, voulant égoïstement protéger la jeune femme comme il le peut, constat effarant que ce n’est que pour des futilités. Effort futile, car évidemment elle fulmine, qui peut franchement la blâmer? Grondements sous la surface qu’il connaît trop bien, démons qu’il peine lui-même à tenir à distance, il se sent pourtant rapidement interpelé par la vulgarité suivante, aux antipodes de la douceur de Moon, du moins celle qu’elle leur eut toujours réservé…
« Sans doute est-ce dans l’air que je doive me justifier d’abord à Atlas, puis à toi répond-t-il, pointe d’agacement dans la voix, choqué de la nature de ses propos, abasourdi par l’accusation sous-jacente Penses-tu vraiment que j’ai un cœur à prendre, Moon? As-tu une si faible estime de moi que tu me crois capable de l’offrir à la première venue? Toi qui aspire à aimer plus que tout, ne t’ai-je pas démontré que je me consumé d’amour pour elle, et que j’en meurs un peu plus à chaque instant de ne plus l’avoir à mes côtés? ». Il tente de se tempérer, conscient que les propos de Moon l’attisent, mais qu’elle n’est pas la cause fondée de cette colère qu’il peine à maîtriser. « Les hommes comme les femmes n’ont pas besoin d’aimer pour réchauffer une couche, cela anime inexorablement le corps et l’esprit, mais le cœur peut rester de marbre, c’est cela permet d’en faire le commerce, si jamais cela peut te rassurer ».
Moon Flamel
sans camp
crédits : @Amatis
face claim : ella purnell
pseudo : .psychée
particularité : princesse de son monde, étoile tombée du ciel, anomalie de ce monde douce folie, sacrifice de son sang, magie noire qui la ronge de l'intérieur damnation de ce monde, le noire coule dans ses veines dans son sang, elle en crèvera surement la belle drogué de cette douceur de magie qu'il faudrait qu'elle oublie. (malédiction)
(ϟϟ) Sujet: Re: planète éplorée - moon Ven 22 Mai - 11:58
parsème le vent récolte la tempête, il s'insurge devant elle la lune est pleine, pleine de candeur et de fureur envers son frère. oublier, tout oublier dans les bras de l'infâme se laisser aller et oublier celle qu'il n'aimera plus jamais. la colère grimpe à la planète elle le pousse dans ses retranchement prêt à bondir pour faire couler son sang. elle s'y refuse, refuse de croire qu'il a ainsi tourné toutes les pages du livre avec orphée. non elle s'y refuse elle ne peut y croire sachant que la douce dort à quelques lieux de son cœur mère de leur enfant, obligation de ne rien lui dire de peur de la trahir. elle soupire l'écoute attentivement, justification, peur de la perdre, et pourtant moon ne peut l'écouter comment peut il lui, l'homme qui a aimer se laisser aller dans des draps dont aucun sentiment est né. elle soupire le toise de son regard océan ne désirant aucunement le croire un instant « si le cœur reste de marbre qu'elle importance de souiller des draps ! » elle ne comprend pas, la vierge ne comprend pas. jamais elle ne pourrait partager des draps si son cœur de bat pas. désir charnel qui fond sur lui, foutaise de se laisser aller dans les bras d'une pauvre femme qui jamais ne l'aimerait comme orphée. elle soupire les mots sont dures, froid stable, elle ne tremble pas la gamine certaine de ses propos certaine de ne pas comprendre pourquoi il s'aventure à la nuit tombée dans les bras d'une femme qui se saurait l'animer !
« tu devrais avoir honte pluton ! » elle marque un silence « modèle de l'amour dont je rêve et dont mon cœur ne connaîtra jamais les bienfait car mon fiancé n'est aucunement enclin à m'aimer ! et toi tu te laisses divaguer, oubliant l'amour laissant ton corps se souiller de ses mains non enclin à t'aimer » elle a les lèvres qui tremblent colère qui grimpe de voir ses espoir de romance mener à leur fin « l'amour doit être fort passionné pour se laisser entraîner sinon à quoi bon se laisser désirer ? simplement résister pluton, résister à ses avances a son corps qui danse dans tes pupilles à ce regard de garce qui t'anime ! résister et laisse tomber, juste céder quand l'amour est né ! » elle soupire recule d'un pas créant une distance convenable. elle ne peut comprendre le désir charnel, ne le connaissant guère et surtout ne voyant aucunement le plaisir charnel sans son cœur battant férocement pour un autre être.
pauvre poupée déçus ne croyant plus en l'amour perdu a tout jamais dans les ébats de son frère
