scars and scalds. (mykew)

MYKEW GREGOROVITCH

001

ft volker bruch
morder

nom et prénoms :gregorovitch, république balkanique frissonne aux pourtours des syllabes étrangères, secrètes et renfermées, babines peinent à dépoiler le patronyme de ses relents, arcanes voilés d’homme de l’est au passif accusé des transes alarmées. mykew, observateur alerte, peu usent et abusent au nom de baptême, proverbial à travers le monde au savoir-faire ancestral, gregor marque bien plus les caboches que son foutu porteur.
âge : quarante six ans, gueule couine vieillerie avant l’heure, cabossé par les épreuves existentielles, drôle né en bord de Danube, pas un jour de temps bleu mais grisaille nippant l’austère Novi Sad à l’escarpement montagneux.
origines : circonflexe du vocable trouve son nid dans le terreau du levant, république serbe nichée aux raucités en fond de gorge, famille ancestrale s’est forgée renommée au fil des siècles, connue d’est en ouest des diversités qui composent l’europe centrale.
profession : de grand renom n’est plus que triste mémoire, illustre fabricant de baguettes régnant sans partage sur le vieux continent, installé en capitale angliche pour faire de ombrage à sa plus grande concurrence. pris à partie dans propre boutique, théâtre d’horreur d’un fils perdu et d’une femme retirée, commerce clos sous les ordres impérieux du nouveau maître de l’Angleterre, intégré contre sa volonté au ministère, connaisseur des reliques, s’incline et ne rend compte qu’au crapuleux bulgare.
nature du sang : contraste de l’éclectisme, roulé dans la fange pour certains, profonde indifférence de sa part, ichor imperfection ne cause guère plus de troubles que nécessaires, grandeur humaine non-imputable à l’impureté crasse dont certains se vantent d’être immaculé.
personnalité : froideur va de pair avec une gueule qui vocifère aux mystères d’un bonhomme du vieux continent, cryptique de l’est se contente de peu de palabres pour satisfaire un auditoire. mutisme est une cutter meurtrier, labre caustique ne baragouine que pour souvent piquer l’adversaire d’un fiel encore jeune, mais foutrement volcanique. rancœur rongeant les viscères, ravage l’entièreté sur son passage pour ne laisse paraître qu’amertume mordante, venin vindicte prêt à dégueuler sur des rivaux d’avance désignés. obséquieux joue au cabot, mais n’en demeure guère moins raidement coriace, fin justifient les moyens, farouche opposant qu’on daigne préférer avoir dans sa poche qu’un surin au long du râble. derrière façade roc se planque homme brisé, cardiaque saignant de maux incurables, foyer alimentant biles mordicantes parées à se déchaîner instant crucial venu.

INFORMATIONS IMPORTANTES

OCTOBRE 1868. hosannas d’une matrone en gésine, fierté d’un pater obtenant descendance masculine, paupières à demi-closes que patriarche promet de grandes choses pour chair de sa chair, choix en fond de placard, digne héritier perpétuera foutre lignée pour au moins siècle encore, qu’importe desiderata, fatum écrit aux pognes d’un autre. 1871 la reconnaissance d’une baguette entre les minuscules phalanges avant bien même de savoir lire et écrire, drôle traînasse dans l’atelier de l’aîné, clame à bout de bras de la hauteur pour l’observer en tâche, mire elle ne loupe guère de miettes, encaisse et assimile les mouvements précisions d’un maître exerçant son ancestral art. véritable passion ou bourrage de crâne pour chercher à lui faire acquiescer à sa future réalité, réponse demeurera cruelle énigme. 1981. décade passe tandis que mecton se détourne d’un amour maternelle pourtant sincère pour se concentrer sur une providence déjà comprise malgré verdeur, assistant du pater, tabouret à l’arrière d’un comptoir, tiroir-caisse en journée, nuitées juste bonnes à la transmission des virtuosités, môme pionce aussi peu que son paternel, anxieuse mater délaissée pour un duo de bûcheurs acharnés. septembre 1882. mioche contraint de jarter de l’égide hériditaire pour la scolaire, dumstrang nouvelle patrie, récipiendaire aux railleries de camarades ignares, moquant tantôt l’ingrat physique, tantôt le vocable bulgare encore balbutiant voire même son ichor exogène au bercail crèche l’académique. didactique forcée, élève médiocre tout au mieux passable, forgé à la fabrication de baguettes, théorique ne lui apporte que lassitude et foutue insatisfaction. 1890. fin du cursus, départ de l’établissement sans nul regret, retourne auprès d’un pater éreinté par les années de labeur, vieux bougre ne lui accordera que peu de répit jusqu’à la fin de ses vieux jours, lui enseignant tout ce qu’il y a à savoir au sujet de orfèvrerie des baguettes magiques, vieillard claquera en plein travail, enseigne vendeuse ne connaîtra guère interruption d’ouverture, fils prodige reprenant rennes de l’entreprise domestique. 1901 phénomène forge réputation dans une bonne partie du vieux continent à force d’ouvrage tenace, grande majorité des élèves des écoles de tout l’est se précipitent pour se procurer leur première baguette voir la suivante sous les aléas de l’existence. pourtant bonze aux pognes chevronnées et se fait piète vendeur, relativement rustre et distant avec la clientèle qui ne terniront guère le succès ininterrompu au fil de la décade. 1903 manie fixée à l'esprit, centration sur le conte des trois frères, se met en tête rapidement d'être le dénicheur des trois reliques et de les faire sienne, arrivera à ses fins non sans mal, pillard du caveau d'antioch peverell, dérobant au passage la sureau pour en devenir maître incontesté qui dans un premier temps restera sur ses gardes mais finira par chuter dans sa propre foutre vanité, causant sur les toits, à tort et à travers de sa trouvaille. 1906 bourreau de travail ne trouve que peu d'instants pour faire dans la sociabilisation primaire et malgré les sermons d'une matrone qui l'imagine déjà vieux garçon, bon parti finira par trouver grolle à son pied capable de se laisser empiéter dessus par la carrière, la cloque accidentelle terminera de sceller les vœux maritaux, union conjugale cependant d'amour, même affection pour un drôle qui n'était pas au programme, à ses rares humorales sympathies fournies uniquement aux plus proches. 1910 allègre de ses victoires sur plusieurs plans, bonze se laisse surprendre par un impudent répondant au patronyme de grindelwald qui pognera la sureau, lui arrachant trésor pour en devenir chefaillon, gaillard éructera ses ires pendant de nombreuses semaines, courroucé par la perfidie du brigand et à cran envers sa propre vantardise l'ayant mené à sa perte. 1912 quête des deux reliques restantes, mise de côté sitôt les nouvelles de la perfide albion arrivant aux esgourdes serbes, rumeau de l'hièble sur le retour dans les pognes d'un sorcier en pleine quête de pouvoir, photographie confirmera certitude et délocalisation angliche anticipé, cabotin installe boutique à deux pas de son plus grand concurrent mais n'a que faire des bastons commerciales, vaquant à des occupations d'autant plus revanchardes. 1914 vergence avortée, duo de loubards saccageant l’échoppe, drôle en otage pour exiger quelques menus services en l’honneur du plus grand bien, refus gueulard poursuivi d’artifices étincelles des rognes, fils tombé pendant la brève bataille, pognes entachées à l’ichor tiède du macchabée, pleurs ruisselant sur visage inanimé, à l’inviolable prononcé, courroux veule, mais se fait ulcère en dedans.

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j'passe te faire la bise :albus:

slt bg
t trau k-non
on bz ?

@albus dumbledore

@alarius delpire allons bon.
c'est une maison sérieuse ici.
oust filthy soul.

~~tu sais bien que je te dis jamais non.~~