(novios) bang bang, he shot me down

et elle s'est bien débrouillée Pour que mon cœur soit broyé

“Cette fille est une variation de l'air, une infinitude Une atmosphère en plus, une population à elle seule Le regard dans le vide, elle ne verra pas ma belle gueule L'odeur qu'elle dégage tue la totalité de mes sens.”

   rien de ne tourne rond, soupire instable qui n'arrête pas, qui éclate entre ses lèvres qui se mêle à la fumée de ses cigarettes. écraser encore une qui tombe sur le sol sans même qu'elle ait été totalement consumée, elle chute il l'écrase soupire en rallume une, déconcerté soupire agacé de ne jamais les trouvés. talon qui claquent sur le sol qui frotte la pierre qui l'empêche d'avancer comme il le voudrait l'esprit embrumé alors il mène la nouvelle cigarette a ses lèvres pour consumer, détruire ce qu'il lui reste à inspirer. perdre le souffle perdre doucement la vie serait une manière beaucoup plus simple pour arrêter de souffrir arrêter de torturer son putain de cœur en détresse. il n'est plus rien, une ombre qui traîne les rues, une ombre qui a le cœur en miette une ombre qui perd le soleil. il n'est plus rien, plus rien depuis que ce regard a traversé le sien a transpercer son être et a tout brisé. là, la main tendue vers cette gamine l'aider à s'enfuir à fuir, la sauver des griffes de la noirceur de sa cellule, l'aider à se lever la faire courir la regarder partir. ne rien dire, se taire, faire semblant approuvé tout ce qu'on lui dit, faire mine de toujours le suivre, tenter de sourire dans trop de soupire. il n'est plus rien il traîne les rues avec l'esprit en vrac de trahir, avec le cœur détruit des souvenirs... jouer avec l'alliance, l'enlever la cacher la jeter, il aimerait tant oublier... pourtant accroché à son doigt accroché à ses espoirs qu'elle lui sourira. rien, fiancé, pauvre con attaché à l'impossible, courant toujours après le vide.
elle, les reliques, rien, jamais rien, jamais une once d'espoir dans sa vie, rien, jamais rien toujours ce vide béant en lui. alors il traîne des pieds jette au sol cette nouvelle cigarette crevant au sol sous ses pieds sous ses soupires. puis il passe la porte, boire, oublier dans l'alcool se changer les idées perdre l'esprit dans le liquide se laisser tomber raide mort, meilleure solution pour avancer, pour crever sans que personne ne vienne à le sauver. alors la porte s'ouvre alors il s'avance, le regard sur le sol, sur le liquide ayant déjà touché le sol. odeur putride, voilà, endroit parfait pour mourir.
installer, commander boire, crever là. il attend, attendre trop longtemps que le liquide n'arrive alors ses yeux quittent le bois pour se balader venant se poser sur la femme qui l'observe d'un regard intéresser.
perdre un instant le souffle, le cœur qui se sert, elle, nova, souvenirs qui explosent dans sa tête, myocarde qui s'emballe à sa vue si parfaite. ils sont si proches et pourtant elle lui semble si loin. il reste un trop long moment à se perdre dans ses yeux a laissaient éclater en lui leurs souvenirs passés, a sentir encore la chaleur de ses lèvres frôler les siennes. helios son prénom d'une douceur si belle passant ses lèvres. un mince sourire frôle les siennes à la chaleur qu'elle a le dont de faire naître. ne pas s'emballer tenter de se contrôler ne pas craquer, ne pas se laisser amadoué comme elles s'amusent toute à le faire valser. il aimerait fuir avant de se voir prit au piège et elle l'invite, boire un verre, rester là prêt d'elle...

"impossible de refuser une telle invitation nova" il la voix calme presque cassante brisant l'air. alors il s'approche alors il plonge son regard sans âme dans le sien "cela fait bien trop longtemps" des années trop longues années qu'il aurait pu passer à ses côtés à l'aimer à se consumer pour cette douce beauté.

partie, disparue sans un bruit rien n'avait jamais été vraiment fini. un silence comme mot de fin, silence brisant leur cœur. ce silence ponctué par l'autre, par celle ruinant sa vie depuis trop longtemps, elle ayant prit le pouvoir, elle l'ayant fait perdre nova, elle simplement elle.. regret, surement trop, le cœur qui hurle de mal être, le myocarde qui se souvient trop d'elle, se tordant de douleur à ce qu'il aurait pu être à ce qu'il aurait pu vivre entre ses mains.

il a le regard qui a du mal à quitter le sien "tu n'as pas changé" soupire... elle lui a manqué, elle, ce rayon de soleil ayant pu créer par le passé quelques sourires sur la face de ce pauvre gamin au caractère fermé.

et elle s'est bien débrouillée Pour que mon cœur soit broyé

“Cette fille est une variation de l'air, une infinitude Une atmosphère en plus, une population à elle seule Le regard dans le vide, elle ne verra pas ma belle gueule L'odeur qu'elle dégage tue la totalité de mes sens.”

   c'est la revoir s'est croisé son regard, souvenirs du passé qui éclatent qui se fondent en cascade, le cœur qui palpite qui perd toute normalité, souvenirs du passé qui éclatent qui explosent qui s'étalent. elle, juste elle, ce regard de miel ses caresses, ses douceurs dans l'éternel, simplement elle, réveillant en lui ce qu'il ne connait plus réveillant en lui tout ce qu'il a perdu. la laisser l'abandonner sans un dernier regard sans même s'excuser car l'espoir été renaît dans d'autres yeux, espoir futile qui aurait dû faire des envieux. foutaise, jamais rien, leonora l'espoir en vint. le comprendre trop tard, le comprendre que maintenant qu'il lui appartient, et pourtant elle ne l'aime pas, jamais elle ne l'aimera. alors c'est les souvenirs de nova qui reviennent avec se souvenir fugace qu'elle lui appartienne. pourquoi la laisser alors que le bonheur en était la clef, pourquoi abandonné celle qui l'aurait véritablement aimé. faute qu'il ne se pardonnera jamais, de l'avoir laissé d'avoir perdu tout ce qu'il peut espérer.
être un peu plus que rien
être dans ses yeux le tout qui comblerait ses peines
être accepté comme il est lui, le gamin bizarre, lui au regard vide, lui au regard qui exprime toujours le pire.
alors il soupire laisse son regard se fondre dans le sien, mince sourire qui naît sur ses lèvres, comme un geste qu'il n'a plus fait depuis longtemps, sourire vraiment, véritablement. la lumière de son monde de ce néant qui le persécute qui le brûle qui le mène chaque seconde à sa chute. elle simplement elle, un besoin de l'avoir là, de la retrouver de la sentir à ses côtés, juste pour se sentir vivant, juste pour se sentir là, véritablement présent. alors il ne cesse de la regarder sentant encore ses lèvres venir embrasser les siennes à la volé, voir son sourire s'animer alors qu'elle vient de le surprendre, l'entendre rire à ce regard surpris. elle, la simplicité, elle la douceur elle simplement nova brûlant pour lui, et lui se consumant pour elle. elle semble heureuse, peut-être de le retrouver balbutiant quelques peu, le regardant encore, se dévorant mutuellement comme deux amants s'étant retenue trop longtemps. puis fébrile elle boit, puis tremblant il fait de même comme pour se rassurer comme espérant que ce moment pourrait bien se terminer. se retrouver s'abandonner un instant juste oublié le chaos qui résonne tout autour de lui, simplement se laisser bercer par sa douce mélodie.
Mais ça me fait plaisir, je crois.
elle aimerait qu'elle en soit sûr qu'elle apaise ses blessures. pourtant il lui a fait du mal il le sait, abandonné sans un mot ne pouvant être simplement pardonné oublié pour ce qu'il a fait, alors que tout semblait si bien se goupiller. puis elle parle trop vite, puis la question tombe puis le myocarde du jeune homme perd un battement alors que ses yeux tombent sur l'alliance sur cette douloureuse prison qui rythme sa vie, vers cette union qui l'emprisonne ici.

alors il balbutie alors il perd doucement le sourire, murmure qui sort de ses lèvres, chaos qui naît en son être "c'est compliqué" le verre qui revient rapidement à ses lèvres le buvant d'une traite "je ne vais pas te mentir" peut-être devrait-il .. "fiancé pour les convenances, pour une alliance" il perd doucement le souffle regard le verre vide qu'il aimerait à nouveau engloutir "léo, et pas parce qu'on le veut, pas parce que je le veux"

il le voulait, plus maintenant, plus depuis qu'il avait enfin comprit qu'elle ne voudrait jamais de lui. alors il soupire jouant de son verre bien trop vide, le regard perdu repensant à tout ce qu'il avait perdu, a ce mariage qui causerait sa perte, à cet amour qu'il ne connaîtrait jamais, à ce cœur détruit par bien trop de secret. puis son regard se pose sur elle, il tente un sourire, mélancolie qui s'installe, car oui il aurait pu faire d'elle sa femme.. alors il espérait doucement qu'elle est encore libre, qu'il pourrait encore rêver à la conquérir malgré cette bague qui illumine son doigt, malgré toutes ses obligations qui pèse sur son crane. oui la savoir seule serait plus facile, la savoir seule serait réconfortant comme espérant pouvoir l'avoir une dernière fois, dans un dernier soupire dans un dernier baiser pour tout dire...

"j'espère que tu as été plus chanceuse que moi"

mensonge, il ne veut pas la savoir dans d'autres bras dans d'autres draps, et pourtant il ne pourrait décemment rien dire, lui promis à une autre, lui prisonnier d'une union, lui qui pourtant aimerait juste la saisir la prendre une dernière fois l'embrasser pour exprimer chacun de ses regrets de l'avoir si lâchement abandonné et de n'avoir jamais faire taire les sentiments qui hurlent en son cœur si secret.

et elle s'est bien débrouillée Pour que mon cœur soit broyé

“Cette fille est une variation de l'air, une infinitude Une atmosphère en plus, une population à elle seule Le regard dans le vide, elle ne verra pas ma belle gueule L'odeur qu'elle dégage tue la totalité de mes sens.”

    « J'ai choisi ma voie, celle de la nature et de ma liberté. J'ai fait de nombreuses rencontres, et j'ai aimé. Certains plus que d'autres, j'ai toujours refusé d'épouser qui que ce soit par pure convention. » il esquisse un mince sourire de la savoir seule, peut-être où de la savoir quand même heureuse, même si elle est seule. il ne sait pas trop pourquoi il sourit en cet instant, l'alcool peut-être, surement pas en fait. elle est seule, sans attache sans homme venant à la retenir loin de lui, encore libre de se laisser chavirer d'aimer qui elle désir, et dans le fond il aimerait être comme elle, avoir le droit de se laisser aimer, d'aimer de pouvoir valser au grès des battements du myocarde, se laisser faire, être libre. emprisonné sous l'alliance qui orne son doigt et dont il ne veut pas, plus, il soupire retire ce putain de sourire se sa face, car il n'est pas libre car même s'il voudrait d'elle maintenant et a jamais il ne pourrait lui demander de se laisser aller, car il n'a pas le droit de l'aimer car cela serait folie de se laisser tenter. alors il laisse son regard trouvait le verre vide qu'il aimerait maintenant remplir pour juste oublier dans le liquide tout ce qu'il aimerait lui dire, tout ce qu'il aimerait fuir juste pour pouvoir la détenir une nouvelle fois, juste espérer en secret sentir encore son souffle contre sa peau de pauvre garçon mal aimer... la retrouver, la laisser espérer pour se soigner, pour aller mieux pour se sentir aimer, peut -être...
foutaise, elle a surement déjà tout oublier de leur passer de leur histoire qui n'aurait jamais dû s'arrêter, oui elle a aimé, elle lui a avoué qu'elle s'est laissé tenter par des bras qu'il ne pourra jamais contrer. oui, il n'est que peu de chose en face d'elle, elle est tellement plus, force et sa magnifique faiblesse, elle, de ses cheveux qui cascadent de se sourire qui réchauffe son être de cet espoir dingue qu'elle ne l'aurait pas oublié, et qu'en elle il aurait encore un mince place, peut-être...

« Mais je ne m'estime pas chanceuse pour autant. Si je l'étais vraiment, nous serions encore ensemble. »

perdre doucement le souffle, sentir le cœur perdre un battement, fuir son regard un instant.

nous serions encore ensemble

il a l'être qui perd tous ses sens, qui ne comprend plus rien, tourbillon, violence de ses mots qui explosent en lui nous serions encore ensemble si seulement il n'avait pas fait le con, si seulement il y avait cru un peu plus, si seulement il n'avait pas espéré autre chose, s'il avait laissé nova prendre la place qui lui revenait..
nous serions encore ensemble
alors il tourne son visage vers le sien, il retrouve ses pupilles qui font chavirer chaque cellule de son être, et sans savoir pourquoi sa main prend la sienne, il hésite un instant et pourtant il laisse ses doigts entrelacer les siens maintenant. il se joue un moment de ses doigts laissant son regard cristallin observer ce geste avant de retrouver ses prunelles rapprochant son visage du sien venant laisser ses lèvres se rapprocher de son oreille.

que personne ne l'entende que personne ne les écoutes, confidence qu'elle seule doit connaitre, simplement elle.

nous serions encore ensemble

"j'ai été con nova" soupire qui passe ses lèvres oui jamais il n'aurait dû la laisser partir jamais il n'aurait dû lui tourner le dos jamais... "jamais je n'aurais dû donner l'occasion au destin de nous séparer, jamais je n'aurais dû m'en aller et perdre tout ce que tu avais à me donner" doucement il se recule sans jamais lâcher sa main, pas maintenant pas maintenant qu'il le peut enfin "pardonne moi"

un besoin qu'elle lui pardonne d'avoir été qu'un gamin espérant mieux espérant trouver peut être l'amour, alors qu'il l'avait sous les yeux. besoin qu'elle lui redonne au moins la chance de revenir prêt d'elle sous n'importe qu'elle force, juste la retrouver pouvoir l'admirer la regarder laisser son esprit divaguait alors qu'elle ne lui appartiendra surement jamais.
alors il joue doucement encore avec ses doigts il ne veut pas la relâcher pas maintenant qu'il l'a attrapé pas maintenant qu'il tente à la retrouver, plus jamais il ne veut la laisser s'envoler...

car nous serions encore ensemble si tu n'étais pas partie comme un voleur
car en cet instant nous pourrions nous embrasser sans avoir peur
car mon cœur pourrait hurler que je t'aime à m'en déchirer le corps
nous serions encore ensemble et je pourrais assumer ce qu'il se trame au fond de mon cœur...