la reine des glaces dans le palais des courants d'air (caecilia)

15 mai 1889. naissance de Caecilia Evelyn Greengrass dans le petit appartement londonien. Première fille de la branche Greengrass et cadette. Caecilia est une enfant attendue et aimée par ses deux parents et son grand-frère.
1897. manifestation de ses pouvoirs magiques alors qu’elle prenait des cours de solfège, son professeur qui a amené un violoncelle pour le lui montrer sera témoin de l’archet qui se met à jouer tout seul. C’est à cette époque, d’ailleurs, qu’elle commence à toucher à un violoncelle. Elle vivra une enfance plutôt heureuse quoique parfois ses parents doivent se serrer la ceinture notamment pour lui permettre de prendre des cours de violoncelle, seule activité un peu chère qu’ils peuvent se permettre.  
1er septembre 1900. entrée à Poudlard. Caecilia est envoyée chez les Serdaigle. Elle tente rapidement de se faire bien voir de tout le monde et intégrera un petit groupe de sang-pur qui deviendront l’élite plus tard. Plutôt discrète dans le groupe, Caecilia ne fait aucune vague. Résultats irréprochables et avec mention, elle est plutôt une suiveuse dans le petit groupe.
1er septembre 1905. devient préfète des Serdaigle. BUSE avec mentions optimales.
juillet 1907. diplômée de Poudlard avec mention. S’inscrit à l’ASPE où elle rencontre Théa Malfoy qui devient sa marraine. Vers la fin de l’année parvient à se faire embaucher en tant qu’oubliator. Caecilia commence aussi à prendre des cours de legilimencie grâce à Horace Slughorn, son ancien professeur de potions qui l’a remarqué.
janvier 1910 . lors d’une soirée pour la nouvelle année où Caecilia a décidé de suivre son frère, Caecilia se retrouve dans le même lit que Theodor Nott. Elle tombe enceinte.
mars 1910 . En plein repas familial, Caecilia, ne supportant pas les odeurs, se met à vomir. Immédiatement, sa mère se rend compte que sa fille est enceinte. Devenue complètement hystérique, Caecilia est enfermée dans sa chambre tandis que M. Greengrass, Deirdre et Minos discutent de la marche à suivre. C’est finalement dans la soirée que Caecilia apprend sans qu’on ne lui laisse le choix qu’elle ira sur l’île de Lowood, chez les filles d’Helga. Dévastée par la nouvelle, Caecilia n’a pas le choix que de suivre. Elle parvient à convaincre son frère de donner une lettre à Théa Malfoy et Horace Slughorn pour les prévenir, seules personnes en qui elle a alors confiance.
mars - octobre 1910. Caecilia passe donc les 7 prochains mois de sa grossesse sur l’île. Si globalement elle déteste être enfermée, ses parents parviennent à ramasser suffisamment d’argent (dont ses propres économies à elle) pour que le secret autour de son arrivée sur l’île soit préservé pour ne pas entacher un peu plus leur nom. Caecilia se lie d’amitié avec d’autres femmes de l’île. Elle tentera aussi de mettre un peu de gaieté en jouant de son violoncelle, seul objet qu’elle a pu ramener grâce à son frère. C’est à cette période qu’elle compose le morceau pour son enfant à naître.
12 octobre 1910. après de longues heures de souffrances, Céleste Greengrass naquit. Minos a fait le déplacement, ne laissant nullement le choix, déterminé à accompagner sa sœur dans cette épreuve. Caecilia supplie son frère qu’on ne lui retire pas son enfant. Elle a alors espoir de même si elle termine célibataire, déshéritée et seule, qu’elle puisse garder l’enfant. Minos promet d’essayer d’intercéder en sa faveur sans grande conviction.
22 octobre 1910. après une longue nuit d’agonie, la petite Céleste Greengrass s’éteint dans les bras de Caecilia. Prise d’une crise de démence, Caecilia s’enferme dans une des salles pour ne pas qu’on lui prenne son bébé. C’est finalement Minos qui finira par la convaincre de la lui laisser. Le petit corps sera enterré sur l’île même.
31 octobre 1910. Caecilia après une longue semaine plongée dans un mutisme certain, remise physiquement, finit par retourner chez ses parents. Elle demande à son frère de lui extraire le souvenir de son bébé. Il accepte et elle garde le flacon qu’elle cachera dans sa chambre sous une planche branlante. A partir de cet instant, Caecilia fera tout pour que les rumeurs qui vont bon train cessent et se consacrera à sa carrière exemplaire avec pour un seul objectif : finir au département des mystères.
Fin 1913. consciente qu’elle ne peut plus y échapper et terriblement harcelée par sa mère à ce propos, Caecilia décide de prendre les devants. Elle s’inscrit à Weetic Circle dans l’objectif de trouver un fiancé quand bien même considère-t-elle le mariage comme un frein pour elle-même. Elle rencontre Perceval Prince avec qui le courant passe bien et qu’elle a déjà vu au Ministère. Tout comme lui, elle souhaite faire un mariage pour les apparences et ils parviennent peu à peu à un accord.
janvier 1914. Caecilia est promue dans le département des Mystères en tant que langue de plomb. Elle se concentrera essentiellement sur la salle de la mémoire.
février 1914. montée de Grindelwald. Caecilia était présente avec sa famille à l’arène. Sachant que son cousin Perseus s’y trouvait, elle espérait de tout cœur de ne pas le voir dans ces cages. Si elle ne l’y a pas vu, elle a en revanche manqué de se faire piétiner par la foule lors de l’attaque. Ce même mois, Perceval et Caecilia officialisent leur union. Apparence du parfait couple, dans l’intimité ils se cherchent encore, apprennent à se connaître. Pour l’instant, Caecilia décide de ne pas partager son lourd secret avec Perceval, consciente qu’il pourrait briser leurs fiançailles.
juillet 1914. Caecilia participe aux interrogatoires. Elle demandera aussi à être promue au département des mystères et demandera à Théa Malfoy d’appuyer sa candidature.
septembre 1914. Caecilia apprend un soir alors qu’elle rentre du travail qu’elle a maintenant un garde du corps Rhys Northcott. Agacée par cette décision prise sans son consentement, elle s’enferme toute le week-end dans sa chambre. Son frère tentera de lui expliquer, en vain, que c’est pour sa protection. Elle n’est cependant pas dupe : sa mère cherche à la surveiller. Invitée au mariage des Black, elle se fait empoisonnée comme beaucoup d’autres et perd ses pouvoirs. Mise au chômage technique, elle passe un long mois à s’ennuyer.
octobre 1914. peu à peu au retour des pouvoirs de tout le monde. Caecilia attend avec impatience de retourner travailler et essaie tant bien que mal de semer Rhys au détour des couloirs…

anecdotes Allan Père. 55 ans. Allan qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pas. Homme qui ne voit même pas que sa femme le trompe sans vergogne. C’était pourtant un mariage d’amour qu’ils ont eu et dans le fond Caecilia sait qu’il aime profondément sa mère et ses enfants mais son incapacité à s’élever, avoir un peu d’ambition l’agace et elle peut comprendre ce qui a terni la relation avec sa femme. Caecilia pourtant, aime son père. Elle sait qui porte la culotte dans la famille, consciente qu’Allan n’en veut pas vraiment de ce rôle de chef de famille. Il a pourtant été discret quand il a appris pour elle. Si c’est Deirdre qui s’est énervé, lui est resté calme et peut-être un peu effacé. Il a malgré tout tenu à ce que sa fille ne manque de rien et c’est lui qui a insisté pour qu’on ne la déshérite pas. Ils parlent peu, ne communiquant pas, réservés tous les deux, pudiques même. Caecilia espère pourtant que son futur mari ne lui ressemblera pas.
Deirdre Mère. 54 ans. Née Parkinson. Mariage qui tombe en ruine sentimentalement probablement dû au manque d’ambition de son mari. Elle l’a aimé pourtant, son Allan, tendrement mais cela ne lui suffit plus et elle est coincée dans ce mariage où elle s’ennuie. Petite, Caecilia était proche de sa mère qui l’a voulue et choyée. Adolescente, le fossé a commencé à se creuser à cause de choix que critiquait constamment Deirdre. Le point de non-retour est arrivé quand toute la famille a appris que Caecilia était enceinte. Insultes, gifles et mots durs de la part de la mère. Leur relation a volé en éclat. Elles n’en parlent pas non plus. Deirdre refuse d’entendre parler de quoique ce soit concernant cet épisode, hystérique à l’idée d’entendre des rumeurs à ce sujet. C’est sa plus grande honte. Caecilia ne lui adresse plus la parole et les deux femmes s’ignorent dans l’appartement ou ne se parlent que pour des mondanités rapidement oubliées. Pourtant, l’une comme l’autre en est touchée mais trop fières pour céder, aucune des deux ne souhaitent faire le premier pas.
Minos Frère. 30 ans. Employé au Ministère. Lumière de sa vie autant qu’il est la sienne. Il avait cinq ans quand elle est arrivée dans sa vie et il s’est toujours promis de la protéger. Minos et Caecilia s’aiment comme deux frères et sœurs, proches et fusionnels. Toujours à se soutenir, toujours à s’aider, à se confier. Ne supportant pas d’être éloignés trop longtemps, Minos revient souvent chez leurs parents. Caecilia, elle, vient souvent dans son petit appartement. Ensemble, ils sont plus forts. Ensemble, ils comptent bien redorer le nom des Greengrass. Quand il a appris que sa sœur était enceinte, Minos s’en est voulu de ne pas avoir su la protéger. Il a tout fait pour la préserver, apaiser leur mère. C’est lui-même qui lui a apporté son violoncelle, lui aussi qui a tenu sa main quand elle hurlait de douleur sur le lit d’accouchement. Encore lui, qui, dévasté, l’a apaisée et consolée quand elle a dû donner Céleste pour qu’on l’enterre. Le seul secret qui persiste entre eux est l’identité de celui qui a fait cela à sa sœur. Caecilia garde le secret, consciente que cela mettra un terme à l’amitié entre Theodor et Minos. Il regrette de ne pas être legilimens, lui, son contraire qui est meilleur en occlumancie.
Fille d’Helga Tandis qu’elle se réveille ce matin-là, c’est arrivé sans qu’elle ne puisse l’empêcher. L’odeur l’incommodait tant qu’elle n’a pas eu le temps. Si au début elle avait suspectée être malade, c’est bien vite Deirdre qui avait reconnu les symptômes. Cataclysme chez les Greengrass. « Petite salope ! » Une gifle, jetée dans sa chambre, enfermée à clef et sans baguette. Elle attend, assise sur son lit, le regard rivé sur la porte. Pleure parfois. Elle est en colère contre elle-même : elle a été stupide. Elle qui contrôle tout, comment en est-elle arrivée là ? Elle, disciplinée, elle réglée comme une horloge. Un faux pas. Un faux qui peut lui coûter cher. L’attente semble interminable. Mais enfin, la libération. Le regard sombre, Minos s’asseoit à côté d’elle. L’île. Les filles d’Helga. Elle ira là-bas. Dès demain matin. Caecilia se lève. Il veut la prendre dans ses bras, elle le repousse, se détourne et essaie d’empêcher les larmes de couler. « Cece, parle-moi. Je te jure que j’ai tout essayé. C’était soit ça, soit tu te retrouvais à la rue… » Elle regarde fixement devant elle. « Je veux juste mon violoncelle. Sors d’ici maintenant. » Il sort et elle s’effondre.
Elle aura pensé à fuir. Elle aura pensé à s’attacher pour ne pas partir, faire la grève de la faim. Mais finalement, elle prend ses affaires et glisse entre les doigts de son frère pendant que sa mère ne regarde pas deux lettres, une pour Théa, une pour Horace. Elle n’a besoin de personne d’autres. Elle se débrouillera seule. Mais à peine arrivée sur l’île, elle comprend qu’elle va être enfermée ici. La panique et la crise de larmes et de cris. Supplier sa mère pour ne pas qu’elle fasse cela, qu’elle préfère encore la rue, qu’elle n’aura pas à débourser un seul sous pour cet enfant, pas né et déjà attaché à lui ou elle. La gifle. « Tu iras, petite trainée. » Alors elle y va.
Céleste

mort infantile:

Perceval Elle a tout fait pour le repousser ce moment où elle devrait faire un choix. Elle qui a toujours pensé en voyant ses parents, sa mère surtout qui trompe sans aucune honte, parfois témoin de ses amants de passage, que le mariage n’est qu’une entrave pour les femmes. Caecilia sait qu’elle n’a plus le choix. Maintenant que les rumeurs sur elle sont éloignées ou tout moins qu’on est passé à autre chose, il faut qu’elle y passe. Deirdre veut mettre son nez dedans alors elle lui a coupé l’herbe sous le nez. Ce sera son nom inscrit chez Weetic Circle. Elle ne s’attend pas à grand-chose. Jusqu’à ce qu’elle tombe sur lui. Sauver les apparences, c’est ce qu’ils savent le mieux faire. Alors ça lui va pour l’instant. Elle ne s’attend pas à l’aimer, pas tout de suite en tout cas, peut-être un jour, elle n’en sait rien. Elle sait qu’elle veut juste que ça s’arrête cette oppression de sa mère constante, ces remarques qui font mal. La mâchoire qui se serre de Minos à l’évocation de sa décision ne trompe pas : « Tu n’es pas obligée de faire ça, Cece. » « En réalité, si, Minos. Je suis un instrument politique et c’est comme cela que l’on tisse des alliances. Il serait temps que tu le comprennes si tu veux que nous sortions de notre misère. » Elle n’est pas dupe, ne l’est plus mais elle préfère encore choisir avec qui s’engager. Ne le connait pas encore très bien mais sait que cette alliance sera bénéfique pour eux deux. Elle a besoin du renom de sa famille, il a besoin de son sexe. C’est un accord de principe. Seul le temps (et les amours contingents) les décidera.  
Rhys Elle n’a pas retenu son prénom, encore moi son nom. Elle sait juste que ça commence par un r. Son cerveau a coupé court quand, ce soir-là, alors qu’elle passe sa cape sur le porte manteau, s’apprête à défaire le nœud avec le ruban qui retient ses cheveux, elle entend la voix de sa mère qui l’appelle. Deirdre assise, la main de son mari sur son épaule. Minos présent aussi. Et lui. Elle le regarde d’abord de haut en bas, un air hautain peut-être sur le visage. Froide. « Il s’appelle Rhys Northcott, nous l’avons engagé pour ta protection. Il sera à présent partout où tu iras. » Regard qui le quitte pour se poser sur sa mère. Il aurait peut-être mieux fallu que cela vienne de son frère. Mais elle comprend rapidement. Elle ne lui jette pas un regard de plus. Se détourne. « Bien, mère. » Et va dans sa chambre pour s’y enfermer. Ce n’est plus une prison qui la retient mais un geôlier pour la surveiller. Pour sa protection, elle sans pouvoirs. Le bon petit mensonge. Ce n’est que de passer d’une gouvernance à l’autre, du père, au frère et maintenant au garde du corps.
Tolérance sur le sang Il n’y a pas vraiment d’avis chez les Greengrass. On a un sang-pur probablement par chance et par élitisme mais pas vraiment de racisme. C’est ce qu’elle s’était dit en assistant aux combats dans l’arène. La peur de voir Perseus parmi eux, de le voir tuer autant que d’être tué. Elle se demande parfois si le monde ne devient pas fou. Mais elle sait que ce n’est finalement une si mauvaise chose qu’ils soient sang-purs : ils ont déjà plus de chances que la plupart des gens. On s’en contente mais on n’est pas extrêmiste. On ne se mouille pas non plus. En apparence, elle suit, Caecilia comme elle l’a toujours fait, mais elle ne veut pas s’engager dans le camp des plus forts et dans ceux de la résistance. Pas réellement d’avis sur les hybrides et sur les loup-garous. La seule chose qui lui a fait prendre connaissance qu’elle avait mal au cœur c’était de savoir que Perseus, son cousin, se trouve dans cette situation par rapport à sa malédiction. Autrement, ils tombent d’accord, Minos, Deirdre et Allan : ne pas s’engager, rester dans l’ombre parce que jusqu’à présent, c’est ce qui les a tous sauvés. L’instinct de préservation mélangé à l’opportunisme grandissant. Ils sortiront de leur misère, cela est certain, mais seront toujours capable de retourner leur veste si la situation venait à changer. Caecilia ne fait pas exception.
Violoncelle Elle s’était dit que c’était une bonne idée de jouer parce qu’elle voyait bien certaines des autres femmes beaucoup d’entre elles jeunes, plus jeune qu’elle-même, et que cela lui remontait aussi le moral. Plusieurs mois qu’elle n’avait pas vu Minos qui lui envoyait autant de lettres que possible. Elle avait donc pris son violoncelle et joué un air gai. On avait fini par danser. L’une des filles s’était mise à chanter et l’espace d’un instant, on aurait presque pu penser qu’elles étaient juste des femmes sur une île ayant décidé de venir ici par choix et solidarité. Il n’en était pour rien. « Tu es musicienne ? » lui demande une des filles. « A mes heures perdues. » « Tu pourrais jouer une chanson pour les enfants ? » Silence. « Bien sûr ! » Elle sourit et se repositionne. C’est de là que ça lui vient, cette envie d’écrire pour son enfant. Pleine d’espoir et de naïveté à ce moment précis. Alors, elle prend la plume, trace les lignes et écrit les notes, teste, essaie.
Céleste.
C’est le nom de sa composition, celle qu’elle rejoue à chaque anniversaire de sa naissance tous les 10 octobre de chaque année.
Il lui arrive pourtant de donner des cours, parfois même de jouer en public à la demande. Du haut de ses huit ans, elle a su qu’elle était faite pour cet instrument. On susurre le prénom Evelyn à chaque fois qu’on la voit, le port altier, les cheveux toujours attachés car détachés ils sont réservés à l’intimités, la robe qui laisse voir, parfois, le haut de ses chevilles, et dans les moments plus intimes, ses cuisses. Ses mains toujours gantées qui tiennent l’archer et joue de l’instrument comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. L’espace d’un instant, elle donne l’impression d’être vivante, de ne plus prétendre ou faire semblant. L’espace d’un instant, elle devient l’insouciance et la beauté, musicalité. Elle aurait pu faire carrière si elle n’avait pas les souvenirs pour prison et cette obsession.
Histoire et travail de mémoire C’est une suite logique en réalité. Caecilia se souvient que petite, elle était souvent plongée dans les livres d’histoires, d’abord parce que ça stimulait son imagination et qu’elle aimait bien rejouer certaines scènes avec son frère, ensuite parce que c’était intéressant et qu’elle retenait des trucs que les grands eux ne savaient pas. Elle se souvient de la fierté dans les yeux de sa mère quand elle l’avait bouche-bée sur place avec une anecdote. Alors, c’est devenu une habitude de lire ce genre de chose avant de s’endormir. C’est devenu une passion sur les bancs de Poudlard quand elle a eu accès à un savoir encore plus grand. La mémoire est importante pour Caecilia, elle qui, considère que la vérité se forme sur celle-ci. C’est devenu encore pire avec les années et surtout la perte de sa fille. Obsession pour le travail de mémoire qu’elle couple à la legilimancie. Obsession du coup pour l’histoire d’autant plus en cette période où tout est écrit par les gagnants, encore plus qu’avant. Si elle n’est pas une fervente admiratrice de Grindelwald, elle suit avec précision ses faits et gestes, écrit parfois ce dont elle était témoin, s’amuse à corriger l’Histoire qu’elle écrit, elle petite novice. Mais toujours, elle garde un œil parce que ses fils se tissent comme la femme de l’ombre qu’elle s’attache à être

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à l'intrigue (voir le lien en page d'accueil), à la loterie rp pour se trouver quelqu'un avec qui rp. il y a aussi la section du marché aux liens pour te trouver des liens. n'hésite pas non plus à éplucher notre face claim et à contacter directement ceux qui te semblent convenir pour un lien. il y a aussi la section rappeltout pour les parrainages, l’évolution et les points. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à l'intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.