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 powder and guns (ruben)

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Minerva McGonagall
ordre du phénix
Minerva McGonagall
crédits : avatar (étangs noirs) ; signature (albus de mon coeur avec icons bltmr + doom days) ; gif profil (prudence choupette)
face claim : zoe kravitz
pseudo : guimauve
powder and guns (ruben) 200718054623516049
études : promo 1895-1902, ancienne capitaine de l'équipe de Quidditch de Gryffondor de 1900 à 1902
particularité : maîtresse de la métamorphose, animagus chat tigré, féline et discrète.
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Message (ϟϟ) Sujet: powder and guns (ruben)   powder and guns (ruben) EmptyDim 5 Juil - 23:14

Il n’y a que le son de l’horloge dans la maison vide à présent. Prudence est retournée chez Nicolas. Lyrae est partie aussi suite à l’oubliette lancé. Sans la présence des deux jeunes femmes, Minerva a l’impression d’avoir un vide tant dans la maison familiale des McGonagall où elle s’est retranchée que dans le cœur. Un petit sourire triste se forme sur ses lèvres alors qu’elle écoute la maison craquer et faire son bruit habituel. C’est comme si ses deux filles étaient parties. Cela la rend nostalgique.
« Alors je ressentirais ça aussi pour toi quand tu seras grande et que tu pourras partir de la maison ? De la tristesse et de la nostalgie. » souffle-t-elle à haute voix avant de regarder son ventre. L’arrondissement de ce dernier n’est pas encore visible mais elle a déjà sentit son corps changer. Une semaine tout au plus qu’elle sait et qu’elle s’est retranchée ici avec tous les McGonagall et voilà qu’elle commençait déjà lui parler comme s’il pouvait l’entendre. Elle en reste persuadée : le lien se crée dès les premiers mois pourtant. Mais la question est sérieuse, est-ce pour cela qu’elle est si sensible dernièrement ? Elle le sait évidemment, c’est un tout. Sa grossesse en est l’explication mais il y a de multiples causes. Trop de choses en peu de temps et Minerva a l’impression d’être seule et désemparée. Ce n’est pas que la grossesse qui l’angoisse c’est aussi tout le reste.

Albus sans mémoire.
Lyrae qu’elle n’a plus réellement à l’œil.
Nicolas qui doit gérer comme il peut l’Ordre et être sollicité tout le temps au Ministère.
Nile dont elle n’a aucune nouvelle depuis leur dispute qui lui a fendu le cœur en deux.
L’absence des pouvoirs qui permettent des les protéger.

C’est un tout et Minerva McGonagall se sent subitement incapable de protéger qui que ce soit et surtout pas l’être qui grandit en elle. L’angoisse monte tous les jours et tous les jours elle se réveille en pensant à cela, tous les jours elle se couche aussi en pensant à cela. La présence d’Abelforth qui dort ici maintenant la rassure un peu, de temps en temps. Mais elle le sent lui aussi préoccupé. Elle ne peut même pas lui parler de l’Ordre : Nicolas en a effacé toute trace.

Minerva McGonagall se sent seule et diminuée.

Ce n’est plus le moment de formenter des plans pour le futur. C’est le moment de tout organiser pour se replier et se protéger et dans cette façon de penser, c’est l’attente de quand qui est le plus pénible. Pourtant, elle se doit de le faire : elle a du temps donc autant tout organiser et tout réfléchir pour que tout soit prêt le moment venu.

Mais il reste un détail qui la turlupine : celui de ne pas pouvoir se défendre dans l’immédiat. Abelforth absent, probablement au travail, ne pouvait pas toujours la défendre et Minerva, de toute façon, rageait de se retrouver être une charge pour lui. Elle était Minerva McGonagall, elle était une des meilleures sorcières de sa génération. Elle devait savoir se battre sans baguette. Alors, l’idée lui était venue, évidente et sensée. Elle s’était levée et avait ouvert un placard en particulier dans la maison. Le fusil de chasse de son père y était toujours à sa place. Cela lui donna une autre idée qu’elle exploitera plus tard, celle de construire des arcs et des flèches. Sa mère en serait surement ravie, complétant le mythe de l’amazone. Mais au moins, sauraient-elles se défendre en cas de besoin.

Les moldus étaient ingénieux et elles étaient l’alliance des deux mondes alors elles le seraient aussi.

Récupérant l’arme, Minerva se mit à l’ouvrir et l’astiquer tant pour la dépoussiérer que pour se refaire la main dessus. La dernière fois qu’elle l’avait utilisée c’était avec Ephraïm mais elle savait que parfois sa mère l’utilisait aussi. C’était Ephraïm qui lui avait appris à tirer lors d’un rendez-vous galant. Elle avait tout de suite eu une certaine affinité avec les armes à feu qui l’avait sidéré.

(-Mais enfin ! Tu n’as vraiment jamais tiré de ta vie ! », s’était-il exclamé.
-Mais enfin ! La jalousie ne te sied pas très bien au teint ! », avait-elle rit.)


Rien de bien compliqué à tout cela en réalité, c’était aussi facile que de lancer un stupéfix à l’ennemi. Mais Minerva prenait le temps de faire les choses bien parce qu’elle savait que tout comme une baguette, une arme à feu pouvait être dangereux.

« Minouche, intervient le fantôme d’Elora. Uncle Ben est là. »

Le troisième frère Dumbledore.
Minerva se leva alors prestement sur ses jambes et avec un grand sourire vient s’approcher du grand homme.

« Ruben ! » l’accueilla-t-elle avant de le prendre dans ses bras, douce et chaleureuse. « Bonjour toi ! » dit-elle à l’adresse du boursoufflet.

Le relachant, elle le regarde pour voir s’il allait bien.

« J’espère que les réseaux de cheminette ne sont pas trop encombrés ! »

C’était probablement ce qui devait arriver maintenant que c’était le seul moyen de transport de beaucoup de sorciers ayant perdus leurs pouvoirs. Minerva lui indiqua de le suivre dans la cuisine où elle avait presque terminé de remonter l’arme.

« Ne me juge pas, mais étant donné qu’Abelforth n’est pas là aujourd’hui, que Maman est à la réserve et que même si la maison est protégée, j’ai pensé que ressortir cela pourrait me rassurer un peu. »

Elle se mord la lèvre, Minerva, évitant le regard de l’homme, ayant du mal à cacher subitement son mal être.
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Ruben Maugrey
ordre du phénix
Ruben Maugrey
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études : POUDLARD / 1889 - 1896 / GRYFFONDOR
particularité : OCCLUMENS-LEGIMENS / bastion du crâne, les failles sous sceller
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: powder and guns (ruben)   powder and guns (ruben) EmptyVen 24 Juil - 15:08




Écosse.
Chapelle de mille morts, tombeau d'argile, berceau d'âpre et de souvenir.
Dans la lumière éthérée, le muet sépulcre, les fleurs pourpres chantent au violon des hymnes patriotiques, encense la misère des braves sans lauriers et pilonne jusqu'à l'exorde du royaume le tambour des héros clamsés. Un écrin sauvage, des velouptés barbares. L'Indomptable, la Bestiale, effarée dans la rivière cassis des banquets cupides. Qu'ils n'ont tant saigné ses flancs, brûlé sa toge et planter leur impertinent blason dans son inexpugnable tégument. Elle gronde, fulmine son paroxysme, mugit sa lithiase d'ires. Dans la paroisse des hosties, elles flûtent par rafales, les ivresses meurtrières, la foule sentimentale des tuniques rouges légendaires.

Des couleurs, des odeurs.
Des pigments, des faguenas.
Dans le parallèle des iris, l'Empire familier s'étire à l'infini.
Le sinciput tanné d'évangiles, Ruben s'ébaudit. A califourchon sur son vaillant genet, il est millier captif, cintré d'idylles, damé de grégal mythologique. A l'horizon, le satin vert-chou des vallons, l'hélianthe jaune-fenouil vasouillant derrière moult tétons, le règne du silence plus sémillant que le barbarisme des oblats d'antan. A quelques chiliades foulées, Londres. Londres la pandémoniaque et les ombres oublieuses, la tonitruante et ses chtoniennes goguettes, Londres est loin, tout comme ses preux goujats. Il n'y a ici que monstres pastels et grave des cors. Sous les cieux capucines, un séisme dévale l'échine, taraude médiastin et déglace les articulations abrasées par la foison des missions. Depuis quand n'a t'il foulonné la chape gaélique? Des lustres bien émoussés, des miasmes d'annales pourtant indélébiles dans le lobe temporal.  Mildiou de rires, gouache d'or et d'ivoire, Ariana dansant sous les hyades et rudoyant la pâle figure d'Aphrodite. Elle aimait la valse et lui, chardons en main, empoigner son bassin dans l'amphithéâtre des incorruptibles promesses.

Humpf.

« Hâtons nous Voyou, j'ai le gargamelle creuse et l'ankylose au croupion »

Voyou, sa grande bringue, son indocile monture.
Quittons les cendres sultanes et galopons sans suinter jusqu'au hameau des inflexibles monarques. Macgonagall, fief des Amazones, règne des Notre-Dame. Est-ce l'Enfer pour l'hommasse qui cavalcade sans vesse, sans cagnardise? Est-ce le Purgatoire quand, sur le pavillon granit, après une journée à s'empanner dans les Highlands, Ruben gratte d'une paume, Citron de l'autre, le chêne de la chamanique gargote?

Qui pour l'accueillir?
L'Ange juvénile ou le Smog Sénile?
La Malice sous Diane ou la Sapience Hivernale?
L'huis grince, dégueule charmeresse et l'obole d'un sourire. A l'orée d'une obsidienne binette, le corbac s'emmielle, buriné d'amitié pour l'acolyte d'@Albus Dumbledore.

« Mon petit Sphynx ! »

Fort guilleret, Citron pimpenaude avec panache dans le cirque des bras femelles. Cette giboulée doit-elle être seule à profiter de l'étreinte amicale? Point de zoïle, Ruben englobe sans aumône la chétive barbaque dans l'ergastule de sa cage osseuse pendant qu'un poix immaculé couine dessus leurs gousses.    

« J'ai troqué l'âtre pour le bourrin, désolé pour l'odeur... Voyou profite de vos pâturages, dois-je l'attacher pour la nuit? »

Éloigner son destrier loin des morfales tarasques qui sculptent le folklore local. Aux talons de la séide, parementé de mofettes équestres, le mecton se noyaute à pas feutrés dans l'auguste fanum. Il se détrousse de sa gabardine cochée d'herbes et de buée, épluche l'architecture et, dans les angles d'une pièce nourricière, désosse d'une consciencieuse prunelle la technologie moldue déjà zieutée mais jamais tripotée. Un fusil. Merveilleux. Dangereux.

« Tu es toujours pleine de surprise carrissime, m'apprendrais-tu à le manier? Je me promène avec un couteau, ce qui manque de portée... »

Outre ces manières, un cratère de curiosité tranche le phare de ses onyx, voûte le charnu labial et cloître d'une mine perplexe la glabelle du visage.

« Minerva »

Sobriquet défleuri, le prénom roule tout entier dans la cathédrale de son suçoir. Une invitation loin des occultes viscosités. Raconte moi une histoire.

« Tu es sémillante comme un livre ouvert »

Diaphane comme l'écume des massifs, translucide comme la lucarne sans tares. Une éponge plutôt qu'un plastron, les humeurs dans la fuite des aspérités.

« Pourquoi ne nous poserions nous pas autour d'une bonne gentiane? »

Un breuvage thérapeutique pour délier linguae, excaver malaises de la martiale cuirasse. Il ignore encore le tabou de l'alcool fraîchement imposé.

« Me confiras-tu l'agitation qui déchaume la sérénité à laquelle tu m'as habitué jadis? »

Loin des vouivres, le féal Croquant s'empanache d'une dégaine paterne pendant qu'un éburnéeen boursouf gonfle et dégonfle de borborygmes entre les poignets de la nymphe. Déjà afféré à toupiner? Loin de l'ardeur propre de son espèce, il en venait parfois à douter de sa pureté, soupçonnant un pêle-mêle de lignage avec la famille des koalas, quelque part dans l'histoire...

Légende
Citron : Boursouf (5 ans)
Voyou: Clydesdale (8 ans)

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Minerva McGonagall
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Minerva McGonagall
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particularité : maîtresse de la métamorphose, animagus chat tigré, féline et discrète.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: powder and guns (ruben)   powder and guns (ruben) EmptyLun 3 Aoû - 14:28

« Mon petit Sphynx ! »
Si elle avait pu, elle l’aurait accueilli en chatte, bombant le torse, la queue bien relevée, le menton droit et l’air fier. Elle a toujours aimé qu’il lui donne ce surnom. Il est le seul, d’ailleurs à pouvoir l’appeler comme cela. Minerva n’a jamais rencontré de sphynx malheureusement, n’ayant pas mis les pieds en Egypte, mais elle aurait adoré pouvoir discuter et le prendre à son propre jeu. Elle aussi faire de très belles charades. C’est même sa spécialité. Alors, à défaut de se faire poils et griffes, queue, oreilles et moustaches, elle redresse la tête et l’espace d’un instant ne montre rien de ce qui la tracasse. Elle a subitement hâte de lui annoncer qu’elle attend un bébé sphynx pour voir sa tête.
Citron, le boursouf, saute sur elle et elle le rattrape en riant avant de doucement le gratouiller.
« Bonjour Citron. » souffle-t-elle avant de laisser le boursouf à son propriétaire. Citron était probablement le seul boursouf qu’elle peut approcher en chatte sans qu’elle n’ait envie de le gober. En parlant de cela… elle devrait peut-être faire attention à Fauve, son véritable chaton qui devait faire sa vie quelque part. Entre la présence de Ruben qu’il verrait comme une intrusion sur son territoire (incroyable que ce chaton soit si territorial avec la gente masculine) et Citron qu’il aurait probablement envie de gober aussi…
« J'ai troqué l'âtre pour le bourrin, désolé pour l'odeur... Voyou profite de vos pâturages, dois-je l'attacher pour la nuit? »
« Non, laisse-le. Ces pâturages sont faits pour cela. » dit-elle un peu amusée.
Tant que Voyou ne va pas vers les dragons… bien qu’elle se doute que la monture aura surement trop peur de ces derniers pour s’aventurer jusqu’à eux. Elle dirige finalement Ruben vers le fusil qu’elle terminait de nettoyer. Se mordant la lèvre, Minerva se dit qu’elle a peut-être l’air ridicule à s’inquiéter de la sorte. Avant de se rappeler du pourquoi elle a sorti l’arme.
« Tu es toujours pleine de surprise carrissime, m'apprendrais-tu à le manier? Je me promène avec un couteau, ce qui manque de portée... »
« Bien sûr. Je comptais aller m’entrainer. Cela fait longtemps. Nous pouvons faire une pierre deux coups. » dit la métisse avant de se pencher sur le fusil pour le rassembler avec minutie, évitant le regard de Ruben. Elle ne cache pas qu’elle est angoissée, ici, elle peut bien arrêter d’être ce masque de calme et de neutralité perpétuel. Ici, c’est chez elle et elle est dans son intimité.
« Minerva. Tu es sémillante comme un livre ouvert. »
Pas de surnom cette fois-ci. La discussion est sérieuse et Ruben cherche à comprendre. Elle ne va pas lui mentir mais elle ne sait pas trop par quoi commencer. Elle sait qu’elle peut bien lui parler. Elle n’a juste pas l’habitude de le faire au final. En général ses interlocuteurs directs sont Albus ou Abelforth. Cette fois-ci cependant, elle ne peut pas leur parler, les souvenirs arrachés. Elle n’a pas conscience que c’est son cas non plus. Elle aurait bien pu s’adresser à sa mère, mais cette dernière était, elle ne savait où. Quant à Nicolas, elle ne voulait pas le déranger pour si peu.
Si peu.
Elle ne devait pas penser comme cela, elle le savait. Penser à elle, avoir le droit d’avoir peur et de craindre. Avoir le droit aussi de paniquer.
« Pourquoi ne nous poserions nous pas autour d'une bonne gentiane ? Me confiras-tu l'agitation qui déchaume la sérénité à laquelle tu m'as habitué jadis ? »
Elle pose son regard sur lui. A vrai dire, elle ne pourra pas prendre de gentiane malheureusement mais au moins peut-elle lui proposer du thé. Elle vient d’abord tout ranger et laisse finalement le fusil debout prêt de la porte qui mène à l’extérieur, déchargé. Puis, elle vient mettre de l’eau dans la théière et allume la gazinière ; sort deux tasses et prépare le thé au gingembre qu’Artemisia lui a donné. Elle s’en gorge depuis lors pour empêcher les nausées. Enfin, droite et fière, elle s’asseoit devant Ruben et tente d’être calme, masque pourtant qui se fissure alors qu’elle parle :
« Il y aurait beaucoup de choses à dire, Ruben. Je t’aurais d’ailleurs bien proposé du whisky, mais maintenant que je sais que je suis dans l’attente d’un bébé sphynx, je préfère loger tout le monde à la même enseigne. »
Elle se tait et attend un peu la réaction du célèbre duelliste et auror ;
« Neuf mois sans alcool, cela vous ferez du bien aussi à vous les hommes ! »
Minerva tente de rire mais son rire s’essouffle rapidement et le creu entre ses yeux marque l’inquiétude.
« Je ne sais pas à qui parler, Ruben… » souffle-t-elle, avant de se passer une main sur le visage. « Albus ne se souvient de rien. Abelforth non plus. Je ne veux pas déranger Nicolas. J’ai vu bon nombre de mes amis se faire oublietter, le reste se cache… Je me sens impuissante pour protéger tout le monde et diminuée… » Elle pointe du doigt le fusil avant de se mordre la lèvre pour ne pas fondre en larmes. « Je suis désespérée et terrorisée. » conclut-elle le cœur lourd.
C’est le moment que l’eau se met à bouillir et bien contente d’avoir un peu de pudeur, elle se détourne pour ravaler ses larmes et servir le thé.
@Ruben Maugrey
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