☾ moitié lame, moitié soie

tw : violences sur enfants, fausse couche, viol conjugal 4 février 1903 : A 19 ans, Théa est fiancée officiellement à arctus selwyn, âgé de 53 ans. Elle était au courant de cet arrangement depuis ses seize ans, il est étrange de se savoir condamnée tout de même. Arctus a beaucoup d'influence, voyage beaucoup au quatre coins du monde et a souhaité se marier avec elle suite au décès de sa femme, qui n'a pas eu d'enfant. 3 juillet 1903 : Théa devient la préceptrice de la douce @Lyrae Potter, l'une de ses première étudiantes, elle est touchée par la fragilité de la gamine qui évolue dans un foyer si difficile. Elle voit bien des ressemblances avec elle chez l'enfant, lui offrant plus de tendresse que d'accoutumée. Elle est ravie de ce métier qui la sied tant, sachant pertinemment qu'elle ne pourra pas faire autre chose une fois mariée, il est noté dans le contrat qu'elle n'a pas le droit de travailler pour gagner de l'argent. Arrangement avilissant accepté sans sourciller par Christian Malfoy. 6 mars 1904 : Officialisation du mariage de Théa et Arctus, elle quitte le nom des Malfoy pour devenir sans tendresse une Selwyn, depuis le premier instant, elle trouve que ça sonne étrangement mal. Théa Selwyn. 30 septembre 1907 : Théa se rapproche d'un journaliste après avoir constaté une forme aïgu de maltraitance sur les enfants d'une éminente famille de sorciers sang-pur. Elle souhaite être une informatrice pour qu'éclate au grand jour la malveillance du père Prince, pour protéger @Prudence Prince. Lorsque le papier sort pour être lu du grand public, la famille n'est pas citée explicitement mais des détails tendent à faire comprendre que c'est bien eux. Elle ne peut plus être la préceptrice de Prue et se retrouve sans contact de la jeune fille. Ca la démolit, regret ultime de ne pas avoir fait assez pour sa protégée. 1 janvier 1908 : la gazette met en avant dans les faits divers la tromperie de son mari lors d'une soirée dansante à laquelle elle participait la veille. Le lire dans les journaux est douloureux, elle laissa le journal bien en évidence, près du café de celui qui s'appelait époux, ses connaissances du Daily Prophet lui confit que c'est le patriarche Prince qui a révélé l'information, petite vengeance contre elle, elle sait qu'il y en aura d'autre. 19 octobre 1909 : Des symptômes inhabituels, la faim qui la tiraille, la poitrine plus lourde, et le serre-taille qui ne serre plus grand chose, enfin, Théa est enceinte de son premier enfant, immense joie qu'elle vie seule, Arctus est bien loin, il n'a fallu qu'un coup de rein rapide pour qu'elle soit enceinte, le bon moment peut être ? Elle reste surprise, car ces actes, elle peut les compter encore à ce jour sur ses dix doigts tant ils sont rare, cet homme qui partage sa couche selon son humeur se montre plus attiré par ses maîtresses que par elle. Il lui dit un jour qu'il a l'impression de baiser une enfant. Elle en pleure longtemps, mais serre ce ventre qui la sauvera un jour, elle en est sûre. 15 avril 1909 : Fausse couche de Théa dans une grossesse plutôt avancée. Elle est dévastée, c'est @Hestia Lestrange qui accompagne un médicomage pour l'aider à accoucher de cet enfant mort né. Elle n'a jamais ressenti pire souffrance. Jamais. 29 juin 1909 Premier et unique viol conjugal. Elle se souvient de tout, même encore à ce jour. Arctus n'a plus touché Théa après ça, elle avait confié ce qui s'est passé à @Méra Malfoy, et se doute que cette dernière en avait touché un mot à @Hylas Malfoy. Elle est persuadée que son frère a menacé son mari, mais ne dit rien, le remercie chaque jour que le monde fait, incapable d'être à nouveau approché par l'homme qui semble tomber lentement malade à la suite d'une lecture macabre de Théa. 18 août 1909 une rumeur dit que Théa aurait tenté d'avorter de son mari trop âgé. Folle de rage, elle va confronter le père Prince qui menace de la détruire. Ca tombe bien, elle aussi, comptait faire cela. septembre 1910 Théa commence à travailler sur sa théorie des elfes selon laquelle ils resteraient tous à l'écoute des Malfoy, beaucoup de lecture et de temps accaparé par cette théorie encore abstraite en 1910. 24 décembre 1913 : fin du suplice, début d'une nouvelle vie au matin lorsqu'on lui apprend que Mr Selwyn est mort dans la nuit. Quelques larmes coulent sur ses joues, la famille pense que c'est du chagrin, mais c'est la joie qui perle sur ses pommettes, un goût de liberté entâché par un retour rapide dans la demeure Malfoy, elle n'a plus le choix, elle doit retourner sous la tutelle d'un père bien embêté par son arrivée. Janvier 1914 : nouvelle année, théa retrouve le confort de ses appartements et passe une partie de son temps à trier ses affaires et vendre les meubles partagés avec son défunt mari. Elle s'entraine à nouveau à jouer de la harpe, et parfois, on l'entend chanter, un peu faux, mais l'oiseau à nouveau bat des ailes. Le reste du temps, elle s'en va sur la tombe d'Arctus, puis d'Orion, pour déposer des fleurs de sa composition. Elle ajoute toujours une rose noire cachée dans celle qu'elle laisse à Arctus. Février 1914 : Théa croise @Atlas Flamel, veuf lui aussi, abimé par la vie de façon moins douce qu'elle, il a aimé, il été blessé, ils se ressemblent dans bien des points, et il a tout ce que Théa attend d'un mari, elle le sent, c'est lui, et cette soirée risque de changer sa vie. Parallèlement, sa théorie sur les elfes se confirme et elle arrive désormais à en faire des espions, pour les plus dociles d'entre eux. cela va de pair avec la révolution sorcière, et elle y voit l'outil parfait qui peut permettre à l'ordre de se défendre, mais surtout de trouver pierre philosophale et reliques de la mort. Mars 1914 : Théa se dispute avec @Albus Dumbledore qui voulait l'impliquer plus dans leur organisation. Elle se dédouane, pas assez prête, toujours fille de l'ombre. Elle serait inutile au premier front stratégique, elle en est convaincue, et elle ne supporte que difficilement qu'on tente de l'y obliger. Avril 1914 : retour de sa parfaite @Méra Malfoy, la vie au manoir est plus douce avec sa soeur à quelques pas d'elle. Elles passent du temps ensemble, Méra la fait voyager alors que Théa n'a jamais quitté l'île, elles sont plus complices que jamais, bonheur retrouvé même si les deux blondes connaissent déjà le risque d'être fiancées prochainement. La vie est tendre, en attendant. @Orphée Trelawney de son côté s'enfuit avec l'aide de la blonde, dont la dette de vie ne s'effacera jamais, elle s'assure que l'oracle est protégée des personnes malveillantes, sans savoir que l'un de ses pires bourreaux est l'une de ses plus proches amies, @Iris Lestrange. Son affection pour @Atlas Flamel se développe, elle qui n'était qu'interessée tombe sous son charme, irrémédiablement. Elle est fascinée par l'homme qu'elle découvre petit à petit, n'osant mettre un mot, un nom, sur ses sentiments. Elle propose à son père de tester alors la théorie des elfes non pas sur un membre de l'Ordre au hasard, mais bien sur Atlas, pour en savoir plus sur lui, elle se fiche de la pierre et du pouvoir des Flamel désormais. Mai 1914 : elle a la joie de passer des moments tendres avec Atlas, elle se délecte de sa compagnie et chacune des invitations du garçon la mettent en joie. Son coeur éclate de bonheur dès qu'il frôle (par inadvertance ?) sa main, son épaule, sa hanche, si bien qu'elle n'attend qu'une chose, la prochaine rencontre. Juin 1914 : @Atlas Flamel la confronte violemment suite à la supercherie de Théa. Elle accepte de boire du véritasérum pour protéger sa famille d'éventuelles représailles, et lui avoue son amour, qu'Atlas partage, mais ne souhaite pas vivre avec elle, sonné par ce que la Malfoy est capable de faire. Juillet 1914 : Après 40 jours de léthargie, sans contact l'un de l'autre, @Atlas Flamel invite Théa pour qu'ils puissent échanger. S'en suit un premier baiser, première étreinte, mais il lui révèle alors la vérité sur les recherches de nécromancie qu'il mené pour ramener sa défunte femme. Eclat de colère pour Théa, qui refuse de s'engager avec Atlas s'il poursuit ses recherches, nouvelle étreinte, promesse d'Atlas, amour nouveau et tendre, demande en mariage du Flamel, Théa deviendra bientôt Flamel. Mais un bonheur n'arrive jamais sans tempête, Théa se rend chez @Minerva Mcgonagall pour la confronter à ses suspicions, elle pense que son futur mari et l'animagus sont amants, ou tout du moins, l'ont été. Elle l'insulte et s'en suit une crise d'angoisse de la blonde, terrifiée de vivre un nouveau mariage désastreux. Se fait interroger par @Enkhjin Greyback au ministère, subit cet interrogatoire avec @Cassandra Trelawney et apprend de l'oracle que ses étreintes non protégés avec Atlas ont entraîné... Un bébé. Enceinte.

(tw : mariage forcé, fausse couche, viol)

I. dès sa plus tendre enfance, sa mère sut qu'elle n'avait rien d'une suiveuse. esprit particulièrement vif quand elle se savait simple, thea avait hérité d'un cerveau débrouillard comme elle n'en avait jamais vu dans cette famille. thea se distinguait par des apprentissages rapides tant qu'elle était motivée et d'une détermination captivante. son père était presque effrayé par les différents caractères de ses enfants, lui qui n'avait jamais tant brillé. II. serpentard telle une évidence, la maison sied parfaitement à la jeune femme tant elle est roublarde et stratège. elle s'épanouit dans la maison des serpents, préfète et préfète en chef de son état, rien de plus naturelle pour la futur préceptrice qu'elle est. fiertée familiale, elle s'attache à avoir un comportement irréprochable. la gamine semble si docile que dans son dos, son père fait de drôles de promesses... III. elle suffoque quand elle apprend que son patriarche a enlacé son annulaire d'un anneau rouillé. arctus selwyn deviendra son mari, de 44 ans son ainé, elle est terrifiée à l'idée de se retrouver enchainée à cet homme. elle n'est du moins pas surprise, son père n'a jamais eu le chic pour les affaires, et elle était une délicieuse affaire. IV. arctus selwyn avait une grande qualité : il était peu présent. et il lui a laissé le temps, deux ans, avant de réclamer des faveurs charnelles. petit à petit, théa s'est faite à l'idée de perdre sa virginité dans ses draps, et d'échanger des caresses furtives pendant sa présence. Il la voyait comme un beau joyau, similaire à celui qu'elle portait sur son bijou de mariage, brillante, parfaite à montrer en soirée montaine, mais silencieuse. Elle se pliait parfaitement à cette demande, ne voyant comme seul échappatoire à sa vie ennuyeuse d'avoir un enfant. V. elle se voit encore, tremblante, les mains portés à sa jupe ivoire qui se teintait lentement de carmin, s'effondrer doucement au sol, asphyxiée : elle perdait son bébé, son unique phare dans cette vie sans saveur depuis son mariage nauséabond. elle sent des larmes s’écouler sur ses joues alors qu'elle tente de reprendre son souffle. sa main atteint à peine la poignée de la porte en bois pour hurler sa panique à son vieillard de mari. Il s'offusque à peine de la situation, sa défunte femme non plus n'a jamais réussi à garder un enfant. Elle tremblait sans s’arrêter. Incapable d’aller à St Mangouste, c’est le visage familier et chaleureux d’hestia qu’elle a vu lorsqu’il a fallu se relever du parquet en bois massif dont les stries se remplissaient de sang. Leur sang : théa et son enfant, qui disparaissait dans une mare carmin, alors qu’elle perdait une partie de sa raison. Arctus s’était enfermé dans son bureau après avoir prévenu les médicomages, il n’avait pas tenu la main, il n’avait pas tenté de la rassurer, de l’aider. Il s’était simplement assuré d’une voix froide qu’elle ne meurt pas sur le sol de la chambre. Hestia murmurait des paroles rassurantes, plongeant ses prunelles dans celle de la mère appauvrie, pour tenter de l’amener sur le lit. Elle l’avait presque porté, quand théa répétait comme un mantra : il ne peut pas mourir. il ne peut pas mourir. Il était déja trop tard, quand s’effondra sur le lit conjugal, l’odeur métallique chatouillant ses narines, lui donnant le tournis. Poupée de chiffon, la seconde médicomage s’applique à regarder son entrejambe, la pudeur disparue, théa souffre le martyr, elle hurle parfois, de douleur, de malheur, dévastée. Hestia caresse son front, elle semble soufrrir aussi, mais elle ne peut pas le dire, elle doit tenir pour laisser sa patiente s’effondrer entre ses doigts. Elle lui propose une potion lorsque sa collègue annonce qu’elle devra sortir son enfant naturellement : elle va donner la vie à un mort, comment appelle-t-on cela ? Encore accouchement ? Ou exécution ? Y-a-t-il une chance que le cordon qui la relie à lui lui insuffle encore un tant soit peu de force ? Non. Elle a perdu trop de sang. “Je n’en veux pas. Je veux le sentir, Hestia.” Elle perd presque connaissance lorsqu’elle pousse pour voir sortir le petit être à peine formé. Sa voix déraille tant elle est abimée par ses cris, et sa tête menace d’exploser : elle allait y rester avec son enfant, elle ne survivrait pas à cela. Elle murmure aussi “C’est trop dur, je ne veux pas, laissez moi avec mon bébé, je ne veux pas…” Mais alors, il glisse entre ses jambes, et elle croise son corps sans vie de son regard. Elle en perd ses mots, tend les bras, et le serre contre elle, ensanglanté. Elle n’est que carmin, terrifiante avec la rougeur du sang jusqu’à ses cheveux blonds. “Mon bébé… Mon bébé…”

Et après. Plus rien. Le vide.
Les gens l’évitent.
Elle pleure plus qu’elle respire.

Même Méra ne la fait plus sourire.
Les gens sont maladroits.
Elle ne mange pas.

Elle ne vit pas.
Les gens parlent dans son dos
Elle est spectatrice de son effondrement.

Seule.
Seule.
Encore.

Elle avait eu un enfant. il n’avait juste pas eu le temps de l’appeler maman. elle pousse de toutes ses forces pour voir un petit être sans vie à peine formé qu'elle se met à aimer plus que sa propre vie, alors qu'il n'a pas eu la chance de voir la sienne s'ouvrir. elle l'appelle orion, il sera sa nébuleuse parmi les étoiles, et de ses mains fragiles, elle enterrera le cadavre dans le jardin fleuri de ses parents. VI. il la frôle de ses doigts glacés, et elle en tombe presque du lit. Il essaye à nouveau de la toucher, et elle se met à pleurer. Traumatisme présent, c'est dans ce lit qu'elle a perdu leur enfant. Il ne comprend pas, il ne comprend jamais rien d'elle, ils ne se parlent pas, ne s'aiment pas, ne s'écoutent pas, ils se coitoient, seulement, et uniquement. Elle ressert son peignoir de satin et reste au bord du lit. Mais, bien décidé à profiter de la couche conjugale, il lui fait sentir sa proéminence légère et fragile, presque molle, puis la saisit de quelques mouvements. Elle détourne le visage, les larmes s'effondrant toujours sur son visage tandis qu'elle subit son devoir de femme mariée. Elle le maudit tout du long, en restreignant toute la magie qui la taquine, prête à surgir, à exploser. Il fini dans un râle écoeurant, et elle se promet qu'il ne la touchera plus jamais. Coincidence, ou non, il tombe malade quelques temps après cela, avant d'avoir pu la faire sienne, incapable après cela de s'adonner au sport de chambré, souffrant, seulement, chaque seconde, de cécité, et de son inflammation purulente. VII. lors de ses séjours dans sa maison d'enfance, elle passe  tout son temps à observer son père travailler le commerce d'elfe de maison. petit à petit, elle construit des théories sur leur meilleur gagne pain, mais surtout leur meilleur allié pour découvrir les mystères de la magie. Elle était obsedée par son visage qui commençait tout doucement à fleutrir, et sa vie qui menaçait de s'évanouir, à l'instar de son mari. jeunesse eternelle, elixir de vie, les flamel commencèrent doucement à l'interroger, elle qui voyait d'or et déjà son voile noir sur son visage. Oui, elle serait bientôt veuve, mais loin d'être éplorée, elle préparait la suite de son histoire plus consciencieusement : cette fois, son père n'aurait pas voix au chapitre, elle s'en était déjà chargée. ce dernier, encore coupable d'avoir lié sa première fille à un homme ne pouvant la contenter, se laissa faire sans discuter. VIII. elle porte toujours du noir, en mémoire de son ancien nom. elle n'est plus selwyn, et elle est enfin redevenue malfoy, toutes ses chaines ont été brisées et elle se sent revivre à nouveau, fleur éclose, bien loin du reflet de ses vêtements sans éclat. mais il ne s'en offusque pas, atlas, quand il plonge son regard dans ses prunelles ambrés, il se réjouit de la verve affûtée de la femme mature qu'il a face à lui, il est troublé, touché, quand elle lui confit qu'elle a perdu la vie, celle d'orion, et il s'épanche sans s'en rendre compte sur sa nymphe perdue. sur la base de la perte, ils construisent une relation douce et fragile, se rattachant à ce qu'ils peuvent après avoir vu disparaître sous leurs yeux ce qui comptaient le plus pour eux. ils se sont bien trouvés, à moins que théa n'en ait joué, l'aurait elle planifié, une rencontre si évidente entre deux âmes en peine ? Nul ne le sait, mais l'un comme l'autre, ils se portent plus d'affection que ce qu'ils auraient imaginé, au point de vouloir se lier, ensemble, d'un anneau doré. IX. elle joue de ses jambes fines sur le fauteuil feutré du salon de thé. sa théorie est bonne, elle le sait, elle l'a testé. les elfes les plus faibles, même déjà en poste, lui obéissent. elle est extasique à l'idée de pouvoir s'en servir. "Père, nous sommes les premiers propriétaires des elfes, n'est ce pas ?" Il hoche la tête, ailleurs, ne voyant pas où voulait en venir sa fille. "Et les elfes doivent obeissance à leur maitre, n'est ce pas ?" il leva un oeil curieux vers sa première fille. il savait que dans ces cas là, il valait mieux écouter la pertinence de ses propos. si elle était fine manipulatrice, c'est aussi qu'il se laissait bien faire. "Dans ce cas, les elfes, tous les elfes, nous doivent obeissance. même si un autre maître est en place, le premier prévaut toujours, c'est cela ?" il sourit, toujours aussi impressionné par son enfant. "C'est une bien belle idée, théa" elle lui sourit, et fini sa prise dans un souffle cristallin "Oui père. Quel fin stratège vous faites. Avec les elfes, nous pourrions gagner les reliques, la pierre, et peut être même le trône du ministère."