Ngolomingi Zabini - Look But Don't Touch

1887.Naissance des jumeaux Zabini 1890.Sacre Vaudou pour fêter les 3ans des jumeaux à Nairobi 1895.Voyage et découverte de l'Europe, ils découvrent que des cousins Zabini vivent en France 1898.Mingi intègre Poudlard avec son frère jumeau, le choixpeau l'envoie à Serpentard. 1905.Termine ses études à Poudlard et se lance dans des études policières 1909.Quitte le domaine familial pour s'installer avec son frère dans un manoir  1914. Un groupe organisé de moldus s’attaque au village semi-magique de Loutry-Ste-Chaspoule. La plupart de la famille Zabini trouve la mort sur le bûcher. On dénombre officiellement neuf morts. Le monde magique est très affecté par la nouvelle et se rebelle contre le Ministère dont l’action n'a pas suffi à sauver les Zabini.1914. Dévasté par la mort de sa famille, il quitte son poste pour rejoindre les rangs de Grindelwald au ministère de la justice. Il devient tireur d'élite pour le ministère.

Famille Zabini:
Père: Masamba Zabini était responsable de la famille mineure des Zabini, il a été brûlé vif lors de l'accident de 1914. Il était juge au ministère de la magie.
Mère Sashea Zabini, grande alchimiste et mère aimante, elle est morte avec son mari et sa fille en 1914
Frère Jumeau. ??? (PV).
Petite-Soeur. Eshe ZabiniPetite dernière de la famille, elle n'avait que 7ans lorsqu'elle a été sauvagement assassinée par des moldus avec ses parents.

La famille Zabini était originaire d'Afrique, le clan vivait dans la capitale du Kenya à Nairobi, c'était une famille de sang-pur très réputée. Le clan excellait dans les affaires diplomatiques, mais également dans les secteurs des potions. Ancienne Afrique, la famille Zabini faisait partie des familles conservatrices sur tous les points, que ce soit les castes, la préservation du sang, le mode de vie traditionnel, le mariage, les hautes études, la luxure..
Néanmoins, cette famille était tolérante et acceptait la présence de sang-mêlés, né-moldu, cracmol et autres moldus, à partir du moment où chacun restait à sa place en respectant la hiérarchie des castes. La branche majeure et mineure étaient proches, toutes deux se voyaient régulièrement et organisaient de grands banquets. L'intégralité des natifs Zabini de Nairobi étaient diplômés de l'école de magie Africaine Uagadou. La seule école de magie du continent basait en Ouganda dans les montagnes de la Lune. Une école de magie prestigieuse qui avait su construire sa réputation à l'internationale. Mingi se souvenait des anecdotes où son père lui faisait les éloges de cette école, une école qu'il décrivait comme immense et qui se cachait au dessus des nuages. Le jeune Zabini avait toujours été fasciné par certaines matières enseignaient dans cette école comme l'art du marabout ou la pratique de la magie sans baguette. Suite à de nombreuses révolutions civiles et conflits diplomatiques, les Zabini décidaient de quitter Nairobi pour s'installer en Angleterre. Ce pays procurait plus de stabilité et de sécurité pour une famille de sang-pur riche ou du moins, c'était ce qu'ils pensaient...
Très vite le clan se faisait un nom dans le monde sorcier et s'installait dans un village semi-magique de Loutry-Ste-Chaspoule...

Notre intégration se faisait rapidement et dans de bonnes conditions, notre père intégrait le ministère de la magie en qualité de juge, ma mère avait ouvert sa boutique d'apothicaire. Avec mon frère nous apprenions à voler sur un balai magique. Nous découvrions le sport national, le quidditch, notre père nous y amenait 3 fois par an quand il avait le temps. On gardait une certaine culture magique de l'Afrique, assez souvent nous retrouvions d'anciens amis de la famille à Nairobi le temps de quelques jours. Nous découvrions une partie des pays d'Europe et leurs cultures, l'Italie, l'Espagne, la France, les Pays-Bas, la Russie et même la Grèce. La France était un très bon souvenir, nous apprenions que des cousins éloignés de la famille Zabini vivaient à Paris.  Nous étions heureux et nous étions la première génération de Zabini à intégrer la célèbre école de magie Poudlard avec mon frère jumeau. Nos parents nous avaient élevé et éduqué dans un cadre assez stricte avec des valeurs familiales fortes. Le minimum et la suffisance n'étaient pas assez ambitieux, nous étions des Zabini de sang-pur et riche, nous devions être fort, indépendant et toujours atteindre les plus hauts objectifs. Nous devions garder notre langue dans notre bouche et ne pas se rabaisser. Le moindre geste avait un impact sur la réputation des zabini. J'intégrais fièrement la maison de Salazar Serpentard. Mes études à Poudlard restaient de mémorables moments pour moi, comme tous les ados, je vivais mes premiers émois, mes premières appréhensions, mes premières difficultés. Niveau scolarité, j'étais un élève assez studieux, très bon en potions et défense contre les forces du mal, un peu moins en arithmancie. Je découvrais également ma sexualité et mon orientation, j'aimais les hommes, bien sûr c'était une chose que je n'allais pas divulguer à ma famille. C'était une sorte de malaise pour moi à cause des moeurs réductrices à ce sujet. Toutefois, mon frère était au courant et m'acceptait sans problème, il était ma moitié  après tout. Mes amis les plus proches étaient également au courant, comme tous les ados de Poudlard, j'échangeais mes premiers baisers dans les recoins cachés du château. Mon premier bal avait fait sensation, au final tout le monde était au courant, même mes proches. Une certaine omerta avait été  installé à ce sujet. Tant que personne n'en parlait, tout allait bien. Le reste de ma scolarité se déroulait relativement bien, très vite l'orientation scolaire se présentait à moi. Pendant un long moment, j'ignorais mon futur, quel métier choisir?  pendant un temps, je voulais me spécialiser dans la médecine et l'alchimie comme ma mère. Finalement, je voulais rejoindre mon père dans le secteur de la justice, je voulais donner du sens à mon devoir de sorcier et de citoyen. La lutte contre la criminalité devenait mon but. J'intégrais une formation et un pensionnat avec d'autres étudiants, l'ambiance y était potache et masculin, pendant 2ans j'arpentais les bancs de cette institut qui nous formait au métier de la police et la justice policière. Mes premières expériences professionnelles m'emmenaient dans un bureau de recherches destinés aux victimes disparues. Avec ma moitié, nous décidions de prendre notre envol et de quitter le domaine familial pour s'installer dans un manoir. De cette façon, nous étions indépendant de la sphère familiale.

En 1914, cette année resterait à jamais gravé dans nos mémoires. Depuis plusieurs mois, les tensions avaient augmentées soudainement. La branche majeure et mineure supportaient de moins en moins la présence des moldus qu'ils jugeait arrogante. C'était ainsi que la chasse aux sorcières avait fait son grand retour, nos ancêtres de Salem n'étaient que les premières victimes d'un nouveau prémice d'une nouvelle guerre. Un soir où je travaillais au bureau, les annonces dans le journal évoquaient de nouveaux accident dans différentes commune. Nous étions forcément inquiets pas ce sursaut de menaces qui apparaissaient sans vraiment en prendre conscience. Jusqu'au jour où vous êtes victime de ces attaques, ce jour-là, notre existence avait changé à tout jamais. Ce soir-là, au ministère, de nombreuses rumeurs tournaient, les ministres et autres magisters discutaient d'un énième accident. Celui-ci semblait encore plus grave que les autres, sans avoir plus d'informations. J'étais tranquillement installé à mon bureau sans prendre conscience de ces conversations. Jusqu'au moment où un milicien m'avait informé qu'un accident grave dans la commune de Loustry-ste-Chaspoule. Sur le moment, un mauvais pré-sentiment  naissait en moi, mon jumeau avait sonné le glas en débarquant dans mon bureau. "Mon frère, un malheur frappe notre famille nous devons les sauver". Mon coeur battait à la chamade, nous transplanions non loins du domaine familial à l'abris des regards. Il était déjà trop tard, le manoir Zabini brûlait, la suie se faisait déjà voir, les flammes avaient ravagées quasiment l'intégralité du manoir. Je serrais de plus en plus fort le bras de mon frère. Je n'arrivais pas à y croire, pourquoi nous? pourquoi notre famille ? qu'avions nous fait pour subir l'attaque de ces impurs? Je savais pertinemment que la chasse aux sorcières se revendiquait de plus en plus, je savais que ma famille devenait de plus en plus hostile face à cette présence malsaine. Où étaient-ils? l'horreur nous assenaient une violente vision de la mort, à quelques mètres de la demeure familiale, une horde de moldus s'agglutinaient devant une estrade enflammait. Ils criaient, scandaient des propos racistes avec des torches, des fourches. Nous étions impuissant et nous étions arrivés en retard pour les secourir. Nous pouvions entendre les hurlement juvéniles de notre petite soeur de 7ans, Eshe qui était emprise par les flammes et qui se débattait de douleur dans ses liens, cette image était atroce. Comment faire ça à une pauvre enfant sans défense? cet acte barbare, ces moldus n'avaient aucun scrupule, aucune limite. Je voyais les larmes coulaient le long du visage meurtrie de ma mère qui suppliait ses bourreaux de les libérer. Mon père restait stoïque malgré la douleur, il ne voulait pas offrir cette satisfaction à ces moldus. Les émotions nous envahissaient, nous voulions les sauver à tout prix. Dans un sursaut de désespoir, je me jetais à corps perdu dans la bataille avec mon frère. Mon père croisait nos regards, nous faisant signe de fuir. Malheureusement, l'assaut était un échec, nous étions en infériorité numérique, les moldus nous avaient pris en chasse. Nous prenions faiblement la fuite, un dernier regard vers les dépouilles de nos morts qui avaient totalement brûlés dans les flammes.

De retour au ministère grâce au transplanage, le sentiment de colère et de tristesse nous dévoraient. Nous étions affligés au sol, nous hurlions, nous pleurions nos morts, non frappions le sol en réclamant des explications. Nos coeurs étaient meurtrie par la peine et très vite, un attroupement de sorciers s'agglutinait autour de nous, certains nous prenaient en photo tandis que d'autres essayaient de nous reconforter. Très vite, la presse avait chopé l'affaire et fait le tour du monde. Depuis ce jour, nous n'étions plus les mêmes. Nous voulions simplement mourir, plus rien pouvait nous affecter, nous étions livides, nous voulions nous venger, nous voulions des explications, mais rien à faire. Nous étions livrés à nous-même, orphelins dans ce monde qui faisait office d'enfer. Plusieurs jours plus tard, nous étions revenus dans les ruines familiales. Par chance dans notre malheur, nous avions pu récupérer quelques affaires plus ou moins intacts. Comme une photo familiale, un doudou de la petite Eshe et des bijoux qui n'avaient pas fondu. Nous tombions dans une spirale de dépression, pendant plusieurs jours nous ne sortions plus de chez nous. Petit à petit, la vengeance s'animait en moi, je vouais une haine immense envers les moldus. Un jour, je croisais  Grindewald, son souhait était simple, il voulait que j'adhère à sa coalition afin de concrétiser la lutte contre les moldus. En mon âme et conscience, je décidais de le rejoindre, car sans justice, il était hors de question que ces impurs continuent de vivre. En Grindewald, je le voyais comme ma nouvelle famille, un frère, un père, tant que je vivrais, justice serait rendue aux Zabini 

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à l'intrigue (voir le lien en page d'accueil), à la loterie rp pour se trouver quelqu'un avec qui rp, et au rite de passage pour rire. il y a aussi la section du marché aux liens pour te trouver des liens, et la section rappeltout pour les parrainages, l’évolution et les points. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à l'intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.