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 la mécanique du coeur (gabriel)

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Gabriel Potter
fresh muggle of bel air
Gabriel Potter
crédits : kraeken (avatar) clem (profil gif), astoria (signature gif), astra (signature), corvidae (icon)
face claim : xavier dolan
pseudo : figaro/amandine
la mécanique du coeur (gabriel) 5F0zNOsN_o
études : poudlard, serpentard (1900-1908)
particularité : les crocs sortant sous les éclats d'une lune pleine, malédiction cachée
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Message (ϟϟ) Sujet: la mécanique du coeur (gabriel)   la mécanique du coeur (gabriel) EmptyLun 11 Mai - 16:36

Gabriel Potter


001

ft xavier dolan
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nom et prénoms :Potter,  couronne invisible qu’il est né pour porter. La réputation familiale passant de père en fils. L’héritage forgé dans la douleur, dans la maîtrise, dans la perfection exigée. La réputation qui n’est plus à faire, l’image du père tyran venant se refléter parfaitement sur le fils. Gabriel, le messager des dieux ayant choisi l’enfer, rejoignant Hadès pour mieux régner. L’héritier, le second premier, l’homme façonné, le paradis depuis longtemps oublié.  Alaric, la prophétie, dirigeant de tous, des siens,  le destin tout tracé, poursuivre dans les traces de l’homme vénéré, tentant toujours d’atteindre l’inaccessible approbation du patriarche.
âge : 1er avril 1889, la mauvaise blague comme pour mieux enfoncer le clou du premier échec, de cette réalité qui n’a jamais été contée. La douleur laissant place au bonheur, l’ange ignorant suivre le chemin de Lucifer, renoncer à ses ailes pour fouler l’enfer sous ses pieds. Vingt-cinq années, beaucoup moins furent nécessaires pour tout inverser, pour qu’enfer devienne paradis, pour que le bourreau devienne père. Et pourtant, la blondeur angélique est toujours là, ses bras protecteurs se refermant parfois et c’est le nom de mère qu’il lui donnera.
origines : Anglaises, le nom des Potter ancré depuis des générations à cette terre. Premier né de la branche majeure, Gabriel est le couronné, le prince destiné à succéder à son père, à faire perdurer la grandeur des siens, à s’assurer qu’aucun membre de sa famille ne trahisse les valeurs faites siennes, inculquées de père en fils. Tradition faite pour perdurer et pourtant la couronne du prince se couvre d’épines, éloignant le rêve d’une vie, le but de son existence …
profession : La voie toute tracée, la place au ministère, suivre les traces du père pour le rendre fier, pour que les efforts d’une vie soient enfin récompensés. L’acte qui remet tout en question, qui laisse entrevoir derrière la machine un léger souffle d’indépendance. Une brise peinant à mouvoir le pétale d’une rose, venant pourtant le saisir, l’emporter vers un autre destin. Le père a transformé le fils en soldat articulé, décuplant chez lui ce gout du sang, de la traque. Aucune pitié, seul compte le résultat. L’éclair de lucidité dans l’esprit façonné. Briller, se surpasser, rendre fier, toujours et encore plus. le poids d’un regard sur lui, toujours. Comment aurait-il pu être à la hauteur au ministère ? Comment l’être mécanique aurait-il pu s’élever dans les  sphères d’un où l’éloquence dépasse les actes.  Lion encage, luttant chaque jour pour ne pas décevoir, une réalité à laquelle il a su échapper. Chasseur de primes, fin limier, le prince n’a pas peur de se salir, il plonge vers la noirceur, heureux d’offrir à Hadès de nouvelles âmes pour peupler son royaume. L’archange ne pouvant jamais se lasser des sensations addictives d’une proie venant d’être cueillie.
nature du sang : Le sang le plus pur, l’étendard familial, aucune ne faille, aucune exception. Le carmin bleuté se doit d’être préservé, se doit de continuer. Jamais le chérubin ne pensait trahir dieu le père et déshonneur les siens… Le sang prend un nouvel éclat lunaire, une réalité tue, interdite, le châtiment le plus cruel pour le prince à l’avenir tout tracé.  
lieu de vie : Le domaine familial des Potter, le château du roi et de sa descendance, la maison de l’enfant, le lieu chéri de l’adolescent, le refuge de l’homme qu’il ne quitte jamais longtemps. En secret, le chasseur s’est pourtant trouvé un pied-à-terre, une garçonnière, à deux pas de l’allée des embrunes, bien lui du faste du château. Prince et prédateur, deux faces d’un même tout.  
baguette :bois de chêne rouge, le coeur se constitue d'une épine de monstre du fleuve blanc, très rigide en son centre, le manche est davantage flexible, 30 centimètres, une baguette faite pour les duels.
personnalité : Le prince Potter, le bien né, le digne fils de son père. L’homme mécanique, impassible, ne courbant l’échine que devant le patriarche. L’archange profitant allègrement des enfers, le limier aux mœurs cruelles, le sang si facile à verser. L’obéissance inconditionnelle. Le regard brillant d’une aura particulière, lorsque la rancune tenace vient tout complexifiée, réveiller ses pires côtés. L’intelligence se faisant malice pour mieux détruire, atteindre en plein cœur à défaut de savoir utiliser le sien. Incapable d’aimer, les propos murmurés, bien loin de la réalité, du manque de compréhension certain du fils, de cette réserve barrière qui vient handicaper. La peur lointaine, celle de s’ouvrir, de laisser rentrer, d’y perdre bien plus que ce qu’il ne peut gagner. L’ambivalence, le maniaque qu’un coup de sang peut amener à tout détruire, désorganisation complète. Le besoin de jouer, l’impossibilité de perdre, la rage accompagnant ces moments tornades. La patience envers les siens, ceux qu’il protège plus que tout, plus que nul autre. La sensation de devoir tout maitriser, l’entêtement que l’être peut mettre pour y arriver. Si proche de la folie. Les conversations courtes, les mots venant à manquer, incapables d’être totalement exprimés, coupés par les propres pensées d’une psyché tourmentée. Solitude réconfortante. La vie si proche de la mort, comme cette amie venant le chérir de cette aura si particulière. Difficile à cerner même pour le principal concerné. Autodestruction complétant cette sensation de n’être jamais assez, ce besoin de plus comme s’il pouvait tout arranger. Marbre pour mieux cacher les fissures, rester le digne représentant d’une réalité faussée.
particularité : Le chasseur est devenu proie, incapable de comprendre, de saisir l’instant où tout a basculé. Le revirement de situation inattendu, les souvenirs bien loin d’être clairs. Les réminiscences qui viennent envahir ses nuits, torturer ses songes pour mieux lui rappeler sa nouvelle réalité. L’être ignore le nom de la bête perfide venu goûter sa chair si tendre et est loin de se douter qu’elle prend les traits agréables d’Enkhjin Greyback.

Le déni qui n’a pu perdurer, pas quand la douceur d’une mère est venue panser des plaies qui auraient dû tuer. Pas quand l’état s’est amélioré ne laissant comme indice qu’une cicatrice, là, le long de sa cuisse droite. Une marque qu’il a tenté d’ôter, de dissimuler, de changer, mais rien n’y fait, aucun sort, aucune potion et même cette peau qu’il s’est entaillée, tentant d’en changer la forme. La réalité perdure, transforme, rend fou, détruit la mécanique bien huilée.  

L’espoir de l’ange blond, d’une mère refusant de renoncer, seule alliée dans cet océan tortueux mais l’archange n’est pas de ceux qui espèrent une action divine. La réalité qui approche, petit à petit, ce regard chaque jour tourné davantage vers l’astre maudit. Le temps lui est compté, pas de remèdes, seulement des pistes de solutions aussi peu enviables les unes que les autres. La malédiction est lancée, rien ne pourra l’arrêter. La bête est là, il la sent, il le sait. Elle tente de sortir, là, quand ses coups de sang se font plus virulents, quand la maîtrise de soi devient une longue agonie… Quand le gout du sang prend une tournure bien moins appréciée. Et au bout de tout, il ne reste qu’un homme tentant d’échapper au monstre, une course poursuite infinie dont aucun des deux ne peut sortir vainqueur.

INFORMATIONS IMPORTANTES

I AMOUR. Comment un simple mot peut devenir si complexe ? Comment peut-il renfermer une réalité qu'il ne peut saisir, ne peut comprendre. Il a vu ce qu'était l'amour, ses passants en train de s'embrasser. Ses connaissances se laissant aller dans les affres d'une sensation totalement inconnue pour lui. Il n'en parle pas, jamais avec personne. De quelle manière pourrait-il expliquer combien ce sentiment lui est étranger. Qu'il n'a jamais senti son coeur battre d'une manière différente pour qui que ce soit. Que lorsqu'il se retrouve aux abords d'une jolie femme, il se retrouve perdu, incapable de savoir comment l’apprivoiser, comment la posséder, comment la dominer, comment ne pas merder. La maladresse qu'il déteste, qu'il fuit, bien loin de la perfection exigée, recommandée, alors il n'agit pas, laisse passer des occasions qui pourraient le réveiller, rien qu'un peu, remuer ce qui semble éteint. Incapable d'aimer, sans doute seulement une partie de la vérité mais elle reste, perdure, se murmure encore et encore pour ne jamais le quitter. Alors parfois, c'est par la force de galions dépensés qu'il trouve cette version biaisée, deux corps se trouvant, se rencontrant, mécaniquement mais l'amour jamais ne vient...  II HÉRITAGE. Le comportement qui ne cesse de se répéter, le fils reproduisant les erreurs du père, continuant ce même modèle, se répercutant sur les épaules du prochain héritier. Comme une chaine sans fin, faire perdurer la pureté, faire perdurer le rang, la grandeur familial, but ultime de tout prince attendant de devenir roi. Potter, un royaume, un héritage à ne pas laisser tomber. La caboche du rejeton remplie des propos si souvent entendus, les mots devenant volonté, l'accomplissement de sa vie, le but ultime, prendre la place qui est sienne et ne pas déshonneur ceux passés avant lui. Si compliqué, tâche quasiment impossible quand le regard du patriarche se pose sur le chérubin. Le doloris devenant je t'aime, les punitions la plus belle forme d'amour, la seule capable d'être prononcée entre un père et son fils. Gabriel, le regard toujours tourné vers Henry, attendant d'entendre enfin prononcé cette fierté tant demandée. Mais jamais ne viennent les mots, seulement les maux, l'habituation à la douleur, à tout ce qui aurait semblé impensable dans d'autres maisonnées. Gabriel, le bon petit soldat, l'obéissant, trop... Les punitions auto-infligées, expiation des fautes inventées, de cette sensation de n’en faire jamais assez. Le poids toujours plus lourd à porter tel Atlas portant le poids du monde sur les épaules... Il se saigne dans la seule idée de la réussite, à tout prix, dans tout domaine. Le besoin d'accomplissement, de prouver sa valeur. Le regard criant toujours père soit fier de moi mais jamais les mots ne passent la frontière des lippes. Et le bon soldat attendra toujours cet instant qui n'arrivera surement pas… Rêve illusoire.III MUSIQUE. Combien aurait-il donné pour qu'une muse sur son berceau vienne se poser. Lui offrir le talent tant prisée dans cette famille qui est sienne. Piano qu'il a tenté d’appréhender sous les yeux du père, échec cuisant, blessure intérieure de ne pas avoir satisfait aux exigences. Douleur encore plus vivace face au talent d'Astoria, muse parmi les muses, maniant les touches avec tant de dextérité. L'abandon de toute tentative de s'améliorer, la jalousie venant dans ses veines s'infiltrer. Le sentiment de médiocrité le poussant à ne plus jamais laisser personne l’entendre jouer. Pas même de cet harmonica un jour dérobé lors d’une chasse. Son mélodieux, mélancolie se réveillant, à lui seul. Jamais plus il n’osera jouer devant qui que ce soit, la  peur de l’échec encore bien trop ancrée. IV DESSIN. Les doigts qui n’étaient pas si inutiles, mauvais support seulement. Le trait assuré, les coups de crayons pour mieux émerveillés, le noir et blanc privilégiés aux couleurs, trop criardes, lointaines. Le sombre révélant sa beauté. Le moyen de s’exprimer, de communiquer. La peur pourtant présente, jamais le fils n’a osé tracer l’esquisse de son père. Passion loint d’être secrète et pourtant peu peuvent se targuer d’avoir un jour déposé une œillade sur l’œuvre achevée. Jardin secret, galerie des sentiments, des ressentiments, des instants de vie, de moment où tout aurait pu changer si les mots avaient été dits. Beauté et violence, mélange des genres, émotions tantôt torturées, tantôt teintées d’une forme d’amour. Là, quand sous ses traits apparaît le visage éclatant d’une mère ou l’âme combattante d’une sœur.  V SOLITAIRE ENTOURE. Le nom, la réputation, paraître, montrer qu’il est comme les autres de son rang tout en sentant au fond de lui cette différence. Cet effort pour converser, pour appréhender les relations humaines d’une manière acceptée. Le caractère sanguin, le désintérêt parfois difficile à feindre. Solitude bienvenue, avide de savoir, pour la grandeur, pour le nom. Présent et absent à la fois, la position qu’il maintient, le dégoût des inférieurs sujet le plus à même de délier sa langue. Mais moins que les duels, sentiment de puissance venant lui parcourir l’échine. Rabaisser l’autre et s’élever, naître des cendres des ennemis. Caractéristique bien plus évidente à développer que l’art de converser sur des sujets dont il pourrait bien se passer.  VI ÉCARTÈLEMENT PSYCHIQUE. L’unité qui n’a jamais marché, pas sur l’être écartelé. L’obsession de réussite venant tout pervertir, ne laissant en lui qu’un mélange étrange, être et ne pas être. Les besoins et les restes d’une ancienne vérité, d’un homme qu’il aurait pu être. Les contraires qui se manifestent, qui se combattent à l’intérieur d’une psyché endommagée. Etre et devoir, se combattant, ne sachant jamais qui des deux gagnera. Le mélange de genre, le dédoublement. Le prince et le chasseur. Le moyen de ne pas sombrer, de laisser le masque de côté, l’espace d’infimes moments. La traque libératrice, l’explosion d’une certaine cruauté, d’un besoin de posséder, de destruction. Il ne serait pas à écarter qu’au fond, la proie n’est jamais vraiment attrapée, que ce besoin, ce plaisir, cette addiction renferme une vérité plus profonde, un moyen de laver des années d’affronts, de non reconnaissance. Que l’enfant se plonge dans des substituts pour mieux se venger d’une cruauté que le fin fond de sa psyché n’a peut-être pas totalement acceptée. Mais tout est enfui, loin, tellement que la surface n’en prendra jamais conscience. Dualité faite pour perdurer.  VII.SECRET MATERNEL Le regard de l’ange blond, toujours particulier, le rayonnement comme aucun autre. La lumière dans l’ombre totale, celle qui attend toujours. Celle qui pardonne tout, qui accepte, tellement, qui jamais ne juge. La bulle dans laquelle l’homme vient se réfugier parfois, redevient l’enfant, le petit laissant les mains maternelles caresser ses cheveux. Leur secret, cet instant où parfois la mécanique s’enraye, où le masque se fend, instants rares, sans doute trop. Rejet parfois, de ce fils voulant rester homme, tentant de devenir le digne héritier de son père. La complexité de maintenir les deux en même temps.  Mais pourtant perdure les rencontres au Pot d’Or, les instants hors du temps, où les mots deviennent superflus, cigarette, musique, café arrosé d’une dose alcoolisée. Le havre d’une paix si souvent inconnue. Gabriel préférerait se couper un membre que de revenir sans les ingrédients demandés par celle qui lui a donné la vie.  VIII .SCOLARITÉ Le changement de vie, quitter le nid parental, découvrir une toute autre réalité et sans jamais laisser l’esprit s’éloigner du but premier. Vert et argent, première élan de fierté. Rejoindre la maison du père, un retour à la maison, un moyen de continuer l’héritage. Et pourtant, les bleutés auraient pu tout aussi bien l’accueillir, lui le travailleur acharné. L’hésitation du choixpeau qui n’a pas perduré face à l’envie tenace du préadolescent.  La ligne de conduite qui ne cesse de dicter chacun des choix, la voix résonnant toujours dans  sa tête, le poussant vers l’excellence. La voix devenant torrent destructeur quand les attentes ne sont pas atteintes, plus besoin de la présence du père pour que le châtiment soit expédié. Il y aura les insomnies, le besoin de relire, d’étudier, de se surpasser, de ne laisser personne le dépassé pour ne pas descendre dans l’estime tant désirée. Il y aura ces longs moments passés près du lac, le carnet à la main, le silence, la solitude, la paix, l’oubli nécessaire. Et puis viendra le reste des siens, le besoin presque viscéral de protéger sa fratrie, de ne laisser aucun homme approcher ses sœurs. L’éducation nécessaire de ces hommes qui auraient laissé leur regard un peu trop s’attarder. Il y aura l’instant étrange, le moment où l’insigne viendra sur sa robe, inattendu, impossible pour l’être de se sentir à la hauteur derrière ce masque de glace frôlant pourtant l’arrogance. Une simple image, une barrière entre lui et les autres. Il restera ces instants où il perdra pied, ne pouvant retenir cette rage intérieure. Où la malice viendra protéger l’être de lui-même, sa réputation de ses propres actes incontrôlés. Des moments où il tentera milles fois d’aller aborder d’une manière appropriée la sorcière ayant passé les trois quarts du cours à le regarder, pour mieux s’éloigner sans qu’aucun mot n’ait été prononcé. Des instants où il ne pourra s’empêcher de laisser ressortir ses idées, cette hiérarchisation de sorciers en fonction de la nature de leur sang. Cette fierté dans la pensée préfabriquée. De tout cela il restera le passage de à l’âge adulte, des années de souvenirs impossible à résumer, des moments qu’il préférera parfois oublier, d’autres qu’il tentera de préserver, là, dans cet espace un peu étrange à l’intérieur de lui-même. IX .LUNE Choc et déni, colère, négociation, dépression et douleur, acceptation. Les 5 phases d’un deuil impossible, celui de l’homme qu’il a été. Celui de l’homme qu’il ne sera ne plus jamais. Le déni est passé, incapable de perdurer face à la vérité, à cette sensation intérieur ne cessant de lui rappeler le changement imminent… Le choc qui perdure, qui refuse de s’en aller, qui se retrouve facilité par les idées brouillées, la réalité si peu tangible. Colère grondante, là, au fond de lui, difficilement maitrisable, combat qu’il perd petit à petit, la lune augmentant dans le ciel. Combat perdu d’avance.  Négocier, tenter d’oublier cette autre part de lui, impossibilité. Les choses ne vont pas dans ce sens, pas dans sa condition, le seule chemin qu’il peut suivre, impossible. Jamais il ne pourra accepter la condition devenue sienne. Comment pourrait-il d’une seule cicatrice oublier tout ce qui le compose ? Tout ce pourquoi il a lutté pendant tant d’années. Le prince ne veut perdre la couronne et tout ce que cet acte symboliserait. Mais peut-il vraiment lutter contre l’inéluctable ? Trouver une voie dérobée ? Peut-il continuer d’exister si ce n’est pour plier l’échine devant le père  afin de l’honorer ? Peut-il se réinventer ? L’avenir incertain que seul l’éclat lunaire pourra révéler. Les jours tortures avant que l’astre plein ne l’entraine vers ce monde nouveau.. X HABITUDES. Une soirée passée au Ful Opium en compagnie de Lyrae. – Les lettres dessins dévoilant bien davantage que n’importent quels mots - Les surnoms idiots d’Astoria menaçant si souvent de le rendre chèvre. - Lyrae  tentant de lui inculquer les bases d’un certain style avant de tout simplement lui choisir la tenue lors d’un évènement important. L’homme appréciant pouvoir compter sur le style certain de sa sœur. – Replacer les livres de sa bibliothèque pour qu’ils soient par ordre alphabétique avant de décider de les ranger par préférence – Toujours avoir sa baguette à portée de main. – Regarder Raphaël aller à la cave et savoir que c’est pour son bien- Revenir avec les vêtements ensanglantés d’un sang autre que le sien – Les duels improvisés avec Lyrae dans lesquels il tente de ne pas la blesser – L’incompréhension quand son regard croise celui d’une femme, l’incapacité d’en comprendre le fonctionnement – La cigarette amie – La boisson médicament du cœur mécanique – L’elfe de maison malmené pour une poussière malvenue – Les doigts pianotant lorsque l’impulsivité n’est pas loin – Le calme apporté par l’odeur de la forêt – L’incapacité de s’occuper du moindre animal – L’acclimatation certaine à la douleur – Les insomnies fréquentes – La soirée au Casino suivant une bonne traque, claquer l’argent dans le jeu et les boissons. Les mauvais tricheurs que parfois il peut malmener. - L'attrait pour l'apprentissage de nouvelles langues à défaut de posséder l'éloquence.


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    bromance des amis qu'il pourrait connaitre depuis poudlard ou de par son cercle social, des personnes qui pourraient s'adapter au caractère incertain et particulier de Gabriel ou du moins le tolérer.

    la fiancée destins croisés, tout à construire ensemble

    chasse ouverte quelqu'un qui se serait trouvé sur son chemin lors d'une de ses traques, poursuivant la même cible. Qui des deux aurait gagné ?

    melting pot des ennemis, des gens avec qui les poings sortent souvent, des gens auxquels il aurait laissé un mauvaise souvenir, de l'étrangeté, du fou, du drama, ...
 


Dernière édition par Gabriel Potter le Jeu 25 Juin - 13:34, édité 2 fois
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