interrogatoire — groupe 12. harfang longbottom + edelgard umbridge

face claim : (c) ice and fire pseudo : ftgg.

Intrigue 2

Des esclaves pour l'élite sorcière !

Juillet 1914

Interrogatoire

@edelgard umbridge, vous êtes emmenée dans une des salles du Ministère de la Magie. La pièce est sombre, plutôt vaste, et vous ne voyez pas le plafond qui semble très haut. L'obscurité semble avoir envahi les lieux, le voile abyssal ne laissant filtrer qu'un maigre faisceau de lumière qui illumine, au centre, une chaise en bois de mauvaise facture. Vous entendez dans le couloir et tout autour de vous les pas des nombreux Aigles qui surveillent les couloirs du Ministère et entrent parfois dans la pièce pour s'assurer que l'entretien se déroule correctement. Votre interrogateur, @harfang longbottom, vous fait signe de vous asseoir. L'entretien commence.

Pour rappel, les explications et la marche à suivre pour cet interrogatoire se trouve ici.

Lorsque vous aurez terminé cet interrogatoire, vous pourrez retourner dans l'atrium du Ministère si vous le souhaitez, dans le sujet commun, pour réagir davantage.

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'Interrog. - Pur/Mêlé' :
interrogatoire — groupe 12. harfang longbottom + edelgard umbridge Wxfs4h4U_o

Les interrogatoires s'enchaînent, les uns après les autres.

Dans la petite pièce à la pénombre dévorante, des visages aux expressions diverses se suivent, encore et encore, uniquement éclairés par le faible faisceau lumineux qui semble provenir du plafond. Certains sont apeurés, se triturent les mains, se rongent les ongles, le regard honteux, rivé sur leurs pieds joints. D'autres sont plus nerveux, tâtonnant à la recherche d'une baguette dont ils ont été dépouillés, talon qui claque sur le sol verni d'une fébrilité latente. Tandis que les derniers affrontent le regard de l'interrogateur d'un œil audacieux, partagés entre les traits offusqués et ceux qui dissimulent leurs émotions derrière un mur de d'insolence.

Il faut se méfier de chacun d'eux, image fiévreuse ou résistante, cerner le moindre mot, le tourner à l'avantage du Ministère, pour extraire la vérité des fruits les plus pourris. Manœuvre difficile pour l'officier d'un jour qui agit en sous-marin, celui qui tente de faire au mieux, mais ne peut faire autrement que lancer quelques Doloris sur ceux qui passent sur cette chaise au centre de la pièce. L'image, toujours. Tenter d'avoir des résultats à délivrer. Ça lui brise le cœur. Lui donne envie de vomir. Lui, qui s'était promis de ne jamais imposer telle douleur à un autre être humain, ayant lui-même subi les ravages du sortilège. Mais le choix n'est pas permis. Et parfois, il se met à douter. Jusqu'où peut-il aller, pour sauver une poignée de vies ?

Les aigles extraient le jeune homme qui vient de passer, qui flageole sur ses guibolles. Harfang a les mains qui tremblent. Un instant, le temps de reprendre son souffle, de se recomposer, de ne rien laisser percevoir. Il saisit le dossier de la personne suivante et pâlit d'autant plus. Le moment redouté. Interroger une personne qu'il connaît, étroitement. Tâche qui va corser l'entretien. Pas le temps de s'y préparer, néanmoins. Des bruits de talons claquant le sol l'avertissent que son prochain rendez-vous est à l'heure. Buste qui se tourne pour accueillir la femme.
« - Edelgard. »
La porte se referme, brisant les cris qui résonnent dans les couloirs, les pièces environnantes. Le ton de l'homme reste avenant, même si l'écho de ses mots est amplifié dans l’exiguïté de la pièce. Propriétaire du Golden Dragon. Businesswoman intrépide. Associée d'entourloupes. Il est lié jusqu'au cou au blanchiment d'argent que son casino effectue quotidiennement. Autant dire qu'ils ont tout intérêt, l'un et l'autre, à garder profil bas.
« - C'est toujours un plaisir de vous voir. Même si les circonstances sont, eh bien... Exceptionnelles. »
La quarantaine (dire qu'elle avait toujours prétendu faire moins !). Sang-mêlé. Célibataire et sans-enfant. Une griffe de sombral dans la baguette, ancienne oubliator. Toutes des informations contenues dans son dossier, qui sont Edel sans la représenter totalement. Elle a tellement de nuances, est si difficile à cerner. Un vrai casse-tête.
« - Je vous en prie, prenez place. Nous sommes loin du luxe de vos appartements, je suis confus. »
Lippes étirées, la retrouver est comme discuter affaires. Bientôt, il demandera à ce qu'on leur apporte deux tasses de thé.

C'est son tour.
L'attente est un supplice.
La sorcière est prête et quand on lui indique qu'elle peut y aller, qu'elle est attendue et emmenée dans une pièce, elle ne bronche pas, mais elle garde la tête haute malgré tout, être digne en toute circonstance. Bientôt, ses talents claquent sur le sol tandis qu'on lui dit d'entrer dans une pièce où son bourreau l'attend. Edelgard inspire et expire avant d'entrer et de découvrir le visage du chérubin avec qui elle va déguster ce charmant ? tête à tête. Des boucles sombres, cet air évasif, le regard un brun fuyant et pourtant, calculateur à souhait. Longbottom. La lionne ne laisse rien paraître, surtout pas sa stupéfaction car elle ne s'attendait pas à se retrouver avec lui et visiblement, ils ne sont que deux pour cet interrogatoire. Intéressant et déconcertant à la fois.

« - Edelgard. » elle se contente d'un hochement de tête tandis que la porte claque derrière elle. Les voici seuls.
« - Harfang. » elle répond avec une assurance certaine, elle veut se donner les moyens de ne pas céder, car à cet instant, toutes ses pensées sont tournées vers Susan, déjà partie, déjà dans une pièce. Que Merlin la protège.

Les yeux de la sorcière décryptent celui qui sera chargé de mener la mélodie, chef d'orchestre de cet interrogatoire, Longbottom ne semble étrangement, pas à son aise selon la sorcière, mais quelque part, cela la rassure. Intérieurement, elle relâche quelque peu la pression de savoir que c'est avec lui qu'elle doit discuter, qu'elle doit essayer de le duper pour ne pas éveiller les soupçons car entre les deux individus, le business prévaut, je te tiens, tu me tiens, deux rats prisonniers dans une même cage.
Mais Edelgard le sait, elle ne doit pas sous-estimer son interlocuteur, elle ne le connaît pas personnellement et après tout, ce visage de chérubin peut cacher un diable bien plus sournois. L'ordre avant tout, le secret sera préservé, c'est l'absolu.

« - C'est toujours un plaisir de vous voir. Même si les circonstances sont, eh bien... Exceptionnelles. » elle laisse échapper un rire léger, fin et éphémère avant de faire quelques pas dans la pièce qui ne lui plaît guère.
« - Il est certain mon cher, que je préfère vous rencontrer au détour d'un verre. » réplique-t-elle « - Et plus, si affinités, bien entendu. » regard entendu, non dits qui veulent tout dire au fond, qui tient les rênes de la séance ?
« - Je vous en prie, prenez place. Nous sommes loin du luxe de vos appartements, je suis confus. »

Elle ne répond pas.
Pas immédiatement en tout cas, elle se contente d'avancer et de prendre place, son sac à main accroché à la chaise, elle croise les jambes et attend, se promet de ne pas s'en griller une à cause du stress qui grimpe crescendo en elle et plante son regard sur le sorcier, il sourit, elle lui rend ce sourire délicieux.

« - Vous savez, je m'adapte à mon environnement, tel un caméléon, je me fonds dans la masse et s'il est vrai que je préfère mes quartiers au Golden, cette petite pièce qui manque cruellement de charme peut faire l'affaire pour notre tête à tête, il suffit de savoir apprécier la compagnie avec laquelle on la partage. » nouveau sourire mielleux, nouveau sous-entend, jouer de ses atouts, à ce jeu, Artemis à plus d'une corde à son arc.

Et déjà, elle redoute le pire.
Car si elle connaît brièvement Harfang, elle sait qu'il sait. Il a forcément eu l'information, son dossier entre les mains, ce passé qu'elle n'aime pas révéler à n'importe qui, autrefois oubliator, renvoyée, blessée, la honte, mais elle ne l'évoquera pas s'il ne le fait pas. Nous verrons les cartes que le roi décide de tirer, pour la reine, ça sera l'as de coeur pour le moment.

« -Et bien mon cher Harfang, je suis toute à vous. Je vous écoute. » elle se retient de lever la main pour jurer de dire solennellement un tissu de mensonges, les cartes sont déjà distribuées.

@edelgard umbridge
La voir lui ramène des souvenirs à l'esprit. De ceux enfumés dans des embruns de cigares cubains, les meilleurs, baignés de sons de machines à gallions, de cartes qui se retournent pour dévoiler leurs couleurs. De sourires en coin pour un coup bien joué, d'un signe de tête poli qui annonce la revanche. De cocktails réservés à ses clients spéciaux et des confidences murmurées à l'abri des oreilles indiscrètes. Oui, Edelgard est une grande joueuse, pas uniquement aux agréments qu'elle abrite dans son casino adoré. Partenaires, au jeu comme en affaires. Ils allaient de nouveau devoir se livrer à une partie, à jouer en duo, cette fois. Non l'un contre l'autre. Même si les coups bas risquent de tomber, d'un côté comme de l'autre. Il en faut bien, pour parvenir à une victoire. Commune, c'est à espérer.

Reine du bluff, qui ne se laisse impressionner par rien, ni personne. Prestance de celle qui connaît les lieux, qui a eu l'habitude de les parcourir. Son rire léger qui se répercute sur les murs, partant en écho vers le plafond sans fin. Elle est bien la seule à avoir ri dans cette salle d'interrogatoire, si on ignore les ricanements des Aigles derrière la porte close. Pourtant, celui-ci aurait presque quelque chose de réconfortant. Son ton badin et ses remarques habituelles lui feraient presque oublier le contexte où ils sont placés. Presque. Assez de bonnes manières, il lui demande de s'asseoir et elle s’exécute sans rechigner. Il faut savoir choisir le moment opportun pour bouger ses pions, ne pas sacrifier trop vite ses meilleures cartes. Une remarque sur le luxe de ses appartements, que la simple chaise au milieu de la salle est loin - très loin - d'égaler.
« - Vous savez, je m'adapte à mon environnement, tel un caméléon. [...] Il suffit de savoir apprécier la compagnie avec laquelle on la partage.
- Vous savez que votre compagnie m'est toujours agréable. »
Paroles doucereuses qui répondent aux siennes. Edelgard ne souhaite pas faire un pas de travers et c'est tout à son honneur de tenter de flatter l'interrogateur, pour s'en sortir sans éraflure.
« - Et bien mon cher Harfang, je suis toute à vous. Je vous écoute.
- Quel dommage qu'il ait fallu attendre une telle situation pour que vous me prononciez enfin ces mots. La moitié d'un sourire qui point. Vous savez combien je les ai attendus. Dossier qu'il referme, pose au coin de la table. Il a lu tout ce qu'il contenait et les informations sont bien stockées dans sa mémoire. Mais, puisque nous sommes là pour des affaires sérieuses. Permettez-moi de reporter cet interlude à plus tard. Celui qui n'arrivera jamais et encore moins après les questions qu'il s'apprête à lui poser. Pardonnez-moi, Edelgard. Bien. Commençons. Légère inspiration et le regard posé sur l'associée. Je n'ai pas pu faire autrement que remarquer que vous utilisez le terme de caméléon. Une compétence qui a dû vous être certes utile, lors de vos années de bons et loyaux services envers le Ministère. Une information qu'il ignorait, avant de la lire noir sur blanc. Que diriez-vous de m'en dire un peu plus, entre collègues ? J'ai bien peur que les informations contenues dans votre dossier taisent les détails les plus... Intéressants. Mot qu'il ne choisit pas au hasard, l'affaire ayant causé un tumulte, à l'époque. Avez-vous encore des nouvelles de votre... amie, miss Merigold ? Elle qui n'a, étrangement, pas été renvoyée. Contrairement à vous. Quelques pas, il arpente la salle lentement, en attendant sa réponse. Prêt à poser les questions desquelles on exige qu'il extraie des réponses. Dites-moi, Edelgard. Maintenant que les années ont passé. Avez-vous des attentes particulières envers votre Ministère ? Celui qu'ils doivent respecter, celui à qui ils doivent prêter allégeance. Des revendications, sans doute, pour que de telles bévues ne se reproduisent plus ? »

Harfang.
Un visage de chérubin, une énigme à lui seul et des discussions autour de quelques verres, des cigares et des cigarettes, des affaires interdites et des complots sans gravité à demi-mot. Oui, Harfang est un homme mystérieux, l'intrigue sur ses lèvres, l'hypocrisie dans l'éclat de ses yeux et pourtant, comme elle, il n'a pas demandé ça. C'est un pion, une marionnette que l'on a manipulé et que l'on a amené ici.
Ce n'est pas de sa volonté, c'est certain.
Et pourtant, Harfang, parfait petit chien muselé, tenu en laisse, collier autour du cou, est là et obéi aux ordres des aigles. Peut-on seulement lui en vouloir ? C'est sans doute la solution la plus sage, mais pas la plus noble, sans l'ombre d'un doute. Néanmoins, Edelgard n'en tiendra pas rigueur à l'homme, elle sait que quelque part, elle a de la chance de se retrouver enfermer ici avec lui.
Ca aurait pu être bien pire,
Oui, bien pire.

Déjà, la sorcière ôte ses gants de velours et croise les jambes, prête à subir les questions, prête à affronter une partie de son passé, car elle n'est pas idiote la lionne, elle sait parfaitement que son passage au sein du ministère figure dans son dossier et que Longbottom en fera usage et la questionnera là dessus. Ca la dérange un peu qu'il soit au courant de cette sale affaire, mais tant pis.
Elle garde la tête haute, la dignité avant tout, les regrets plus tard.

« Quel dommage qu'il ait fallu attendre une telle situation pour que vous me prononciez enfin ces mots. Vous savez combien je les ai attendus. » elle se met à rire, un rire léger, un brin moqueur, charmeur avant tout.
« Voyons Harfang, il faut savoir faire durée le plaisir. » réplique-t-elle, amusée par la tournure de la situation.

Mais bien sûr, l'amusement n'est que de courte durée.
Déjà, les questions affluent. Harfang doit tenir son rôle, intransigeant ou presque et Edelgard, le sien, mentir et esquiver sans que cela ne se remarque. Les yeux dans les yeux, la lionne et lion, duel au sommet, sans arme ni bouclier, armés de la langue, des mots et des règles de la bienséance, sous une pointe acidulée de séduction.

« Mais, puisque nous sommes là pour des affaires sérieuses. Permettez-moi de reporter cet interlude à plus tard. Bien. Commençons. Je n'ai pas pu faire autrement que remarquer que vous utilisez le terme de caméléon. Une compétence qui a dû vous être certes utile, lors de vos années de bons et loyaux services envers le Ministère. » ah, en effet, nous y voilà. Cela n'étonne pas la sorcière, elle arque cependant un sourcil. Déjà ? On évoque déjà son expérience passé entre ses lieux. C'est tôt, mais elle s'y attendait, elle s'y était préparée et elle entend encore la voix de Dimitri à ce sujet, ne perds pas ton sang-froid. Promis, petit frère, promis.
« En effet, j'ai eu la chance de goûter à plusieurs emplois avant d'hériter des clefs du casino et le ministère en fait partie, cependant, ce ne fut pas la meilleure expérience. » amère ? Légèrement. Rancunière ? A jamais. « Que diriez-vous de m'en dire un peu plus, entre collègues ? J'ai bien peur que les informations contenues dans votre dossier taisent les détails les plus... Intéressants. » intéressants ? elle esquisse un faible sourire à la commissure des lèvres, observant son interlocuteur. Il a soif de connaissance, il veut en apprendre plus, le bel âtre. « Avez-vous encore des nouvelles de votre... amie, miss Merigold ? Elle qui n'a, étrangement, pas été renvoyée. Contrairement à vous. »

Merigold.
Elle fixe avec sévérité le sorcier à l'évocation de ce nom, fragment d'un souvenir encore douloureux, une plaie qui n'est pas entièrement refermée, mais la sorcière n'en fait rien. Elle se contente d'ouvrir son sac à main, pour en sortir la boîte métallique qui contient ses cigarettes. Elle en glisse une entre ses lèvres.

« Puis-je ? » trop tard, la mèche est déjà allumée. Elle tire dessus longtemps, relève la tête, entrouvre les lèvres pour laisser la fumée s'y échapper doucement, à son rythme. « La curiosité est un vilain défaut Harfang, même chez un homme aussi séduisant que vous. » elle sourit de toutes ses dents, reprend son sérieux, le ton dur, sec. « Que dire ? Merigold appartient au passé Harfang. Le mien. Et si elle n'a pas été renvoyée, j'imagine que son cher père a fait parler l'argent. Un langage que nous connaissons bien tous les deux, vous n'êtes pas d'accord ? Le tintement de l'or est un son harmonieux aux oreilles et à plus d'un égard, une solution pour résoudre de nombreux problèmes. » des pots de vin. Et pourtant, elle n'en dit mot. « Vous voulez des détails intéressants ? Je me suis toujours demandée ce que le dossier avait passé sous silence. Dites-moi, est-il question du véritaserum que l'on m'a forcé à ingurgité à l'aide d'un sortilège impardonnable pour me délier la langue ? » elle plante son regard dans celui de l'homme, décroise et recroise les jambes dans l'autre sens.
« S'il vous plaît Harfang, servez-vous. » elle désigne d'un signe de tête, la boîte et les précieuses cigarettes, à défaut d'un verre, trinquons autour d'une clope.

Et déjà, Harfang rôde autour d'elle, il arpente la salle, semble prendre son rôle à coeur, le costume lui va comme un gant.
Un vautour autour de sa proie, mais elle n'est pas un morceau de viande, vieille charogne, elle est une lionne encore en état de se battre et elle ne compte rien lâcher, pas même à ce charmant collègue.

« Dites-moi, Edelgard. Maintenant que les années ont passé. Avez-vous des attentes particulières envers votre Ministère ? Des revendications, sans doute, pour que de telles bévues ne se reproduisent plus ? » des bévues ? elle se met à sourire de nouveau, nul doute que ce cher Harfang sait manier les mots avec une justesse pointue, c'est un maître dans cette discipline, mais rien d'étonnant quand on sait dans quel milieu l'homme évolue depuis des années.
« Vous savez, tant que je peux me remplir les poches avec l'or des sorciers, je ne me préoccupe pas du reste. Mon monde se limite au casino et à quelques attractions qui partagent ma couche de temps à autre. » son regard se plante dans celui de l'homme. « Cela me fait penser, mon cher Harfang, vous n'avez pas encore eu le plaisir de découvrir cet endroit. Le casino regorge de lieux secrets. » sourire délicieux sur des lèvres teintées d'un rouge vif, écarlate. « Mais pour être plus précise, j'attends une baisse des taxes pour les gens de mon espèce, taxons les nés-moldus et faisons grâce aux autres. Nous devrions bénéficier de plus de privilèges à mon sens. » Pause.
Elle tire une nouvelle fois sur sa cigarette.
« Et pour éviter de nouvelles bévues, pourquoi ne pas simplement fermer les yeux sur les plaisirs de chacun ? J'ignore qui partage votre couche, Harfang et je m'en moque complètement. Je sais seulement que ce n'est malheureusement pas moi. » elle hausse les épaules. « Vous n'êtes pas d'accord ? »