i can see the fire in your eyes. (atilius) (tw)

avril 1875. les parents quirrell et leur aîné drusilla accueillent le puîné, premier fils du patriarche; atilius, mâle héritier en qui l'on placera de grands espoirs, s'avère être un bébé silencieux. septembre 1886. atilius fait son entrée à poudlard. dès que le choixpeau se pose sur sa chevelure abyssale, la réponse est tonitruante. il est réparti chez les verts et argents. enfant ambitieux, rusé et manipulateur, le choixpeau perce facilement à jour les qualités qui feront de lui un excellent serpent. décembre 1889. atilius et demetria croisent le regard de l'autre pour la première fois, pour ne plus jamais se quitter des yeux. quatorze ans, et déjà si matures, quand leurs pairs étudiants ne font que s'adonner à des jeux idiots et au frétillement inutile des amourettes d'école. leur relation est puissante, sincère, certes platonique, mais profondément authentique. ils deviennent rapidement le couple phare de poudlard, les deux serpents ne se quitteront plus. octobre 1893. atilius et demetria s'unissent par les liens du mariage. la slughorn devient quirrell et ensemble ils poursuivent leur destinée. le jeune homme ouvre sa première boutique dans le chemin de traverse grâce au financement de son paternel. demetria participe activement en ses qualités d'herboriste. drusilla met la main à la pâte dans les recherches. juillet 1900. demetria débute les entraînements d'atilius; il est décidé que le jeune homme entame l'apprentissage de l'occlumancie afin de protéger les intérêts du couple. il devine qu'il s'agit aussi d'une manière pour demetria de protéger atilius lui-même; il n'est pas bon d'être un homme avec de tels penchants que les siens au dix-huitième siècle. janvier 1905. atilius et demetria envisagent plus grand pour la boutique et acquiert pignon sur rue dans l'allée des embrumes. la boutique est agrandie, plus fournie, et plus qualitative. février 1914. le patriarche quirrell se rallie officiellement à la coalition sorcière de gellert grindelwald. l'annonce familiale lors d'un repas au domaine quirrell n'est pas commentée par atilius qui préfère se taire. l'époux de drusilla semble se réjouir. de retour chez eux, atilius et demetria font le point sur la situation, et décident de ne pas prendre part aux conflits naissants; s'asservir à une cause ne les intéresse pas et impacterait bien trop leurs affaires. juillet 1914. la situation actuelle préoccupe secrètement atilius dont les convictions personnelles le hantent la nuit. il se sait paradoxal, empli de contradictions, lui qui ne veut jamais se prononcer et préfère profiter des situations pour s'enrichir ou servir les intérêts de son couple. il ne peut cependant s'imaginer rester de marbre face à certaines situations qu'il considère parfois injustes. aussi fait-il la rencontre, un peu par hasard, d'un agent de l'ordre du phénix, avec qui il démarre une collaboration tue, certes infime, mais qui a le mérite de soulager sa conscience.

slytherin prefect, head boy Le badge si spécial aux yeux d'Atilius est venu s'accrocher lors de sa cinquième année sur sa tenue de Serpentard. Une façon pour lui d'asseoir son autorité parmi la plèbe étudiante. Le jeune homme ne s'est jamais montré injuste, ni à cheval sur les principes. Tout ce qui l'importait, c'était le pouvoir que lui procurait ce statut si particulier. Il avait la chance de pouvoir obtenir à peu près tout ce qu'il désirait, soit en nouant plus facilement des relations, soit en faisant pression sur ceux qui se montraient les plus faibles de volonté. Avec l'aide de Demetria, le Quirrell était respecté, parfois contesté, mais les luttes intestines ne duraient jamais bien longtemps avant que la flamboyante Slughorn ne vienne mettre son grain de sel... généralement grâce à l'intermédiaire de ses connaissances en botanique. Atilius n'avait que peu sanctionné des infractions au règlement; la plupart du temps, il préférait sauver la mise de la personne mise en cause pour obtenir une faveur à une date ultérieure. Et tous savaient que le Quirrell finissait toujours par faire payer ceux qui lui étaient redevables. En septième année, le badge de Préfet en Chef remplaça le précédent sur sa toge d'étudiant, pour le plus grand plaisir de sa belle.


bald

Excuse-moi
Si je te laisse tomber
Au beau milieu du repas
Mais j'en ai soupé de toi

Zazie — Excuse-moi

— He's gone.

Bald, l'effervescence des premiers sentiments amoureux à l'adolescence, s'en était allé. Atilius avait vécu avec lui ses premiers émois, une attirance d'abord tue avant d'être explorée dans les endroits les plus insolites. Les premiers baisers derrière la cabine du garde-chasse, les caresses entre deux couloirs la nuit, les regards de jalousie lorsque le jeune prodige en potions passait du temps avec Demetria. Il y avait tant de choses qui avaient liés les deux jeunes garçons. Malgré son attachement et ce qu'il pouvait ressentir à son encontre, Atilius savait au fond de lui que Bald n'aurait jamais pu le rendre aussi heureux que Demetria saurait le faire. Elle avait été sa révélation, celle pour qui il éprouvait un amour certes platonique, mais infini. Jamais il n'aurait pu être à la hauteur, jamais il n'aurait pu satisfaire les exigences du Quirrell. Il était compliqué, difficile, cynique, hautain, froid, distant, introverti, particulièrement mystérieux, presque fervent partisan du mutisme. Personne, si ce n'était Demetria, ne pouvait le comprendre et l'apprivoiser aussi bien.

Alors quand elle lui annonça la nouvelle, une flamme familière embrasant les pupilles de la jeune femme, Atilius n'avait dit mot. Il savait pertinemment qu'elle était étroitement liée à cette disparition soudaine, et un regard suffisait pour qu'ils se comprennent. Ce n'était que par besoin de combler le vide qu'elle avait posé la question.

— Don't you want to know why?

Le jeune homme avait continué ce qu'il était en train de faire, comme si on venait de lui annoncer simplement que demain le temps se prêterait à une balade en forêt. Elle croisa les bras, Atilius plongea finalement son regard chocolat dans les opales sombres de sa belle.

— You've dealt with him, let's move on now.

Ainsi allait la vie. Ainsi fonctionnait leur couple. Atilius s'assurerait de recoller les morceaux de son cœur en temps voulu; lui qui acceptait rarement la faiblesse, une rupture amoureuse n'allait pas rester en travers de son chemin bien longtemps.


poison Atilius n'a pas toujours exploré son intérêt pour les poisons. C'est sous l'impulsion de Demetria que le jeune homme s'est entretenu à explorer cette voie. De par ses connaissances en botanique, la demoiselle trouvait intéressant de pouvoir combiner leurs aptitudes respectives. Atilius était réputé être un étudiant prodige en potions; Demetria y voyait l'occasion de le déifier encore davantage. Quirrell avait même été jusqu'à demander des heures de cours supplémentaires à son Professeur de Potions de l'époque, qui l'avait pris sous son aile pour en faire son petit protégé. Innocemment, feintant la soif innocente de savoir, Atilius avait posé de nombreuses questions à ce Maître des Potions sur de nombreux sujets attenant à la matière, dont les poisons. Ses réponses étaient au début plutôt minces, avant qu'il ne se laisse prendre au jeu et en dévoile plus que de raison, n'ayant jamais un seul instant en tête qu'un étudiant de quatorze ans deviendrait vingt-cinq ans plus tard un empoisonneur efficace. Atilius avait parfait ses connaissances le temps des vacances scolaires, Demetria l'emmenant dans des échoppes, apothicaires et boutiques de grimoires anciens dans lesquels ils pourraient trouver des écrits intéressants, et souvent interdits à de jeunes adolescents comme eux. Ça n'était qu'à la sortie de Poudlard, lorsqu'il eut sa première boutique, qu'Atilius s'attela à tester quelques préparations de poisons avec le concours de Demetria et ses connaissances en botanique. La première année, il s'employa à travailler la belladone, plante réputée, dont l'ingestion pouvait causer des brûlures de la gorge, une augmentation du rythme cardiaque, des nausées et des vomissements, une élévation de la température, une dilatation des pupilles, des hallucinations sensorielles, et, à haute dose, des convulsions pouvant entraîner la mort. Il mit plusieurs mois à jouer avec les décoctions, les testant tantôt sur les rats du Chemin de Traverse, tantôt sur des sans-abris du Londres moldu. À la fin de cette première année d'exercice, Atilius avait finalement trouvé le bon dosage pour causer une mort lente, graduelle, commençant par des hallucinations et l'augmentation du rythme cardiaque, avant que le cœur ne cesse toute fonction, par épuisement. Il s'agissait pour lui davantage d'une expérience que d'une utilisation précise de la préparation. Atilius et Demetria continuèrent leurs recherches au fil des ans, s'intéressant aux plantes vénéneuses ou aux toxines en tout genre. Drusilla venait généralement introduire et ponctuer le travail du couple par des recherches impressionnantes.


paternity tw : fausse-couche

Last night we made some midnight decisions
Did I mess up? Oh God I hope I didn't
It's all a blur when we talk through the liquor
I always regret midnight decisions

Sia — Midnight Decisions

Spoiler:

gorgons À défaut d'avoir pu engendrer une descendance, Atilius avait reporté son affection sur trois chiennes Dobermann qu'il avait adoptées dans les semaines qui suivirent l'incident de Demetria. Véritable rat de bibliothèque, probablement historien dans une vie antérieure, il avait décidé, d'un commun accord avec son épouse, d'appeler ses trois bêtes comme les Gorgones de la mythologie grecque : Médusa, Euryale et Sthéno. Il nourrit pour ces trois compagnes de fortune un amour presque filial. Lorsqu'elles ne sont pas avec lui à la boutique, elles sont à l'appartement ou accompagnent Demetria dans sa quête d'herbes magiques.


roman

Hé toi
Qu'est-ce que tu regardes ?
T'as jamais vu une femme qui se bat
Suis-moi
Dans la ville blafarde
Et je te montrerai
Comme je mords, comme j'aboie

Clara Luciani — La Grenade

Cet homme, qu'Atilius n'avait encore jamais eu le plaisir de rencontrer auparavant, avait été l'ombre en filigrane du couple Quirrell. Si Demetria et lui n'avaient jamais réellement évoqué le sujet, nommément, les échanges de regards et les quelques indices laissés de-ci de-là suffisaient à ce qu'ils se comprennent mutuellement. Aussi avait-il été naturellement décidé, dès les premières semaines de leur relation, que leurs aventures extra-conjugales n'empiéteraient sur leur vie en concubinage et sur l'amour qu'ils se vouaient l'un à l'autre. La règle, presque tacite au fil des années, avait été suivie à la lettre par chacun des deux partis. Jamais ne s'étaient-ils révélés l'identité de leurs compagnons respectifs, et un jeu presque malsain s'était installé, à celui ou celle qui réussirait à démasquer la cible en premier. Demetria avait toujours été douée à ce jeu, mais Atilius n'était pas en reste non plus.

Il ne lui avait pas été bien compliqué de percer à jour sa belle et de savoir qu'un né-moldu faisait vibrer chaque parcelle de son corps. Le Quirrell avait gardé ses réprobations pour lui-même. Après tout, il consommait son mariage avec des hommes, un scandale dans la société sorcière de 1914; alors que pouvait-il dire à celle qui s'entichait d'un sang-de-bourbe ?

Néanmoins, malgré s'être refréné de lancer l'anathème à l'encontre de son épouse, Atilius n'avait pu cacher un regard désapprobateur qui en disait long sur le fond de sa pensée lorsqu'elle, alors qu'ils se préparaient à se mettre au lit, lui annonça qu'elle avait accepté d'accueillir un esclave pour la servir. Atilius s'arrêta, une main sur le drap qu'il s'apprêtait à tirer vers le bout du lit, simultanément avec Demetria, comme ils le faisaient chaque soir pour préparer le berceau de leurs machiavelles machinations. Il sonda le visage de sa belle, qui planta ses opales sombres dans les siennes, cherchant contenance. Aussi n'avait-elle trouvé aucun port d'attache à ce tâtonnement; il l'avait perçue de toute manière. Il avait perçu cette expression si familière, aussi fugace passa-t-elle sur ce visage à la peau hâlée, qui annonçait généralement mauvaise augure.

— What the hell have you done? asséna-t-il. You're fucking kidding me, Deme.

Demetria n'avait pas besoin de répondre, elle savait qu'il savait. Et elle savait aussi que les colères d'Atilius étaient extrêmement rares; celle-ci n'annonçait rien de bon.


yuri

Call your girlfriend
It's time you had the talk
Give your reasons
Say it's not her fault
But you just met somebody new

Robyn — Call Your Girlfriend

Vêtu d'un costume anthracite recouvert par une bure de sorcier d'un noir de jais, Atilius sortit du Ministère, accroché au bras de Demetria dont les talons hauts résonnaient avec grâce et volupté sur le sol pavé. Tous deux disparurent à l'angle d'une ruelle, pénétrant dans l'étroit chemin jusqu'à rejoindre un endroit calme duquel ils pourraient transplaner sans problème. Ils retournaient au cœur du quartier sorcier de Londres, dans leur boutique. Le rendez-vous qu'il venait d'avoir concernait les interrogatoires qui s'étaient déroulés quelques semaines auparavant. Ils avaient tous les deux été officiellement mis hors de cause, comme certainement les trois quarts des sorciers présents. C'était un soulagement pour tous les deux, mais Atilius n'avait pas douté un seul instant de leurs capacités à s'en sortir sans obstacle. Demetria était après tout celle qui lui avait certainement tout appris sur le mensonge et la protection de son esprit; quand bien même ils n'étaient absolument pas impliqués dans cette histoire d'attentat ou de radio pirate, Atilius n'avait toutefois pas désiré voir l'intimité de son esprit violé par un Aigle du Ministère. Ses affaires professionnelles et personnelles étaient les siennes, et seule sa déesse avait la primeur et l'exclusivité d'en connaître les moindres détails.

Une fois arrivé sur place, non loin de l'allée des embrumes, Atilius épousseta machinalement ses habits. Là, au milieu de cette avenue bondée de sorciers, le Quirrell posa son regard de jais sur son épouse. Il y voyait une multitude de choses : l'admiration pour cette force de la nature, l'amour platonique qu'il éprouvait à son égard depuis maintenant vingt-cinq ans, la tendresse infinie qu'il ressentait lorsqu'elle lovait son visage sur son torse ou encore toutes ces choses inavouables qu'il pourrait faire pour la protéger. Il savait la réciproque vraie, et la protection que Demetria lui apportait elle-même le rassurait. Ils étaient l'un pour l'autre une bouée, un phare dans la nuit, le soleil de leurs jours.

— We made the greatest effect yesterday at the gala, lâcha joyeusement son épouse, dévoilant ses dents blanches, le regard virevoltant sur les échoppes.
— That's because you were radiant, my dear.
— It's already half past seven. Shall we go home, now?
— You can ho ahead, I'll join you for dinner. I just have something to take care of before.

[...]

Atilius pénétra dans la chambre d'hôtel, suivi de Yuri qui referma aussitôt la porte d'un coup assuré de baguette magique. Le quarantenaire retira ses gants en cuir et posa son imperméable et sa veste de costume sur le double lit. Il déboutonna les manchettes de sa chemise et en replia les manches, comme pour casser un peu cette image de type tiré à quatre épingles.

— Why didn't you come yesterday night? You were supposed to be with me, not her. How was your fucking dinner at the Potter's?

La question n'avait rien d'une demande innocente ou polie. C'était en réalité un ordre. Atilius ne supportait pas les crises de jalousie de Yuri. Il ne supportait pas que celui-ci lui reproche d'être au bras de quelqu'un alors qu'il était lui-même marié. Cela faisait plus de vingt ans que Metveïev avait connu Atilius aux côtés de Demetria, et ces vingt années n'avaient pas encore été suffisantes pour avaler la pilule. Et cette idée ne plaisait absolument pas à Atilius. Cette idée le mettait hors de lui, même, car Demetria était la seule et l'unique, celle pour qui il damnerait son âme si c'était nécessaire.

— Your little spies are tailing me now? You're going way too far, Yuri. Be careful.
— You made me do this. As for your vale threats, I...
— What vale? L'interrompit sèchement Atilius. I should've known you would be a danger to me. Le potionniste avait planté son regard d'acier dans celui de son amant de toujours. Le Quirrell tâchait de rester imperturbable, à l'affût du moindre mouvement de son vis-à-vis sibérien. Our feats are joined. Together, we have sinned, in many ways, since many years. We have been unfaithful to our wives. We have conspired against some of the privileged ones. Oh, Yuri, mieux valait ne pas pousser ta proie dans ses retranchements. If I shall fall, I would have nothing to hide. And if I shall meet with some accident, that you or your fellow companions may be involved in, your family will never even find what is left of you.

Un long silence s'installa. Bien sûr que Yuri le faisait suivre. Il n'avait pas envie que quelque chose lui arrive. Il avait besoin de lui, tout comme lui avait aussi besoin de lui. C'était une évidence de protéger celui qu'il pensait posséder, comme une bête enragée protège farouchement son repas. Fléchir serait se montrer faible. Et Metveïev n'était pas faible, certainement pas face au Quirrell. Et ce qu'il venait de voir à l'instant-même le faisait bouillonner de rage; pour la première fois avec lui, Atilius avait été incisif, indépendant, tranchant. Un Atilius qui, d'ordinaire, n'existait que pour autrui, pour la plèbe et les traîtres.

— I hope you enjoyed your night, at least. Les mots sifflaient entre les lèvres du quarantenaire.

Atilius plongea ses yeux froids et durs dans ceux de Yuri. Les sens du Quirrell étaient en alerte. Il avait la chair de poule rien qu'en mêlant son regard au sien. Il y voyait une multitude de choses, une passion inconcevable et traîtresse, un sentiment qui pouvait le faire sombrer, la violence des mots, et peut-être des coups. Atilius mettait ses projets et sa famille en péril pour les beaux yeux d'un homme. Yuri fit un pas en avant. Atilius en fit un en arrière, machinalement. Sans crier gare, le quarantenaire agrippa avec force les poignets du Quirrell pour le rapprocher de lui.

— That's the last time you hide something from me. The last time.

Il lâcha prise, laissant Atilius libre de ses mouvements. Reprenant ses gants, sa veste de costume et son imperméable au passage, Yuri ouvrit la porte de la chambre et passa le seuil, quittant la chambre d'hôtel en y laissant derrière lui le Quirrell.

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à l'intrigue (voir le lien en page d'accueil), à la loterie rp pour se trouver quelqu'un avec qui rp, et au rite de passage pour rire. il y a aussi la section du marché aux liens pour te trouver des liens, et la section rappeltout pour les parrainages, l’évolution et les points. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à l'intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.