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 les maux de nos coeurs.

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AuteurMessage
Henry Potter
coalition sorcière
Henry Potter
crédits : queen prudence (avatar/mgt) cassiopeis (gif signature)
face claim : joaquin phoenix
pseudo : sekhmet/marine.
les maux de nos coeurs. Tumblr_omcswaZbbf1rdh5j2o3_r3_250
études : autrefois élève sous les couleurs de serpentard de 1876 à 1883.
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Message (ϟϟ) Sujet: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyMer 25 Mar - 20:01




henry potter
et des monstres se cachent au fond de mon coeur


Keyword





Ft joaquin phoenix
valruna.

pseudo/prénom : ancalagon/marine. âge : jeunesse éternelle. personnage préféré dans la saga : ronald weasley, draco malfoy, narcissa malfoy, james potter.  sort préféré : incarcerem. fréquence de connexion : régulière. comment tu as connu FTGG : j'ai suivi dobby et j'ai traversé le trottoir. première impression sur FTGG et/ou suggestion : une beauté, une pépite, une perle, une famille.








Dossier n° 7901

nom et prénoms : potter. Le patriarche, le chef de famille, l'alpha, celui qui dirige la meute, le colosse, le monstre, celui qui fait peur, le sévère, l'aigri, la liste des termes est longue pour nommer le sorcier et pourtant, tous s'accorde à le juger, à l'observer, à le craindre, à le haïr, à l'aimer ? qui oserait, ils sont trop peu, mais lui, il s'en moque, il s'en amuse, il en joue  souhait, de cette image de tyran. Son ambition n'a d'égal que sa cruauté et tous les coups sont permis quand on joue avec le père Potter, absolument tous les coups, même les plus malsain, c'est sa marque de fabrique à lui, à Henry et on le reconnaît bien là. âge et date de naissance : il y a longtemps, la pluie tombait, il y a longtemps, le vent hurlait, il y a longtemps, les éclairs fendaient le ciel, il y a longtemps, très longtemps, le monstre était un garçon parmi tant d'autres, venu au monde un soir d'été où l'orage grondait, le vingt-neuf août de l'année 1865, oui, il y a longtemps, l'innocence était encore permise, mais plus aujourd'hui. origines et degré de la branche familiale : derrière l'animal se cache l'homme, cultivé, intellectuel, appréciant Shakespeare autour d'une tasse de thé, anglais pur souche, toujours bien habillé, la cravate parfaitement mise, la chevalière enfilée, la barbe taillée, le prestige par l'allure, la loyauté par le parjure. état civil et orientation :  marié très tôt, trop jeune, jeunesse volée et pourtant, une relation forte, brûlante, qui détruit autant qu'elle procure du bien, éternelle combustion qui s'use, plaie qui s'ouvre et se renferme sans cesse et pourtant, il n'y a qu'elle, l'unique, celle qui ajuste sa cravate tous les matins, celle qui n'hésite pas à casser les mots, à les écorcher à son encontre, à l'insulter, pourtant, quand il enlace drusilla, il n'y a qu'elle dans son esprit, ils s'aiment autant qu'ils se détestent, des regrets, une quêter éternelle de l'amour, ils se sont aimés, ils ont eu des amants, ils ne dorment plus ensemble, mais l'étreinte d'une fougue partagée la nuit se perd à l'aube. Mettre des mots sur ce qu'ils sont l'un pour l'autre ? des opposés que tout attire, des attirés que tout oppose, replonger dans les bras l'un de l'autre et une vie parsemée de regrets parce qu'ils ne savent tout simplement pas comment s'aimer.profession : l'ambition a toujours dominé la personnalité du sorcier, c'est tout naturellement qu'il s'est tourné vers un poste à haute responsabilité, frôlant les hautes sphères de ce monde, prouvant qu'il écrase les autres, qu'il est au dessus et qui crache sur la médiocrité, directeur d'une extrême sévérité du département de la justice magique, il ne fait pas dans la demi-mesure, jamais et quiconque le déçoit en paie le prix car l'échec n'est pas permis, jamais. nature du sang : un sang pur, parce qu'il n'a jamais été question de remettre cette pureté en doute et quiconque osera répandre ses mensonges à ce sujet avalera sa langue tranchée. lieu de vie : une grande maison, une villa de plusieurs hectares faisant office de domicile familial, des cheminées dans chaque pièce, des elfes de maison pour entretenir la demeure et une charmante collection de montres à gousset, accessoire favori du maître des lieux. baguette : bois de charme, ventricule de coeur de dragon, vingt-neuf centimètres, d'une extrême rigidité, parfaite pour la métamorphose. épouvantard : il a beau crié, il a beau hurlé, il a beau la trompé et prétendre ne pas l'aimer, c'est le corps sans vie de son épouse qui lui glace le sang. miroir de risèd : colosse aux pieds d'argile qui cachent ses émotions derrière un masque de fer, le miroir ne ment pas, jamais, on ne peut lui cacher la vérité, celle qui lui déchire les entrailles, retrouver son frère Faust et ensemble, retrouver la complicité de l'enfance. particularité :aucune.



Informations

groupe crucio, il souhaite accéder à la gloire, au prestige aux côtés de Grindelwald et devenir un de ses précieux bras droits, mais la route est encore longue. caractère ou réputation : mille et un visages pour un seul homme, patriarche exigeant excepté pour sa douce Astoria, son trésor, son bijou, le joyau de sa couronne, il attend l'excellence et se veut d'une grande sévérité. Ambitieux à souhait, l'échec n'est pas permis, en aucun cas. Violent ? Un doux euphémisme quand on sait qu'il aime passer ses nerfs sur ses domestiques, ou devrions nous dire ses esclaves, combien d'elfes de maison sont morts sous la torture du sorcier ? son épouse a arrêté de compter à la dizaine, ce besoin de se défouler s'explique par un besoin de tout contrôler dans les moindres détails, perfectionniste, rigoureux, pointilleux, il aime la perfection et le fait savoir, même dans sa façon de s'habiller, en toute circonstance, costume de rigueur, chevalière, montre à gousset dans la poche. La vie est un échiquier géant et c'est tout naturellement que l'homme aime y jouer, aime placer ses pièces. Calculateur, manipulateur, menteur, ses opinions divergent de celles de son cadet et cette division a tranché en deux la famille pour le plus grand malheur de l'homme. Mal aimé, mariage cassé, il souffre, mais ne laisse rien paraître, ce qu'il veut ? lui-même l'ignore, mais à l'intérieur, c'est un feu qui ne s'éteint jamais, une combustion permanente, une lutte de tous les jours pour ne pas laisser la folie s'échapper, ne pas perdre le contrôle, jamais. Et derrière la bête se cache l'homme, romantique à ses heures, incapable de supporter que l'on touche à ses précieux enfants, même à ses fils, il tuerait pour eux, il tuerait pour sa famille, pour les siens, parce que le sang de son sang, la chaire de sa chaire passe avant tout, même avant ses idéaux, même avant sa fascination obscure pour les arts occultes et sa dévotion pour Grindelwald. Infidèle à souhait, amateur de la tromperie, de la duperie, il ne sait pas aimer sa femme, il n'a jamais su, car c'est plus simple de fuir, lâche lui ? à peine, que d'affronter la vérité, cruelle est-elle, au final, l'homme est usé, simplement fatigué et perdu, dévoré par ses propres démons, par l'usure et la démesure de l'homme qu'il incarne.signification des reliques de la mort pour iel : une fable fascinante au départ, aujourd'hui, une obsession, le désir de les voir, de les frôler, de les toucher et c'est souvent qu'il envoi son aîné à cette dangereuse quête, que l'homme perd son temps dans les livres à s'informer, à essayer de comprendre, notamment comment fonctionne la légendaire baguette de sureau, lui qui est connu comme un duelliste redoutable, cette arme serait son graal et pourtant, c'est une douce rêverie.







Dernière édition par Henry Potter le Mer 6 Mai - 18:59, édité 2 fois
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyMer 25 Mar - 20:02

A tale of three brothers

who became the masters of death

Chronologie
mars 1914. discussion avec son épouse pour s'engager sérieusement parmi les partisans de grindelwald, ouverture des jeux de l'arène, le directeur s'empare d'un lycantrophe et cherche à calmer les ardeurs du dragon, en vain, remis à sa place par mcgonagall, cette même femme qui rédige un article mettant en avant les vices de l'homme, rendez-vous chez elle pour un duel qui termine dans les flammes d'un puissant feudeymon, perte de contrôle, blessure mortelle, henry doit sa vie à celle qu'il est venu torturer, la dette de vie est créée. (...) juillet 1914. des menaces de la part de grindelwald pour son acte de folie, henry risque de perdre son emploi et de voir sa baguette brisée, colère intérieur, obéissance suprême, mais le doute persiste, discussion avec sa fille lyrae pour déterminer son rôle à jouer dans la guerre à venir, devenir officiellement partisan de grindelwald ou simple soutien, rester en retrait ? premières envies, prémices de libérer cygnus, mais impossibilité pour le moment, retrouvailles avec minerva pour discuter de la dette de vie, menaces lancées sur isobel, la mère, colère sourde, discussion inachevée, départ de minerva.



Somnambule, tu ne dors pas.
Somnambule, tu divagues.


La cheminée crépite. Le feu brûle et les flammes dansent, une danse coucher avec le sorcier, aucune ne trouve grâce à ses yeux, aucune ne la complète comme elle, alors pourquoi ça ne fonctionne pas, pourquoi ça ne marche pas ? Le mécanisme est cassé, le corps usé et le monde ne tourne plus rond depuis longtemps. Et l'esprit ? Il ne dort pas, il est torturé ce soir et le corps se tient là, assis sur ce confortable fauteuil de velours, un verre de firewhiskey à la main, la cravate desserrée, la fatigue et la lassitude se lisent sur le visage de Henry. Il ne veut pas être seul, pas ce soir, pas quand il a trop bu, quand il a trop travaillé, quand sa famille lui donne la nausée, quand il a envie de se déchaîner. D'un trait, cul sec, il termine son verre et le pose presque trop brutalement sur la déserte à sa droite. Le verre se fêlé, comme sa relation avec son épouse. Les paupières lourdes, le sommeil ne vient cependant pas. Sa main s'enfonce dans sa poche, il en sort une montre à gousset en argent. Petit bijou d’orfèvrerie, tout d'argent vêtue, les armoiries de sa famille y sont gravées, héritage d'un passé glorieux qu'il tient à respecter. D'une pression il ouvre l'engin. Les aiguilles vont et viennent, tic tac,, minuit passé déjà, tic tac, il devrait déjà être revenu. « Saloperie d'elfe. » il marmonne, il s'énerve, il sent la colère qui grimpe en lui avant d'entendre le crac sonore si significatif. On a transplané.
La misérable créature approche timidement. Ses oreilles baissées, le regard fixe le sol, il avance, vêtu d'un vieux morceau de drap sale. De quoi l'elfe a-t-il peur ? De son maître bien sûr, parce qu'il sait qu'il n'aura aucun remord à l'éliminer, à le faire couiner. « Tu es en retard, Fergus. » le petit être se cambre presque, il a envie de se frapper pour se corriger lui-même, mais le regard de son maître parle pour lui. Il va le punir, mais avant, il attend des résultats et malheureusement pour lui, Fergus n'en a pas. Il ouvre la bouche, mais aucun son n'en sort. « Parle vite et maintenant, je n'ai pas de patience ce soir. » ton sec, impétueux, inquisiteur même. La fatigue disparaît pour laisser place à la colère, vive et latente, elle dort depuis trop longtemps, somnambule. « PARLE C'EST UN ORDRE ! » l'elfe de maison est mort de peur, à défaut d'être mort tout court. Il recule d'un pas, trébuche dans le tapis au sol et bafouille quelques paroles. « Fergus est dé... désolé maître ! Fergus a essayé, mais... il n'a pas réussi à vo-voler le sorcier et il...  »
Le bruit du verre brisé. C'est tout ce qu'il reste. D'un geste vif, le maître s'est levé et a lancé son verre sur son esclave. Celui-ci est blessé, saigne, mais qu'importe. Il a échoué et l'échec n'est pas permis, jamais, pas sous ce toit dans tous les cas. Ici, on ne vise que l'excellence et quiconque déshonneur le nom des Potter doit en payer le prix. « La ferme. Tu es pathétique, alors ferme là ! » Fergus observe son maître, rouge de colère. Ce-dernier passe une main dans ses cheveux pour essayer de se calmer, mais c'est peine perdu et il le sait. L'alcool a déjà fait son effet, l'homme peut disparaître rapidement pour laisser la bête prendre le contrôle. Bête féroce ou homme saint d'esprit ? Les deux. Le sourire, d'une singulière cruauté qui se dessine sur les lèvres parle pour lui. Tu vas souffrir, tu vas payer et le payer très cher. D'un geste, Henry empoigne l'elfe et le tire de toute sa force vers le foyer brûlant. L'elfe marmonne, couine, pleure, demande pardon, mais il est trop tard. Son visage s'enfonce dans le brasier brûlant. Le maître compte bien le brûler vif aussi longtemps qu'il le voudra et ceci, pour son unique bon plaisir. Les cris de douleur ne l'arrêteront pas, bien au contraire. « Je t'ai demandé une seule petite chose, elfe. Quelque chose que n'importe qui aurait pu faire et toi, tu oses revenir sans cette précieuse potion ? » les cris de l'elfe se font de plus en plus fort, à mesure que les flammes dévorent sa chaire. L'odeur d'une peau calcinée commence à se répandre dans la pièce, mais qu'importe, cela n'arrête pas Henry qui continue jusqu'à décider qu'il est temps de ne plus jouer, jusqu'à envoyer le corps tout entier de la créature dans la cheminée. Sa baguette en main, il siffle l'incantation et le feu devient un brasier gigantesque, faisant disparaître la l'elfe de maison.
Tu n'es plus rien, pas même un souvenir.
Devant son oeuvre, Henry se met à sourire, content de lui, il s'en délecte. Ses yeux ne quittent pas le feu qui reprend sa forme initiale, mais il sait qu'on l'observe, il le sent. « Nous allons encore devoir changer d'elfe Henry. Cela commence à devenir pesant. » Drusilla. Sa langue de vipère est toujours là, cinglante, acide, inquisitrice à son tour. Son époux lui fait face tandis qu'elle s'empare avant lui de la bouteille à demi vide, à demi pleine. Elle le soutient du regard avant de plisser les yeux sur le noeud de sa cravate. « Tu te négliges. Je n'aime pas ça. » « Il le méritait, il n'a pas réussi à rapporter la fiole. J'avais grand besoin de ce Veritaserum et tu le sais. » il ignore sa remarque, parce qu'il n'a pas envie d'entrer dans son jeu, non, ce soir, l'homme veut sentir ses lèvres contre les siennes, ce désir brûlant le dominait, lui rappeler qu'ils peuvent se perdre dans les bras l'un de l'autre, mais pas elle. Drusilla recule, sans un regard, elle part en direction de sa chambre avec la bouteille. « Je peux venir avec toi, tu sais. Je suis une bien meilleure compagnie que cette bouteille. » le rire moqueur de son épouse lui rappel qu'elle peut dominer autant qu'elle aime être dominée. Son regard oblique l'accuse. « Pour qui me prends-tu, Henry ? Je ne suis pas une de tes putains qui accourent quand tu la siffles. Je ne suis pas ta chienne. » mais tu es incroyablement beau, mon homme. Elle se garde bien de dire le fond de sa pensée et la porte de la chambre claque. Henry est seul de nouveau, seul avec ses pensées, seul avec son désir qui se meurt. Il sait qu'il ne faut pas insister, il sait que ce soir, c'est l'échec qui a gagné et qu'il n'a pas réussi à apprivoiser sa muse.
Le cigare coincé entre les deux, il se perd des heures encore, à la contemplation de son oeuvre, le foyer meurtrier.


Parce qu'ils sont mon sang, ma chair,
Parce qu'ils sont mes trésors, mon héritage,
Parce qu'ils portent en haut, le fruit de ma jeunesse.


Les manches de la chemise retroussées, la baguette à la main, les sens aux aguets. Il est comme un prédateur qui rôde, qui attend que sa proie baisse sa garde pour attaquer. Son regard ne la quitte pas des yeux, jamais. L'animal attend, patient, tapis dans l'ombre. Le bruit de ses pas n'existe pas, pas de velours, il frôle le sol sans jamais le toucher. Un duel ? Henry a toujours aimé cette discipline, c'est sa spécialité. Sa réputation n'est plus à refaire et plus d'un sorcier a déjà préféré céder plutôt que d'affronter l'homme. Considéré comme sans pitié et sans remord, tous les coups sont permis pour gagner, absolument tous. La limite n'existe que si on lui accorde de l'importance et chez un homme de son envergure, la limite n'existe pas, pas du tout même. Et dans l'air, on distingue comme une tension, elle est omniprésente, tellement, qu'elle est palpable. Ce n'est pas le bruit des talons de Drusilla qui claquent sur le sol qui empêchera l'issu de ce duel, pas du tout. Elle est là entant que spectatrice, une cigarette coincée entre ses lèvres, un chignon parfaitement serrée en haut de son crâne, elle fusille son époux du regard, mais elle ne parle pas.
Et puis soudain.
Soudain.
Soudain, c'est comme une bourrasque, un ouragan, une tornade qui jaillit des ténèbres. La cave de la demeure, faisant office de salle de duel s'enflamme quand des jets de flamme sortent des ombres, illuminant la pièce, créant mille et une ombres dansantes, dévorantes. La cible n'est autre que Henry, mais ça, il l'avait prévu. Il la connaît, car en elle, c'est une part de lui qui vit et ceci pour toujours. Et les flammes rencontrent un mur invisible, mais bien présent. Un charme du bouclier puissant qu'elles ne peuvent percer. Henry ne perd rien de sa concentration. La main tendue, d'un geste, il brise lui-même le bouclier, au risque de se brûler, mais l'incantation est déjà prononcée. « Aquamenti. » l'eau et le feu se rencontrent, s'enlacent tendrement, mais l'un dévore l'autre, l'extermine jusqu'à ce qu'il disparaisse. Des flammes, il ne reste rien, tandis que l'eau inonde le sol. Mais pas le temps de se reposer, déjà l'ennemie cherche à perforer la défense de Potter par un nouveau maléfice, cette fois, plus pervers, plus vicieux. « Tu n'as toujours pas compris ? » un nouveau bouclier apparaît et le maléfice ricoche sur celui-ci, tandis que Henry enfin, à localiser la position de sa cible. « Lancer des sorts à la va vite ne suffit pas dans un duel. Avant la rapidité, la réflexion sera ta meilleure alliée, ma fille. » parce qu'il avance d'un pas lent, prenant volontairement tout son temps, il sait qu'il a déjà gagné. « Bombarda. » Henry le sent. Derrière, Drusilla désapprouve, mais elle ne dit rien et qui ne dit mot consent, n'est-ce pas ? La cachette de cette pauvre Lyrae explose et voilà que sa fille se jette au sol pour éviter d'être blessée. Le sort était trop rapide, trop rapide pour se protéger à l'aide de la magie. Devant elle se dresse l'ombre de son mentor, de sa peur, de son admiration. « Et c'est avec ça que tu veux devenir Auror ? Laisse moi, petite. Tu n'es pas prête. Tu es trop gentille, tu hésites trop. Tu n'oses même pas me blesser véritablement parce que je suis ton père, mais ceux que tu auras en face de toi, tes ennemis, eux, ils n'hésiteront pas. Qu'est ce qui te retient Lyrae, dis moi ? » son regard est dur, sa voix, aussi grave que d'ordinaire. Rien ne transparaît, absolument rien, hormis une once de déception. Pourquoi s'engager dans cette voix, ma petite, si tu sais que tu n'es pas la hauteur ? Pourquoi ? Pour faire plaisir à ton papa ? Pour lui prouver que tu es plus forte qu'il ne le croit, pour lui prouver qu'il n'aurait pas dû jouer avec toi, jouer avec ta vie, avec ce foutu artefact ? Pourquoi ? « La vérité Lyrae, c'est que tu transpires la faiblesse. » c'est sans doute le mot de trop. La toute petite goutte d'eau qui fait déborder le vase. Le regard de son enfant change. Elle n'a plus peur, elle n'a pas peur du tout même. Elle le défi du regard, ce colosse qui la domine. Elle se redresse lentement, il la laisse faire. Elle veut lui tenir tête, lui prouver qu'il a tord et il le sait. Ce n'est pas pour rien que Henry pousse son enfant dans ses plus profonds retranchements. Une fraction de seconde, la tension est à son comble et tout s'effondre. Drusilla. C'est sur elle que la baguette de Lyrae pointe. Sur sa propre mère, sa génitrice. Celle-ci reste bouche bée, stupéfaite et déjà, la sorcière entame l'incantation, mais elle ne termine pas sa phrase, elle bloque. Trop tard. « Expelliarmus ! » la baguette vole, la sorcière est désarmée, l'enfant a perdu, le patriarche a gagné, mais il sait qu'au fond, il a eu ce qu'il voulait. Mais pas tout à fait. « Pourquoi as-tu hésité ? Il fallait le faire, il fallait attaquer. Tu l'as compris, n'est ce pas ? » aucune faiblesse physique, la seule faiblesse dans cette pièce est la lionne assise plus loin qui observe la pièce. « Crois-tu que tes adversaires auront autant d'hésitation que toi ? Tu serais déjà morte trois fois si je l'avais voulu et tu sais pourquoi ? Parce que moi, je n'ai aucune hésitation, aucune pitié, aucun sentiment. » « Henry. »
Crucio.
Crucio.
Crucio.
Crucio.
Combien de fois a-t-il torturé sa fille avant qu'elle appuie le bout de sa baguette contre la nuque de son époux ? Quelques secondes sans doute, mais cela a suffit à donner à Lyrae, une leçon cinglante qu'elle n'est pas prête d'oublier. Si elle hésite, les autres n'hésiteront pas. « Arrête ça tout de suite. » « Tsss. Vous, les femmes... » il baisse enfin sa baguette et cela met un terme au duel. Drusilla ne le lâche cependant pas, elle attend que sa fille se lève et quitte, l'échine courbée par la douleur et sa propre faiblesse, la pièce pour rejoindre ses quartiers. Lentement, la sorcière recule et fait face à son mari, sa baguette toujours pointée sur lui. Clac. C'est le bruit que fait la main de son épouse contre sa joue. Une gifle, une seule gifle, mais la colère se lit dans ses yeux. On ne touche pas à ses enfants, à ses petits, pas de cette façon. « Comment oses-tu !? C'est ta fille ! Notre fille ! Tu n'es qu'un monstre ! » jure-t-elle en baissant enfin sa baguette. « Parce que tu crois que cela va empêcher les autres d'agir contre elle ? C'est justement parce que c'est notre fille qu'ils voudront lui faire mal ! Elle doit y goûter tu comprends ? Goûter à la douleur physique et psychologique pour comprendre où sont ses limites et les dépasser ! Je refuse qu'elle soit aussi faible que son frère, je ne l'admettrai pas ! Et je me passerai pas de ta permission pour cela, Drusilla. » Le mari se retourne et ramasse sa veste posée par ses soins sur une chaise plus loin. Drusilla ne bouge pas, elle le fixe, elle le dévisage presque. Parce qu'elle sait qu'il a raison, mais comment rester impassible quand on voit son enfant souffrir ainsi ? Comment ? Une louve serait incapable de devenir statue de pierre devant cette atrocité. « C'est ta fille, Henry. » des paroles soufflées et d'une absolue véracité qu'il ne contredit pas. Dos à elle, c'est le mur que ses yeux fixent avec intensité. « Précisément. » l'homme se retourne, fait face à sa femme, approche, elle ne le craint pas. Ses mains se posent sur les joues de son épouse avec une profonde affection, souvent trop absente, souvent morte. « Astoria et Lyrae sont mes filles et c'est précisément pour cela que je dois faire ça. Elles sont mes trésors, mes biens les plus précieux, mais je suis un homme avant d'être un père. Je les connais tu sais, oh oui... Je ne les connais que trop bien. Je connais les ruses qu'ils vont utiliser contre elles. Des sorts, mais aussi des mots, des caresses pour mieux les ensorceler. Et si elles sont faibles, ils auront ce qu'ils veulent et je m'y refuse. Elles doivent devenir aussi fortes que leur mère pour ne pas se faire piéger, mais je te le jure Drusilla, sur ma honneur, sur mon nom et sur ma vie, quiconque oserait les toucher, les faire pleurer ou pire, les faire souffrir, ce n'est pas la magie qui fera le sale boulot. Non, ce sont de mes mains que je le tuerai et qu'il souffrira mille maux avant d'expirer son dernier souffle. » parce que derrière la bête se cache l'homme et derrière l'homme, le père, le loup, celui qui aime ses petits bien plus que sa vie. Et c'est cet homme là qu'elle adore, qu'elle veut avec lui chaque soir. Aucune réponse de la part de la sorcière, simplement un baiser enflammé, un baiser pour tout dire, pour s'aimer sans le dire.


Colère,
Luxure,
Avarice,
Gourmandise,
Paresse,
Orgueil,
Envie,
Et puis, trahison.


Quand Faust est venu au monde, son aîné s'est fait une promesse à lui-même. Sans mot, sans parole, sans son. Une promesse muette, une promesse silencieuse, mais une promesse sur son honneur. Oui, j'ai longtemps était fils unique, oui je pensais être le petit prince de ce monde, le roi couronné à venir, mais voici un frère qui vient au monde. Un rival ? non. Un allié, un bras droit, un capitaine, alors petit frère, n'ai crainte. Quoiqu'il arrive, quoiqu'il puisse se passer, jamais je ne permettrai que l'on te fasse du mal. Promesse brisée, est-elle encore d'actualité ? Car Henry a changé, car Faust a changé, car le monde a changé. Les rois du monde, belle foutaise, car ils ont pensé être plus fort que tout, plus fort que la vie, belle utopie, misérable promesse. Car jamais les deux héros n'ont été plus divisés, plus éloignés l'un de l'autre. Voici Achille, voici Hector et un seul gagnera le duel à venir. Un seul sortira vivant. Henry le sait, Henry est perdu, mais il ne cédera pas, jamais. Il ne recule pas devant une épreuve, il l'affronte à coeur ouvert, même s'il sait qu'il peut tout perdre, bien plus que sa vie, perdre son honneur, son nom, son prestige, perdre ses fils, ses filles, son élue.
Alors dans la pénombre d'un soir d'été, ses yeux ne peuvent pas quitter ce tableau massif qui trône au dessus de la cheminée de la grande bibliothèque. Deux enfants, des années d'écart. L'un approchant de l'adolescence, l'autre s'accrochant à la robe de sorcier de l'aîné. Faust et Henry. Henry et Faust. Pourquoi ? Pourquoi trahir ainsi ton frère ? Pourquoi vouloir venir chercher Cygnus ? Cygnus. Il n'a besoin que d'être remis sur le droit chemin, d'une bonne correction, d'une bonne leçon, d'apprendre la vie dans la douleur, le sang, dans l'isolement et la folie pour devenir celui qu'il doit être, un prodige au même titre que les autres, que Ulric, Astoria et Lyrea. Pourquoi le défendre Faust ? Où sont passées les valeurs d'autrefois ? Où est passé l'enfant qui admirait son grand frère ? Pourquoi ? Pourquoi !?
« incendio. » et es flammes lèchent le tableau, la peinture coule, à défaut des larmes de son créateur. Ca coule, ça brûle, ça disparaît. L'héritage d'une promesse, le dernier parmi tous les autres s'éteint pour ne devenir qu'un tas de cendres. Le spectacle est saisissant, si bien qu'il attire la curiosité d'un elfe de maison, un nouveau encore, avant que la misérable créature ne retourne dans la cuisine pour s'occuper. L'oeuvre de toute une vie part en fumée et l'ombre de Cygnus observe la scène, incrédulité d'un gosse de dix-sept ans qui ne sait rien de la vie. Le père attrape un cigare qu'il coince entre ses lèvres. La magie fait le reste pour allumer la mèche et voici que son regard de glace se pose sur celui, enflammé de révolte du garçon. « Cygnus. » l'intéressé ne répond pas, a-t-il peur ? a-t-il perdu sa langue ? non, pas encore, mais l'estime de son père, à jamais s'est évaporée. « Faust porte le nom de Potter comme toi, mais comme toi, il a outragé ce nom, il l'a violé, il l'a bafoué. Comme toi, vous n'en êtes plus digne, cependant, je ne peux te renier. Tu es mon fils et tu le seras à jamais, jusqu'à ta mort. » mort ? As-tu peur, petit oisillon, que ton géniteur ne te tue ? non, simplement te couper les ailes pour t'empêcher de prendre ton envol. Et Henry aspire la fumée et l'expire, sans quitter des yeux sa progéniture. « Dans sa dernière lettre, ton cher oncle me menace, moi, d'aller me dénoncer pour maltraitance au sein du ministère. Je crois que ce crétin a oublié que j'étais la justice, je l'incarne, je la mange et je la recrache à ma guise. » il rit. Il s'exclame d'un rire froid et glacial, un rire à faire trembler la mort en personne. Quelques minutes, oui, ça ne dure que quelques minutes, mais c'est suffisant pour effrayer encore plus le rejeton mal aimé. « Vois-tu, mon petit, je ne sais pas encore ce que je vais faire de toi, mais je sais que je dois te trouver une bonne épouse pour prouver à tous que tu n'es pas un traître à ton sang, un petit défenseur de la cause de ces sales de bourbe. Une épouse et un travail honorable, avec l'estime du seigneur Grindelwald, pour que le monde ne pense pas que j'ai engendré une quelconque tare. Et cela va de soi que je ne te demande ni ton avis, ni ton consentement. Et si tu refuses, je n'hésiterai pas user de l'impero sur toi pour t'y convaincre, alors je te conseille de mûrement réfléchir pour me prouver que tu es bien le fils que j'attends que tu sois. Tu comprends ? Je n'aurai aucun scrupule à te modeler à l'image que je veux si tu ne m'obéis pas. Impero, potion, sortilège, les possibilités sont nombreuses pour faire de toi, un pantin, un gentil toutou qui va me manger dans la main. Maintenant, file dans ta chambre Potter et réfléchis bien à ces paroles. » incrédule, le marmot ne bouge pas. « HORS DE MA VUE, CYGNUS ! »
Disparais petit, prends tes jambes à ton cou, pars, pars vite et loin, fuis le monstre.
Et pardon, petit, pardon, parce qu'au fond, papa t'aime petit. Oui, il t'aime si fort que c'est violent, injuste et sanguinaire.



Tu me rends fou,
Ta douleur est la mienne,
Tes coups sont les miens,
Alors j'en deviens malade,
Malade de toi.


Parfois, on veut arrêter le temps. Parfois, on fait que la terre arrête de tourner. Parfois, on veut juste que les autres disparaissent et qu'il ne reste que deux êtres. Des animaux qui ne savent pas se dire je t'aime, mais qui s'aiment, d'un amour violent, d'un amour passionné, d'un amour détestable. Drusilla et Henry. Henry et Drusilla. Les lèvres de l'un guident celles de l'autre. Une étreinte passionnée au coeur de la nuit. Comment se dire je t'aime sans se le dire ? Le corps parle, la voix se tait, aucune parole, juste l'envie qui prend le dessus et on oublie. On oublie la rancoeur, on oublie l'infidélité, on oublie les insultes, on oublie les remords, on oublie tout. Absolument tout. « Henry... Pas ici. » « Ils dorment. » parce qu'il sait qu'elle parle des enfants, parce qu'il sait que malgré sa puissance, la pudeur l'emporte toujours chez elle, une partie que son épouse n'aime pas montrer, une partie d'elle qu'il est la seule à connaître. Les mains dansent sur le corps de son épouse, soulève les pans de sa robe aux reflets émeraudes. Ses crocs se referment sur ce cou qu'elle lui offre et ses doigts se perdent dans la chevelure, après qu'il ait osé défaire le chignon stricte de son épouse. Celle-ci s'empresse de déboutonner la chemise, non sans une certaine sauvagerie. Elle l'arrache presque et quelques boutons n'y résistent pas, mais ce n'est pas important. Non, ce qui compte là, c'est elle, c'est lui, c'est eux et rien d'autre. Comment cela a commencé déjà ? Ah oui, par une dispute, encore une, au clair de lune. Des reproches, parce que l'homme collectionne les femmes comme l'on collectionne les timbres, un beau harem et il a osé reprocher à son épouse d'avoir un gosse comme amant, un jeune coq qui suce encore le sein de sa mère, à peine sortie de l'oeuf, la vingtaine et elle lui a hurlé dessus. Oui, Drusilla hurle et elle hurle bien, pour tout ou presque et son mari s'est mis à rire, à se moquer d'elle. Le verre à la main, il n'a pas terminé sa gorgée qu'elle l'a fait valser avant de vouloir le gifler encore. Non, pas cette fois. Sa main a saisi celle de la sorcière pour l'empêcher. Oh, ne vous y méprenez pas, si le sorcier est violent avec tout, jamais il n'a osé lever la main sur son bien le plus précieux, sur celle qui détient les clefs de son coeur. Elle le sait et elle en joue. Alors elle l'a embrassé, soudainement, subitement, sans rien d'autre. Et lui ? Lui, il est accro, c'est comme une drogue, son opium, sa poudre, son tout. Il a répondu à ce baiser et voici l'épilogue de cette histoire. Assise sur la table, les assiettes ont volé, les couverts également, la nappe s'est perdue sur le sol, ce n'est rien, les esclaves nettoieront plus tard. Penché contre le corps brûlant de sa femme, Henry se délecte de l'instant, de chaque minute, tandis que sa moitié le serre aussi fort que possible contre elle, comme si elle voulait qu'il entre en elle, qu'ils ne fassent qu'un, un seul et même être. Je suis tien. « Drusilla. » non. « Tais-toi et aime moi. » c'est un ordre, c'est impérial et le soldat obéit. Plus aucun mot, juste des vêtements qui s'effilochent et des cris de plaisir qui se perdent dans la nuit.
Et demain ? Demain, on ne s'aimera plus.
Demain, on se détestera de nouveau.
Je t'aime.
Moi non plus.



Dernière édition par Henry Potter le Mer 6 Mai - 19:02, édité 30 fois
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyMer 25 Mar - 20:02

:body:
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyMer 25 Mar - 20:13

ce début de fiche, et joaquin :burn: besoin d'en voir plus :burn:
bienvenue sur le forum, et bon courage pour la suite de cette fiche fabuleuse I love you
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Lyrae Potter
ordre du phénix
Lyrae Potter
crédits : .LOLLIPOPS (AVATAR) + SIRENS CHARMS & HENRY (SIGNATURE & ICONS).
face claim : TAYLOR MARIE HILL.
pseudo : CRIMINAL DAMAGE.
les maux de nos coeurs. 200
études : fut élève à Poudlard de 1904 à 1911, répartie dans la maison du noble Salazar Serpentard.
particularité : occlumens (niveau 2).
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyMer 25 Mar - 20:59

bordel, le début de la fiche démonte. :fire: :fire: :fire:
aujourd'hui et à la face du monde entier, bienvenue daddy. :keur:
la suite de la fiche s'annonce grandiose, hâte au plus haut point. :aah:
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyMer 25 Mar - 21:03

ça c'est du leviator shiny. 🐱 :keur:
le personnage, l'avatar, tout ! :brille:
j'ai vraiment hâte de le voir en jeu ! I love you
bienvenue. :miguel:


Dernière édition par Nicky Scruff le Jeu 26 Mar - 13:06, édité 1 fois
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyMer 25 Mar - 21:56

je sais que je suis pas validée et que voila mais ... ce personnage, je meurs :tombe: :tombe: :tombe: :sagan:
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyMer 25 Mar - 23:55

:riri: :body:
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Augustus Black
ordre du phénix
Augustus Black
crédits : meilleure prupru de la terre
face claim : lucas jade zumann
pseudo : pattenrond/noah
particularité : dons de voyance, visions dans les rêves et parfois éveillé (séquences de nombres inexpliquées)
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyJeu 26 Mar - 0:14

il est terrifiant, et quelque part, j'adore ça. purée ces feels, tu le maîtrises à merveille, il est meilleur que ce que j'avais pu imaginer. et j'avais mis la barre très haut, parce que c'est vraiment la personne qu'augustus craint plus que grinderwald et son propre père, et il est monstrueusement parfait. merci de le jouer, on ne pouvait espérer meilleure plume :jelly:
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Antarès Black
coalition sorcière
Antarès Black
crédits : @jenesaispas (imageprofil: 0stara)
face claim : Timothée Chalamet
pseudo : Kraeken
les maux de nos coeurs. Ererffeefefef
études : Les couloirs de Poudlard l'ont vu grandir, la salle commune de Serpentard comme salle du trône. 1901 - 1908
particularité : (EMPOISONNE) Magie sans Baguette, dangereusement silencieux, au sourire meurtrier
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyJeu 26 Mar - 0:36

Mamamamamamama :bave: :bave: je suis déjà en admiration devant ce Mr. Potter. Je vais d'ailleurs venir quémander un lien rapidement futur beau père :dayum:

Bienvenue à toi !
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyJeu 26 Mar - 4:21

les frissons quoi. les feels. omg. :bave: :tombe:
je suis juste méga amoureux de tes choix, le fc, la psychologie, les ambitions, sa relation avec drusilla. gosh. ça me donne limite envie d'être cette drusilla (on sait jamais, si le scénario est libre). Arrow
bienvenue parmi nous, my love. :luv: j'espère que tu te plairas dans ta nouvelle maison. I love you nous, on a hâte de voir cette fiche se terminer pour la dévorer !
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Théa Flamel
ordre du phénix
Théa Flamel
crédits : abel love (avatar) // prue da best (signa) // pisces (profil)
face claim : dianna agron
pseudo : pisces, clémence
les maux de nos coeurs. XcMwJDA8_o
études : fière serpentarde, préfète et préfète en chef de son état, de 1895 à 1892
particularité : aucune
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyJeu 26 Mar - 13:02

mais tu tues mes elfes
:why:
jsuis pas d'accord.
je boude
:shook:
en vrai, quel début, tu as une belle plume, jvais faire des cauchemars à cause d'henry ptn.
bienvenue à toi :woo:
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Henry Potter
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Henry Potter
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études : autrefois élève sous les couleurs de serpentard de 1876 à 1883.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyJeu 26 Mar - 13:59

aaawwnnnhhh
vous êtes tous des amours, merci beaucoup
:aah: :aah: :aah:
franchement, ça me touche beaucoup, vous savez pas à quel point :brille:
ça y est, mon coeur c'est une guimauve :canard:

@Ulric Potter toi t'es la meilleure, jtm 4ever
:body: :body: :body:
je t'offre mon corps bb

@Roisin Whelan
et toi ton perso, t'es trop belle et ta plume, j'ai zieuté, j'aime
on peut se trouver un truc, même si je doute que ça soit positif :hubert:
tu veux pas devenir ma future jeanne d'arc ? :brille:

@Lyrae Potter
ma beauté, mon bb, ma fille, bibiche d'amour à son papa
t'es trop belle, forcément quand on voit le père  🐱
merci :fire: :fire: :fire: il nous faut un rp ma petite :evil:

@Nicky Scruff
alors là, leviator shiny, j'approuve ! :fire: :fire: :fire:
il est genre toujours dans ma team quand je fais une game sur argent (oui parce que or c'est caca, j'aime pas, vive lugia :hehe: )
merci merci :cute:

@Adda Ollivander
je t'ai déjà parlé de mon amour inconditionné pour yen ? non et bien je le fais car je l'aime dans les livres, dans les jeux et j'ai adoré anya (cte beauté) dans la série, j'avais même pensé à sa bouille pour un scénario alors je veux, que dis-je, j'exige un lien :hubert: :hubert: et on dit rien à drusilla :cache:

@Almira Lockhart
donne moi ton corps bb
:riri: :dollars:

@Augustus Black
merci beaucoup ! contente qu'il soit si terrifiant, c'est ce que je cherchais à faire :plz: :plz: du coup, tu sais ce qui t'attend (en vrai j'vais avoir trop de mal à jouer un père homophobe, c'est contre ma nature :rainy: :red: )

@Antarès Black
AH ! voici celui qui a l'honneur de tenir le bras de ma petite Astoria :red: :red: viens demander un lien mon biquet, faut qu'on cause de quelques détails ! merci merci :plz: :plz:

@Lekié Zabini
REECE CTE PERFECTION :woo: :woo:
merci beaucoup ! et si tu veux jouer drusilla, aucun souci, j'en ferai sûrement un scénario car je la veux, j'aime trop leur lien alors viens, je t'attends :hinhin: en espérant que la suite de ma fiche soit du même niveau !

@Théa Malfoy
tout de suite les grands mots, je ne tue pas, je dresse, j'éduque voyons, pas ma faute si la garantie des elfes est de mauvaise qualité :red: j'peux même pas l'échanger au SAV ste plaît ! :ohno: :ohno:
merci en tout cas :woo: :woo:
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyJeu 26 Mar - 20:50

bonsoir mon chaton. :cute:
quelle fiche ! j'ai adoré. j'adore la relation entre henry et sa femme drusilla, dont je suis complètement fan. :aah: c'est tellement bien décrit, la tension est palpable, il y a de l'amour, de la passion mais aussi de la colère. les drama. les feels. :fire: henry est diablement sexy, influent, machiavélique. on sent qu'il veut protéger ses enfants et on comprend pourquoi il est si dur avec eux. on aime.
s'il y avait une toute petite remarque à faire, c'est sur la relecture, parce qu'il y a de nombreux passages où parfois il manque des mots, et ça casse un peu la fluidité de la lecture. :sad: mais à part ça, c'est super, et j'ai adoré te lire ! vraiment. :yeah:
bienvenue dans ta nouvelle maison. :hey: I love you maintenant, file poster drusilla, parce que je veux absolument la voir débarquer ici ! :oo:



te voilà des nôtres
Toutes mes félicitations, tu es validé.e. Une pluie de dragées surprises s'abat sur toi, tandis que des chocogrenouilles se font la malle.

Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à notre premier rp commun et à un rite de passage. N'hésite pas non plus à tisser des liens, et à consulter les bottins pour te recenser. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à la prochaine intrigue. Enfin, tu peux envoyer un message à ton équipe dévouée. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.
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études : autrefois élève sous les couleurs de serpentard de 1876 à 1883.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. EmptyJeu 26 Mar - 21:14

merci merci pour tous ces beaux compliments :aah: :aah:
et pour les mots, je ferai attention, promis, j'écris plus vite que mon clavier et j'ai un gros défaut, je ne me relis jamais ! :cache: :cache:
merci en tout cas, vous gérez aussi, vous êtes fabulous :brille:
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: les maux de nos coeurs.   les maux de nos coeurs. Empty

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