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 watch you lose (avril 1914)

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AuteurMessage
Bathilda Grindelwald
coalition sorcière
Bathilda Grindelwald
crédits : corvidae (avatar), alex (gif)
face claim : marion cotillard
pseudo : figaro/amandine
watch you lose (avril 1914) O1Mr6Up
études : poufsouffle 1881-1888
particularité : troisième œil, malédiction des songes, mélange de futur et présent, conjugaison compliquée
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Message (ϟϟ) Sujet: watch you lose (avril 1914)   watch you lose (avril 1914) EmptyVen 29 Mai - 15:17

Les voix s’élèvent, grondent, les partisans sont en colère, réclament le sang, la tête des traitres, des piètres  sorciers, de ceux qui ont volés leur magie. Le renouveau est en marche, prend la direction désirée. Plus jamais les sorciers ne plieront devant la menace moldue, leur race avant tout, avec les autres. La pensée rien qu’un instant s’égare sur le sort des créatures, le secret à continuer de discuter avec son neveu. La matriarche est fière de son petit protégé, de tout ce qu’il a accompli, de tout ce qu’il continuera de faire, ce qu’il ne cessera jamais. L’homme de la situation, le renouveau de son nom, de celui qu’elle n’oubliera jamais. Les cris, les accusations, tant de choses qu’elle laisse la plèbe regret, oh non, l’inquisitrice ne se charge pas de basses besognes, plus maintenant. L’idée est ailleurs, différente, l’idée prend un tout autre chemin maintenant… La lettre entre ses doigts et l’idée claire, limpide. Oh non, l’homme ne s’attend pas à ce qui va lui tomber dessus. Peut-être rien qu’un peu, elle observe la scène, les partisans affamés, les affaires renversées, les mots prononcés, de la haine pour le traitre. Lui faire payer, elle pourrait ne point agir, laisser les sanguins lui montrer le traitement mérité… L’infériorité méritée par les décisions prises. Mais non, elle ne laisse point, sait bien le raisonnement ayant conduit son chemin jusqu’ici… Le raclement de gorge, discret et puissant à la fois, elle ne dit rien, pas tout de suite, elle attend qu’un premier reconnaisse sa carcasse. Nul ne l’ignore plus, pas dans la gloire du fils prodigue… L’un s’arrête, puis l’autre et tout finisse par se retourner vers elle, sentiment de puissance appréciée, sensations de revivre, d’être autre, de redevenir, phénix renaissant de ses cendres. « Veuillez quitter les lieux sur le champ… » L’ordre prononcé et les pas commençant déjà, ne demandant pas leur reste, des pas qu’elle doit pourtant retenir. « Pas vous Archibald, j’ai à vous parler. » L’état des lieux,  vite fait, tout n’est plus, du sang a coulé également loin d’être une inquiétude pour la femme. Non, sur le bureau elle vient s’installer, plonger ses pupilles dans cette de l’infâme et lui quémandant, non exigeant que sur le fauteuil devant elle, il vienne prendre place. La faire attendre ne serait pas une bonne idée, serait même l’inverse. Les doigts déjà pianotent contre le bureau. Premier mouvement attendu mais la suite déjà connue, rien n’empêchera le traitre d’être jugé, de perdre tout ce qu’il avait créé. Et peut-être que là, elle pourra enfin lui pardonner les mensonges ayant détruits sa destinée…
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https://forthegreatergood.forumactif.com/t1647-les-metamorphoses
Archibald Weasley
sans camp
Archibald Weasley
crédits : @prudence
face claim : Domnhaal Gleeson
pseudo : Kraeken
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études : Rouge et Or, le lion rugissant encore dans son coeur
particularité : Muggle-Enthusiastic, spécialiste en son genre
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: watch you lose (avril 1914)   watch you lose (avril 1914) EmptyDim 31 Mai - 10:14

La journée était censée être banale, Archibald se tenait dans son bureau, le service était en effervescence, les tensions dans le monde moldu devenaient compliquées a ignorer. Plusieurs objets moldus ensorcelés avaient été retrouvés dans l’autre monde, les oubliators étaient débordés et l’ambassadeur aux affaires moldus était entouré de dossiers différents, chacuns plus importants que l’autre, il avait sa baguette entre les dents, feuilletant les dossier en traçant quelques lettres et signatures de sa plume d'hippogriffe offerte par Hécate quelques années plus tôt. Le Weasley n’avait même pas entendu les explosions, trop plongé dans ses devoirs, particulièrement professionnel, excellant dans ce qu’il faisait, des résultats exceptionnels pour un service trop souvent regardé de haut pourtant indispensable a la co-existence entre les moldus et les sorciers. Et Archibald brûlait d’envie de montrer aux siens à quel point les moldus pouvaient s’avérer utiles, leurs avancées technologiques des dernières années étaient simplement brillantes, brisant les barrières mises en place par l’absence de magie, la remplaçant par une ingéniosité nouvelle et exceptionnelle. Pourtant il avait levé les yeux en voyant la porte de l’entrée du service sortir de ses gonds dans une explosion, sa baguette avait retrouvé sa main immédiatement, un sort d’immobilisation trouvant le fauteur de trouble en pleine poitrine. ça y est. Une évidence dans l’esprit du sorcier, d’un ton clair il congédiait les gens encore présents dans le bureau. Si le ministère était tombé, ceux travaillant dans son service seraient les premiers a tomber, et il était hors de question que cela arrive sous sa surveillance. Un après l’autre, les sorciers se plaçaient dans la cheminée du bureau de Weasley, disparaissant dans des gerbes de lumières vertes. Sa baguette claquait alors dans l’air, le castor argenté filant rapidement pour apporter le message de la chute du ministère a Hécate. Il allait lui même disparaître dans les flammes vertes quand quelques gorilles de la confédération avaient fait leur apparition face a lui, baguette tendues, alors que d’autres s’amusaient à détruire les dossiers qui traînaient sur les bureaux. Archibald tentait de les calmer, mais les deux baguettes braquées sur lui ne lui laissaient pas beaucoup de marge. Quelques insultes s’envolant a son égard, le traître a son sang, l’adorateur des moldus. Ils ne lui arrachaient pourtant qu’un sourir léger. Il avait été traître a son sang depuis bien longtemps déjà, ne s’en était jamais caché. “Vous n’avez aucune autorité ici. Je vous conseille de déguerpir avant que les choses ne s’envenime.” Sa voix était calme et posée, pourtant, le lion pouvait se montrer menaçant, sortir les crocs et les griffes pour atteindre ses ennemis. « Veuillez quitter les lieux sur le champ… » La voix frappait dans la salle, les singes obéissant déguerpissaient très rapidement. Archibald aurait reconnu la voix entre mille. Il se retournait calmement, baguette en main, les yeux posées sur son amie d’enfance. Souvenirs des années a Poudlard où la bande ne se quittait jamais, Archie et Hécate, Icarus et Bathilda. Quand bien même il avait fallu plus longtemps a Archibald pour comprendre la relation de son meilleur ami avec la Grindelwald. Et pourtant il se doutait qu’il n’y avait plus rien d’amical dans leur relation. Elle s’asseyait sur son bureau, lui faisant signe de s’installer dans la chaise placée devant elle. Archibald haussait un sourcil, elle osait attendre quelque chose de lui dans son propre bureau. Il s’approchait sans pour autant s’asseoir, appuyant son coude sur le dossier du siège il dardait ses iris sur le visage de la femme. “Alors ça y est ? Ton neveu a atteint son but. Longue vie au Ministre pas vrai ?” Piquant à son habitude, le sarcasme comme une seconde nature. Il se doutait bien que ce serait sa dernière journée au ministère, il n’avait pas besoin d’elle, d’ailleurs sûrement une note de service aurait suffit, non elle avait autre chose derrière, et protégée par son nouveau statut, Archibald n’avait d’autre choix que de jouer le fauve domestiqué. Il tournait ensuite son regard sur l’état de la salle, les bureaux renversés, les parchemins déchirés ou brûlés. “Et bien vous venez de détruire plusieurs mois de travail et de recherches. Ne venez pas vous plaindre quand les Moldus mettront la main sur un objet ensorcelé.” Il était enragé, même si sa voix se forçait a rester calme et sèche, il brûlait d’envie de la mettre face à la réalité, la réalité simple qui était que ce service était plus utile aujourd’hui que jamais.
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Bathilda Grindelwald
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: watch you lose (avril 1914)   watch you lose (avril 1914) EmptyLun 1 Juin - 18:45

Non, la femme ne serait pas de ces fous furieux incapables de se contrôler, saccageant tout sur leur passage… A quoi bon ? Abimer changera-t-il la réalité ? En aucun cas mais le petit peuple doit se divertir pour rester attaché, pour continuer de ployer face à la grandeur des Grindelwald… Du pain et des jeux, comment divertir dans la Rome antique, sans doute la seule bonne idée des odieux moldus. Nourrir le peuple reconnaissant, méritant, leur dédier un spectacle beaucoup moins barbare que précédemment… Faire combattre les infâmes, les traitres, les voleurs de magie et laisser de côté les créatures éplorées, détruites, abimées, au moins rien qu’un peu… Les hommes peuvent s’entre tuer, ils ne font que ça depuis la nuit des temps de toute manière… Les talons claquent autant que le regard adressé à la cible du jour, choisie avec soin, loin de la visite de courtoisie. Tout bon sentiment est rangé, oublié, laissé dans un coin, dans cette partie à laquelle il ne faut plus penser n’est-ce pas ? Ce jour où elle s’est présenté devant le couple pas encore marié, où elle a pleuré toutes les larmes présentes dans son corps, quand elle les a supplié de tout avouer, de tout révéler, quand elle a quémandé seulement de pouvoir le retrouver, le suivre, l’aimer, que c’est tout ce qui importait… Mais non, le silence là emporté… Le silence a détruit toute amitié, toute confiance, toutes ses années passées à leurs côtés. Choix d’un autrefois qui les condamne, surtout lui, surtout l’homme… Certaines seraient peut-être plus enclines à tabasser, à s’entourer de deux gros bras et les laisser démonter la carcasse putride mais pas elle. Si elle veut voir l’homme ployé c’est de ces mots, nullement de l’aide fournie par autrui… Alors tous devaient partir pour ne laisser entrevoir que la présence de l’intéressé, la lettre mais elle était si peu finalement, bien loin de tout ce qu’elle allait prononcé. Une adresse, c’est tout ce qu’il aurait fallu, un pays, elle s’en serait contentée, elle aurait été le rejoindre, elle l’aurait cherché, partout dans chaque recoin et elle l’aurait trouvé… Un mot, à quoi s’accrocher mais non, aucun espoir tout comme Archibald va le comprendre maintenant… Obéir n’était point son fort et il le montrait, une fois encore, bien incapable d’agir comme il fallait, de s’installer comme demandé… Elle laissait passer, pour l’instant arriverait à le dompter, à le faire plier d’une manière ou d’une autre… Le petit rire mauvais, rapide mais présent, l’œillade ne laissant aucun doute sur la réalité de l’instant. « Son but ? N’est-ce pas le but de tout véritable sorcier de vouloir défendre sa communauté ? S’assurer de sa survie face à la menace putride des moldus et sang-de-bourbe ? »  Prendre l’homme à son propre piège, avoue encore une fois tes idées Archibald, offre-moi une chance de te coincer encore un peu plus ne cesse-t-elle de penser. Sourire ne cessant de se propager. L’œillade suit celle du rouquin, observe les dégâts, les mots encore et toujours et le rire toujours aussi grinçant, toujours aussi pesant. « L’objet finira sans doute par les tuer, éliminant de dangereux criminels au passage, pourquoi s’encombrer ? Pourquoi chercher quoi que ce soit avec ces putrides créatures. Qu’ils crèvent tous et que nous redevenions forts, puissants, loin de leurs abjectes pensées, de leur tendance certaine à nous détruire… »  Le visage d’une sœur apparaissant, ne cessant d’être là, de se montrer, de la pousser encore et toujours plus loin. « Le monde moldu et sorcier ne sont pas fait pour communiquer. » Sa réalité, sa sensation, sa réalité bien lointaine de celle du Weasley elle le savait bien. « Ta situation est des plus précaires Archibald, je trouverais fâcheux qu’elle s’envenime parce que tu refuses de t’installer sur cette chaise… » Légère pause avant d’enfoncer encore un peu plus le clou… « Ou que tes enfants payent le prix de ton incapacité à suivre les ordres donnés… »  Oserait-elle faire souffrir un enfant pour les crimes d’un parent ? Elle-même n’en était pas certaine, la femme d’autrefois n’aurait jamais pu mais celle qu’il avait transformée, était capable du pire… Regarde ce que tu as fait de moi Archibald chantent les pensées…
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: watch you lose (avril 1914)   watch you lose (avril 1914) EmptyVen 5 Juin - 19:45

La méduse dardait ses yeux perçants sur le lion qui se retrouve paralysé, c’était trop tard pour fuir, pour reculer. Alors Weasley à son habitude ne se laisserait pas démonter facilement, il gardait le regard droit, les lèvres pincées, se rappelant des jours où elle était une amie sincère. Le temps avait passé. Des erreurs commises, certaines  de son fait. Il savait l’amour que la sorcière avait pour Icarus, il l’avait bien vu cette nuit quand elle était venue au Terrier, suppliant le jeune couple a peine marié de lui permettre de le retrouver. Pourtant Icarus avait fait jurer à Archibald de garder le secret, et il l’avait fait, sans réfléchir, parce que c’était Icarus, et qu’il n’avait qu’à demander pour qu’Archie acquiesce sans même réfléchir. Deux faces d’une même pièce depuis bien longtemps, et Bathilda savait qu’il connaissait le secret, après tout Icarus n’aurait pas pu fuir seul. Alors il savait, il n’avait qu’à la regarder, la sorcière aux yeux glacés, venin glissant entre ses crocs acérés, elle était désormais au sommet de la pyramide, et lui, lui se retrouvait aujourd’hui encore plus bas que d’habitude. Il n’était pas idiot, le ministère entre les mains de Grindewald et de sa clique de fanatiques extrémistes ne serait pas un endroit où les traîtres à leur sang seraient acceptés. C’était pour ça qu’il avait envoyé le Patronus prévenir Hécate. Qu’elle se prépare, qu’elle prenne les enfants, les rappelle. Décision dont ils avaient longuement parlé, en prévision de ce jour, alors dès que la nuit tomberait, les Weasley rentreraient tous au Terrier. Soudés ils étaient indestructibles, séparés ils étaient des cibles faciles.

Il la regardait, sans obéir, ne s’asseyant pas devant elle, non il resterait droit et fier, comme toujours, elle pouvait tenter de le faire céder, mais il en avait connu des plus dangereux qu’elle. Sa remarque lui arrache un rire léger. Il voyait bien ce qu’elle faisait, elle connaissait ses idées, ses utopies qu’il cultivait depuis des années, depuis le premier jour a vrai dire. Son seul héritage était tolérance, bienveillance, humanité et empathie. Et c’était bien plus que tous les gallions que les autres familles pures s’arrachaient. Alors il rit quand il l’entends parler des né-moldus, elle a la verve des purs alors que son sang est souillé depuis longtemps déjà. “Il semblerait que tu oublies que je suis un sang-pur Bathilda. A entendre tes propos, il semblerait que je sois plus sorcier que toi. Et pourtant, je ne partages pas ton avis. Et si tu penses que ses idées sont partagées par la population sorcière, je te conseille de mettre ton nez dehors, qui sait tu apprendrais peut-être quelques petites choses sur la vie des sorciers dont le nom n’est pas doré.” Il aimait rappeler la pureté de son sang a ceux qui prônent sa supériorité, quand bien même il n’y croyait rien. Dégénérés consanguins sans cervelles, pas capable de regarder plus loin que le bout de leur nez gras. Pourtant elle mord la chienne, elle attaque. Sous le pouvoir de son neveu imbécile elle brille de mille feu. La madone qui pense que Grindelwald a de l’estime pour elle, un  jour il lui tournera le dos, comme il a tourné le dos à Albus, et si Bathilda a pardonné, Archie ne pardonnerait jamais, quand bien même l’aîné des Dumbledore et lui même étaient en froid.  Il écoute le lion, alors que ses griffes se referment dangereusement autour de sa baguette, les yeux lançant des éclairs quand les mots attaquent ses convictions. .

« L’objet finira sans doute par les tuer, éliminant de dangereux criminels au passage, pourquoi s’encombrer ? Pourquoi chercher quoi que ce soit avec ces putrides créatures. Qu’ils crèvent tous et que nous redevenions forts, puissants, loin de leurs abjectes pensées, de leur tendance certaine à nous détruire… » Elle lui arrachait alors un hoquet de surprise. Il l’observait sans la reconnaître, elle était partie trop loin, tombée trop bas dans les pièges des suprématistes. Et la menace plane, le souvenir, elle connaît le terrier, pour y être déjà allée, pour y avoir passé trop de temps. Alors il s'assit, parce qu’il n’a pas le choix, parce qu’il sait que les menaces ne sont pas en l’air. Mais elle pouvait s'asseoir elle ne lui passerait pas de muselière, pas lui.

”Te rends-tu seulement compte d'à quel point tu es empoisonnée par la haine bordel ? La Bathilda que j’ai connu n’aurai jamais menacé des enfants...Tu t’es perdue Bagshot, cette salope de colère ne vous mènera à rien. Combien de sorciers doivent mourir pour satisfaire les désirs de quelques sang-purs ? Ne penses-tu pas qu’ils vous tourneront le dos a toi et ton neveu dès qu’ils en auront l’occasion ? Vous ne serez jamais des-leurs putain !” Les mots claquent, comme un orage, comme une vérité, parce que Archibald ne retenait jamais le flot de ses paroles, elles résonnaient, avec une voix claire et un léger accent écossais qui venait de sa mère, crachant des jurons comme des ponctuations, côté campagnard qui ressortait quand la colère pointait le bout de son nez dans son esprit occupé. ”Tu sais très bien ce qui es arrivé a mes parents Bathilda. Tu les connaissais. Les sang-purs les ont utilisé pour se laver les mains de crimes qu’ils avaient commis. Depuis des années les moldus et les né-moldus sont attaqués, humiliés, punis pour n’être pas issus de familles où le mariage n’est qu’un contrat économique ! Vous les traitez de chiens, et vous vous étonnez qu’ils mordent quand vous les secouez.” Il s’approchait un peu d’elle, tentant de renouer le contact qu’ils avaient eu toutes ces années auparavant. Sans savoir s’il pourrait, mais il devait essayer, il doit essayer de la ramener, de lui faire comprendre, et peut-être qu’elle changerait d’avis, qu’elle verrait que la guerre ne servait à rien. Que la guerre n’était jamais la solution. “Ce qui est arrivé aux Zabini est une tragédie, mais ce qui est arrivé aux moldus brûlés par le jeune est aussi une tragédie. Une vie ne vaut jamais plus qu’une autre. Peu importe la pureté du sang, il coule toujours rouge !”
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: watch you lose (avril 1914)   watch you lose (avril 1914) EmptyDim 14 Juin - 16:00

Ne point lâcher le regard, ne rien lâcher, ne rien lui accorder, en aucun cas, jamais toujours continuer de lui montrer qui a le pouvoir, qui continuerait de le garder, à jamais. La vengeance était un plat se mangeant froid, presque glacé finalement et c’est ce qu’elle attendait. C’est ce qu’elle désirait se repaitre du sorcier, dévorer chaque parcelle de bonheur dans son existence, réduire à néant tous ses espoirs, ne plus laisser que sa carcasse vide, ne plus lui laisser que ses yeux pour pleurer. Il ne méritait rien de plus, rien depuis le mensonge, depuis le secret gardé, c’est sa vie qu’il avait brisé et maintenant ? Elle lui rendait généreusement la pareille, une fois, puis tant d’autres, ce n’était que le début finalement, le moment qui changerait tout à jamais. Qui inversait les rôles, elle ne serait plus celle laissée dans le secret et lui ? Il deviendrait le paria, l’abandonner et elle s’en réjouissait mauvaise au possible toujours, depuis quelques temps, depuis des années d’un mariage qui n’avait fait qu’enlaidir son âme, que renforcer les mauvais chemins, non, tout continuerait dans cette direction, toujours, sans attendre.

Le rire, la position toujours debout, il la testait et elle ne s’en étonnait guère, Archibald ne respectait rien, rien d’autre que sa personne et ceux auxquels il tenait et il lui avait fait remarquer il y a des années qu’elle n’entrait nullement dans cette catégorie, qu’elle n’avait pas sa place, que leur amitié était vaine et maintenant ? Tout était terminé, adieu la gentille adolescente, seul restait l’envie de détruire, si forte, si puissante… Lui rappelle son statut, renforcé la blessure qui ne se refermera jamais et les mots, toujours plus de mots qui ne voulaient rien dire. Elle applaudit la garce, moqueuse au possible, elle rit, des mots, du discours, de tout ce qu’il ne cesse de prononcer. « La dorure du nom m’importe peu, elle est si facilement salie de nos jours. Les sorciers ont soifs de vengeance contre les hérétiques qui n’ont jamais cessés de les martyriser. Nous avons la puissance et ils trembleront… Et toute la mièvrerie dont tu peux faire preuve ne changera rien à cet état des choses… Les moldus sont condamnés et la magie que leur descendance a volée également. » La haine tenace, si puissante, toujours pour le fils blessé, détruit par la main du moldu, non, jamais elle n’arrêtera, jamais elle ne retournera en arrière, jamais ! Les pensées fortes et puissantes…

Sourire satisfait, elle a réussi à le voir cédé, s’asseoir, plier devant elle, tellement facilement finalement et elle se plait à observer la résignation forcée, non désirée, impossible à ne point réaliser pourtant. Rire léger en l’observant, griffes refermées autour de la proie, encore et toujours, ne plus jamais s’arrêter. L’œillade se pose sur la baguette, attrapée, ne cessant d’être maintenue. « Tu m’attaquerais ? »  Faussement choquée, il n’est plus à cela prêt, en aucun cas, depuis un long moment maintenant… Et les mots prononcés ne font qu’accentuer la différence, que montrer les changements. Essayer de se remémorer l’image qui n’existe plus, qui ne reviendra plus jamais qui s’en est allé depuis des années, depuis lui, depuis sa faute finalement… La voix, le ton qui ne cesse de montrer et il ose bouger, se rapprocher, tenter de déceler chez elle la moindre once de sympathie mais elles n’existent plus, elles sont mortes, elles s’en sont allées en même temps que son cœur déchirés et tout les mots qu’il pourra bien prononcer n’y changeront rien, tout restera, tout continuera, tout ne cessera de s’exprimer. Tout continuera encore et encore et non, elle ne le comprendra plus, elle ne le comprendra sans doute plus jamais, elle s’y refuse, n’écoute que d’une oreille ses arguments, cœur fermé à tout compassion à son égard.

Premier geste, première action, le rire, le rire qui ne peut s’empêcher de sortir, mauvais, tellement tandis que la silhouette le dévisage totalement. « Es-tu si crédule pour penser que le sort des Zabini m’intéressent ? Pauvre Archie ta naïveté est rafraichissante… Ce n’est que l’excuse, l’étincelle attendue, la faiblesse à exploiter. »  Elle avoue, pourquoi lui mentir, personne n’écoutera un traitre à son sang de toute manière. Jamais et puis, elle pourra toujours nier, l’accuser de ne point supporter sa démission forcée, vouloir se venger, elle gagne de toute façon. « Les moldus sont des monstres sans cœur ! Sans eux ma sœur serait encore de ce monde ! Sans eux Ariana serait toujours vivante ! Sans eux, tellement de nôtres seraient encore présents, ce sont des chiens à dresser, à enfermer, à exterminer et nous allier avec eux n’a jamais rien apporté de bons à notre société ! » Sans ce sang mêlé, elle l’aurait épousé, sans ce sang, il ne serait pas parti sans rien dire, en la laissant là, en l’abandonnant dans cette solitude ! Dans les mains de cet autre qui n’a jamais fait que la briser, la blesser, la détruire !  « Tu es si loin de comprendre ce qui est en train de se passer… La suprématie du sang pur n’est pas l’idée, la destruction de l’ennemie avant tout et personne ne pourra l’empêcher, même toi, tu les verras tomber tes précieux moldus. » Les mots claquent, résonnent, comme le rire, comme le mauvais, comme tout ce qu’elle expose, là devant lui. Le corps se lève, approche de celui du rouquin et même s’il le dépasse de quelques têtes, c’est elle qui le regarde de haut et non l’inverse. « Tu n’aimes pas la nouvelle Bathilda ? »  La main venant sur le cœur, faussement touchée avant d’éclater de rire pour mieux approcher, pour venir sur la pointe de pied, approcher sa bouche de son oreille. « Pourtant elle est ta création Archibald… »  Le baiser sur la joue, le signe de judas… Le signe de tout ce qu’il est, représente maintenant pour elle. Continuera d’être maintenant… Tout vient de lui, tout vient de cet endroit qu’il n’a pas voulu lui indiquer, de cette destinée contrainte, obligée, tout a commencé par la décision de l’homme et maintenant, que la culpabilité se fasse, qu’il comprenne enfin que ces actions ont des conséquences…
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: watch you lose (avril 1914)   watch you lose (avril 1914) EmptyDim 21 Juin - 17:33

« Tu m’attaquerais ? », Il n’oserait pas, il se savait impuissant, elle lui faisait bien comprendre, c’était elle qui menait la danse et lui n’avait d’autre choix que d’obéir et de courber l’échine, car la moindre erreur le conduirait immédiatement à Azkaban, il était bien placé pour savoir qu’on trouvait bien facilement de quoi accuser un Weasley, il n’y avait pas vraiment besoin de preuve, leur réputation, dont il était fier, était une preuve suffisante. L’amoureux des moldus espérait pourtant faire comprendre a l’autre l’erreur qu’ils étaient en train de commettre. Pourquoi se dressait contre un monde, alors qu’il pouvait apprendre de lui ? Il ne comprenait pas cet attrait pour la guerre, cette envie de voir le monde brûlait, ça le dépassait tout simplement, il ne comprenait pas pourquoi on trouvait satisfaction à voir d’autres souffrir, créer ainsi un cercle vicieux, sans jamais savoir qui avait frappé le premier coup. Archibald aurait put lui aussi hurler sa colère et brûler le monde sorcier quand il avait tout perdu, mais il ne l’a pas fait, s’est accroché à ses valeurs et ses idées. Et elle les avaient simplement abandonnés, il ne voulait pas, non ne pouvait pas y croire. Il devait rester un peu de la Bathilda d’avant sous les couches de peine et de douleur. Et pourtant il voit a son visage que c’est peine perdue, il essaie de comprendre, faisant ce qu’il pouvait pour essayer de lui rappeler ce qu’ils pouvaient gagner à travailler ensemble. Pourtant a son rire il levait les yeux au ciel, se reculant, s’appuyant au fond de son siège, il se rendait compte que ça ne mènerait à rien, elle n’était pas venue pour écouter.

« Es-tu si crédule pour penser que le sort des Zabini m’intéressent ? Pauvre Archie ta naïveté est rafraichissante… Ce n’est que l’excuse, l’étincelle attendue, la faiblesse à exploiter. » Le Weasley laissait échapper un hoquet de surprise, les yeux agrandits par l’effroi. Se rendait-elle compte de ce qu’elle disait ? Quand bien même il n’éprouvait aucune sympathie pour les sang-purs qui avaient attiré ce drame sur eux, il ne pouvait être aussi froid qu’elle, les deux survivants n’étaient que des gosses, du même âge que Nausicaa. Il ne pouvait croire qu’elle le pensait vraiment, qu’elle n’avait à ce point plus de coeur, après tout elle aussi avait un fils ! « Les moldus sont des monstres sans cœur ! Sans eux ma sœur serait encore de ce monde ! Sans eux Ariana serait toujours vivante ! Sans eux, tellement de nôtres seraient encore présents, ce sont des chiens à dresser, à enfermer, à exterminer et nous allier avec eux n’a jamais rien apporté de bons à notre société ! » Il passait violemment une main sur son visage, il avait l’impression d’être dans un autre monde, cette colère, cette rage, qui imprégnait tout ce qu’elle touchait. Il l’avait que trop de fois ressentie, l’ayant toujours battue, le lion était cependant impressionné que l’autre s’y soit noyée à ce point, une question demeurant, qu’est-ce qui l’avait poussée à ça, à ces idées. Il ne pouvait le comprendre, peut-être ne voulait-il pas le comprendre. « Tu es si loin de comprendre ce qui est en train de se passer… La suprématie du sang pur n’est pas l’idée, la destruction de l’ennemie avant tout et personne ne pourra l’empêcher, même toi, tu les verras tomber tes précieux moldus. » Il laissait cette fois échapper un rire, qui se perdait dans sa gorge en voyant l’autre approcher, les poings se serrent, restant immobile un instant, puis au baiser s’éloignait, s’extirpant de la chaise pour se redresser en la regardant. ”Oh vraiment ? Tu me donnes trop de crédit Bathilda. Tu t’es enfermée toi même dans ta rage.” Il avait toujours la voix calme, bien que les poings étaient serrés et que les ongles tentaient de trouver leur chemin à travers l’épiderme. ”C’est eux que tu traites de monstres ? Alors que les sorciers s’en sont pris a des innocents depuis des générations ? Alors que des innocents sont condamnés pour protéger des sang-purs ? Tu ne les connais pas, ils vous boufferont, toi et ton neveu !” Dépassant sûrement les bornes, il n’en avait plus rien a faire. ”Ma faute tu dis ? Et bien je suis plus qu’heureux d’avoir gardé le secret d’Icarus, parce que s’il te voyais actuellement, il ne te reconnaîtrais plus. Les moldus tomberont peut-être, mais le nombre de vies sorcières sacrifiées pour vos délires égoïste vous y pensez ?” Il soufflait brutalement. ”Si c’est cette folie que tu embrasses maintenant, c’est ton problème, mais ne mets pas Ariana là dedans, tu n’étais pas la seule à la considérer comme une fille.” Il n’avait plus rien d’amical dans le visage, non les traits du lion étaient tirés par la colère, quand bien même il la contenait, elle se lisait dans ses rides légères. ”Et ne t’avises plus jamais de me toucher.”
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Bathilda Grindelwald
coalition sorcière
Bathilda Grindelwald
crédits : corvidae (avatar), alex (gif)
face claim : marion cotillard
pseudo : figaro/amandine
watch you lose (avril 1914) O1Mr6Up
études : poufsouffle 1881-1888
particularité : troisième œil, malédiction des songes, mélange de futur et présent, conjugaison compliquée
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: watch you lose (avril 1914)   watch you lose (avril 1914) EmptyMar 7 Juil - 15:42

Qu’il ose, qu’il tente la moindre attaque, elle le sait, il n’y survivrait pas, pas dans la conjoncture actuelle des évènements mais elle voudrait le tenter, le pousser au vice, lui prouver que la paix n’est pas une option, qu’elle ne l’a jamais été finalement. Pas entre eux, pas avec ce monde qui ne fait que prendre, encore et encore sans rien laisser, sans rien offrir, non jamais. Qu’il brûle, elle n’attend que cela, le voir s’étioler à petit feu, toujours, jamais elle ne pardonnera, jamais elle n’acceptera oh non… Elle n’écouterait rien sortant de sa bouche mauvaise à souhait, prenait-il seulement conscience maintenant de combien les années l’avait changée ? Combien tout était différent maintenant ? Combien tout n’était plus que rancœur et ressentiment ? Elle se moquait des Zabini, elle se moquait bien de toute personne ne comptant pas pour elle. Les tragédies arrivent tous les jours, c’est simple, c’est aussi facile à comprendre finalement pour elle en tout cas. Ça passe comme ça, facilement, parce que son cœur, elle l’a oublié, pour le monde quand les personnes ne sont que ça, des personnes, pas ceux qui comptent. Trop de pertes pour le laisser encore survivre ce palpitant pour tout et n’importe quoi. Alors oui, il pouvait finir choquer, il pouvait ne point la retrouver mais tout était ainsi maintenant, rien ne deviendrait comme avant. Les mots avancent et l’être se décompose, au loin il était plus évident n’est ce pas de faire comme si ? D’oublier la vérité ? D’oublier que tout changeait avec les années que tout ne reviendrait pas comme avant, en aucun cas. Le rire venait enfin dans sa gorge et le sourire pourtant reste sur les lèvres, le baiser de judas, il s’éloignait, il bougeait, il cherchait à prendre de la grandeur et oui, il la dépassait par la taille mais c’est elle qui le regardait de haut et non l’inverse, il ne pourrait, il ne saurait rivaliser, pas en cet instant. Et les mots venaient pourtant, il ne comprenait pas, ne comprenait rien, en aucun cas. Elle ? Sa faute ? Non, c’était lui ! Lui qui avait tout commencé, tout continué ! Lui qui l’avait poussée ! Lui toujours lui ! Et les montres ? Oui, ils l’étaient, tellement trop sans doute mais qui ne l’étaient pas dans ce monde ? Tout le monde a ce visage monstrueux mais non, personne ne la bouffera plus, plus jamais et puis les mots, ceux de trop, les mots qu’elle ne peut faire autrement que d’enrager. Elle est touchée, trop sans doute, incapable de se contenir, elle se tourne, elle se tourne pour ne pas craquer Icarus, sa vie, son enfer… Et non, elle n’arrive pas, n’arrive plus et c’est la gifle qui vient, qui survient, Ariana, Icarus, trop, bien trop, elle voudrait le tuer, le détruire d’oser parler de lui, d’oser agir de la sorte. Ne plus oser le toucher, elle vient de le faire, le fera encore, terminera sa vie, détruira tout ce qu’il est, tout ce qu’il peut être. « Tu es tellement stupide de croire que je serais la même s’il était resté ! Tu m’as privé de toute possibilité de bonheur Archibald ! Et tu te disais mon ami ? Alors oui, la rage s’est toi qui l’a installée dans mon être, au fil des années, quand tu m’as reniée, quand tu as décidé de te taire ! De m’empêcher d’être avec lui ! » Et elle vient là, l’attraper par le col. « Mais tu ne sais pas ce que ça fait de perdre la personne qu’on aime le plus au monde ! Tu ne peux comprendre ce que ça détruit à l’intérieur ! » Qu’elle hurle bien trop, bougeant toujours, Icarus, la douleur encore si vive avec les années, tenter de retrouver de la constance, au moins rien qu’un peu. « Je ne les connais pas ? Je ne les connais que trop bien mais eux ne m’ont jamais vu, j’ai observé leur comportement, leur monde, j’ai appris à le décoder pour m’en servir à mon avantage. Ils ne me boufferont pas… Je ne laisserais plus aucun être me manger, plus jamais. » Le regard noirceur, il ne sait le secret, ce dont elle est finalement en train de lui parler, ce qui grandit en elle, ce secret qui détruit, maudit, le traitement du mari… « Alors pourquoi défens-tu ses meurtriers ? Sans les moldus elle ne serait pas morte ! Elle aurait pu grandir ! Avoir une vie ! Elle aurait pu être si heureuse ! Elle ne méritait pas d’être persécutée ! De souffrir autant ! Et c’est ce qu’ils vont ! Tout détruire, toujours ! » Elle s’est rapprochée, fière et en même temps la carapace s’est fissurée, le masque aussi, c’est le cœur qui parle, le cœur détruit par de trop nombreuses pertes et cette descente en enfer que lui n’arrêtera jamais.
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