FAMILLE - Mari et Soeur cadette (0/2)

INFOS : Âgé entre 20 et 30 ans, il est un membre de la famille des Du Châtelet, branche de Lomont. Il est l'héritier du titre des ducs de Châtelet, son grand-père étant le duc actuel. Aristocrate français, il a épousé en août 1913 Héloïse Le Tellier de Louvois, une aristocrate française au sang mêlé selon les convenances sorcières héritière d'une grande fortune. En février 1914, il s'installe à Londres avec son épouse notamment pour accroître l'héritage de son épouse par des investissements (plus que possible qu'il y ait une autre raison derrière : poste prestigieux à Londres, affaires familiales... Par contre, pas pour retrouver sa maîtresse, cf le lien avec Héloïse.). Il assiste en avril 1914 au coup d'Etat de Grindelwald. Il se montre tout de suite méfiant envers ce nouveau gouvernement car ils ont des rhétoriques beaucoup trop semblables à l'égard des nés-moldus que les révolutionnaires ont pu avoir à l'encontre des nobles avant de décapiter plusieurs de ses ancêtres. Fin juin et au mois de juillet 1914, Héloïse et lui rentre en France pour revoir leurs familles mais aussi suivre l'évolution politique suite à l'assassinat de l'archiduc. Ils retournent en Angleterre pour entendre la déclaration de guerre. Ils ont dans leurs bagages la soeur cadette de son épouse en partie pour lui trouver un bon époux, en partie pour essayer de la mettre à l'abri du conflit qui s'ouvre. En août 1914, il rejoint l'ordre du phénix avec sa femme pour raccourcir Grindelwald et ses partisans avant que ce soit eux qui le fassent. Ces craintes sont motivées par les échos des interrogatoires se déroulant au mois de juillet qu'il a pu avoir. Il ne regrette pas son choix d'autant qu'il ressent un besoin urgent de sécuriser la position de l'Angleterre dans le conflit mondial qui a commencé car dès septembre 1914, le front se trouve à une centaine de kilomètres de leur demeure française.
Héloïse du Châtelet // Epouse : Ce n'est qu'au moment du début des négociations en 1910 qu'il a commencé à s'intéresser à Héloïse Le Tellier de Louvois. Cela s'explique aisément par leur écart d'âge qui faisait qu'il trouvait qu'ils n'avaient rien en commun qui pouvait permettre un début de conversation. Pourtant, lorsqu'il a su qu'on négociait sa main pour lui, il a commencé à prêter davantage d'attention à cette jeune fille. Outre le fait qu'il la trouvait plutôt jolie, Héloïse avait également le formidable avantage d'y conjuguer une noblesse somme toute fort respectable comme une immense fortune. Point d'amour lorsqu'il a dit oui à cette jeune femme en août 1913. Depuis ce jour, Héloïse a su gagné son affection et son respect et une entente plus qu'appréciable règne dans le couple. Cela sera sûrement jamais de l'amour entre eux et cela lui convient très bien ainsi. Il préfère infiniment plus un partenariat comme il peut l'avoir qu'une jeune écervelée qui ne cesse de bégayer dès qu'il s'agit de lui répondre comme épouse. Le seul reproche qu'il pourrait faire à Héloïse est qu'elle ne soit toujours pas enceinte après plus d'un an de mariage. Mais cette absence d'héritier ne le pousse pas à aller visiter une autre couche, bien au contraire. Il craint trop qu'une hypothétique maîtresse le trompe et tâche de faire passer un autre bâtard pour le sien dans le but de réclamer à son profit une fortune qu'il estime sienne, même si dans les faits, c'est celle de son épouse. Alors, tant que cette situation perdure, il ne cesse de redoubler d'efforts pour qu'Héloïse ait enfin un héritier.

INFOS : Elle est née à l'été 1897 au sein de la famille des Le Tellier de Louvois (plus couramment dit Le Tellier), une ancienne famille aristocratique au sang sorcier mêlé. Bien qu'elle ne soit que la fille cadette du deuxième mariage de son père et même si elle n'est pas l'héritière principale de sa mère richissime, la famille accorde une très grande importance à son éducation afin qu'elle puisse faire un brillant mariage comme sa soeur aînée Héloïse. Sa mère décédant en janvier 1912 et son père en novembre 1913, elle se retrouve sous la garde de son demi-frère aîné, François-Michel. A la fin de ses études à Beauxbatons, elle part en Angleterre rejoindre sa soeur Héloïse et son époux à la fin du mois de juillet 1914. Si l'une des raisons est pour essayer de lui trouver un bon parti, il y a également l'enjeu de la mettre à l'abri du conflit qui commence en août 1914. Cela est d'autant plus justifié que les possessions françaises de sa soeur et son époux sont à une centaine de kilomètres du front dès le mois de septembre 1914.
Héloïse du Châtelet // Soeur aînée : Complices dès leurs premiers pas, les deux soeurs ont toujours entretenu une relation assez fusionnelle jusqu'au mariage d'Héloïse. Si la cadette n'a aucun souci avec son beau-frère du Châtelet, elle est cependant particulièrement horripilée par l'attitude d'Héloïse à son égard. Oui, elle est désormais mariée et pas elle et alors ? Est-ce une raison pour la prendre autant de haut et la réduire à une gamine ? Elle est une Le Tellier tout comme "Madame du Châtelet", elle sait aisément agir dans l'intérêt de leur noble famille comme elle l'a toujours fait. Si en public les deux soeurs font bonnes figures, les tensions commencent à s'accumuler en privé et il n'est pas impossible qu'une violente dispute éclate entre elles si on ne désamorce pas la situation sous peu...