évolution d'adalind goyle.

lumos. le société d'aujourd'hui se meurt à petit feu face à des conflits sans intérêts, des idéologies arriérées. tu regardes les autres, et tu ne vois que des humains qui peuvent s'aider les uns les autres.


il y a beaucoup de rumeurs, des murmures qui t'arrives parfois aux oreilles. toujours survoltée, jamais calme. le cynisme qui coule, qui coule comme les mots qui sortent de ta bouche. la patience qui imbibe le sang, patience inculquée par les longues heures de quidditch, et par la suite les heures passées à comprendre les runes. et puis il y a aussi le mot violente qui revient souvent. le volcan qui explose à tout moment, le trop plein d'émotions qui finit par déborder. les poings qui se lèvent, jamais la baguette. depuis toute gamin on te dit pessimiste. à voir le verre à moitié plein, à t'attendre au pire mais espérant le meilleur. il y en a qui te dise protectrice, surtout avec ta famille.

mai 1880.
naissance dans le manoir mckinnon, comme la tradition l'exige. première fille. les hurlements qui ne tarissent pas, la mère couverte de sueur qui regarde l'enfant avec adoration, le père qui regarde la scène d'un air sceptique. accouchement difficile, mais qui en valait la peine, a-t-elle toujours dit.
juin 1884.
naissance du dernier de la famille. petit gamin encore rouge, qui braille la nuit. tu le regardes d'un air interrogateur, les yeux brillants. quand tu le porte, il arrête aussitôt d'hurler, te regardes avec attention. il attrape ton doigt, gazouille comme le font les enfants à cet âge là.
janvier 1889.
première rencontre avec le futur époux. gamine qui ne comprend pas vraiment ce que cela veut dire. un époux. tu le trouve beau, c'est tout ce qui compte. il a cet air renfrogné sur le visage, et il est un peu plus jeune que toi. tu le dépasses même en taille, et tu espère qu'il deviendra un peu plus grand bientôt.
septembre 1891.
arrivée à pourdlard. les yeux de la gamine qui s'agrandissent face à tant de beauté. le choixpeau qui hurle "serdaigle!" à peine tes cheveux le touche. tu rejoins la table qui applaudit, des têtes que tu ne connais pas qui te tape dans les dos avec un air heureux sur le visage. tu sais déjà que tu vas te plaire dans la maison des érudits.
septembre 1897.
tu deviens capitaine de l'équipe de quidditch de serdaigle pour ta dernière année. la gamine qui dirige d'une main de fer l'équipe. ils ont tous peur de toi. tu beugles les instructions sur le terrain, la voix qui porte et qui terrorise les plus jeunes. le don qui semble être alors mis à profit, tu t'épanouis alors.
juin 1898.
la fin de l'année qui approche. l'équipe des harpies de holyhead qui te veut dans leur équipe. tu ne peux pas refuser une telle offre, le rêve qui s'accomplie sous tes yeux. tu acceptes alors. le destiné était tout tracé. commence alors les plus belles années de ta vie, à voler et à attendre les hurlements de la foule qui t'acclames, et ton cœur se gonfle alors.
mai 1901.
mariage avec kieran. la robe est élégante, la cérémonie magnifique. tu aurais eu des sentiments pour l'homme en face de toi, tu aurais sûrement pleuré. mckinnon est alors effacé, pour faire place à goyle. l'élégance se fait remplace par la simplicité et le dégoût. les parents qui pensaient faire bonne affaire, mais c'est bien l'inverse. l'homme en face de toi n'est plus la gamin que tu as connu plus petite, celui que tu dominais d'une bonne tête.
décembre 1904.
le match dure plusieurs jours. le temps est mauvais, personne ne voit rien. la pluie tombe. tu reçoit un premier cognard dans le bas ventre. un deuxième au niveau des lombaires. quelques minutes plus tard, c'est un troisième cognard qui touche ton crâne. et tu ne te souviens plus de rien après. le trou noir, juste de la douleur et quelques gémissements de douleur.
mai 1904.
les rêves de quidditch balayés. les rêves d'une autre vie aussi. secret enfoui, gallions que tu donnes au médicomage pour qu'il se taise. la vérité qui fait trop mal, la vérité qui détruirai sûrement la famille. personne ne sera au courant, et tout s'effacera avec le temps. tu finis par te pencher sur les runes, ancienne passion découverte à poudlard.  
juillet 1914.
tu es devenue traductrice de runes anciennes, plutôt convoitée d'ailleurs. le monde change, les convictions de certains personnes aussi. toi, tu restes fidèle à tes positions. tu as rejoins les enfants de morgane, et abelforth dumbledore ne semble pas heureux de te voir rejoindre ses rangs. il te regarde comme s'il s'attendait à ce que tu les trahissent, le nom que tu portes qui fait fuir les plus faibles désormais.
septembre 1914.
les noces d'ors. le invités qui s’empiffrent et qui font la fête sans se soucier de quoi que ce soit. la beuglante qui arrive, l’empoissonnement qui est révélé au grand jour. et finalement ce n'est pas seulement les invités qui sont touchés, mais tout londres. et tu te demandes si ta place est bien parmi les enfants de morgane, certains étant devenus bien trop extrémistes à ton goût.
octobre 1914.
confrontation abel.
rencontre césaire.

aventures en cours :

• railroad track, ft. @abelforth dumbledore (confrontation avec abelforth suite aux gestes extrêmes de certains enfants de morgane.)
• how did i get here, sitting next to you?, ft. @kieran goyle, @alecto goyle, @icarus goyle, @calum goyle (réunion de famille des goyle.)
• tell me your secrets, ft. @césaire delacour (rencontre avec césaire delacour.)

aventures passées:

• wreak havoc, ft. @kieran goyle (journée habituelle chez les goyle, une dispute qui éclate.)
• titre du sujet, ft. nom du/des partenaire/s (courte description + issue)
• titre du sujet, ft. nom du/des partenaire/s (courte description + issue)