we'll never be royals again (adeto)

anecdotes


daddy dearest. figure paternelle admiré avant que celui-ci ne sombre dans la déchéance. à une époque, Adeto considérait Isaiah comme un rôle modèle, comme une figure à suivre. gamin émerveillé par la réussite de son géniteur, par sa capacité à atteindre les plus hautes strates. puis, l’incendie, le désastre annoncé, la punition, le rejet. rancune incompréhensible du fils envers le père. le sorcier ne peut s’empêcher d’en vouloir à celui qui l’a vu grandir, c’est plus fort que lui. il ne parle jamais de son ressentiment envers l’ancien ministre de la magie, mettant toute son énergie pour que le chef de la famille regagne sa liberté. Ade ne dit rien, jamais. pourtant, quand son regard se pose sur la silhouette abîmée de son père, des éclats de colère semble briller. rage injustifiée. shattered heart. Lekié, cinq petites lettres pour englober toute une palette d’émotions. histoire éphémère, relation passionnelle et douleur innommable. ce n’est qu’une fois qu’on a perdu quelque chose qu’on se rend compte de son importance, qu’on s’aperçoit à quel point c’était vital. douloureuse réalité que vit l’aîné des Shacklebolt depuis le massacre des Zabini. cœur en souffrance qu’il préfère occulter, refusant d’admettre ses sentiments qui n’ont plus lieu d’être, refusant de se laisser envahir par les souvenirs d’histoire d’une nuit à répétition plutôt que d’une relation digne de ce nom. puis, il y a Meera, le possible salut de sa famille. sorcière qu’il connaît depuis plusieurs années et dont son entourage familial rêve à une union prometteuse. entre eux, ce n’est que tendre attachement et amour platonique. ce ne sera jamais l’amour de sa vie. le sien, les mœurs l’interdisent et il ne se conjugue qu’au passé. du moins, c’est ce que l’autre camp ne cesse de prétendre. matter of honor. la justice en ligne de mire, la droiture incarnée. c’est une autre sorte de noblesse que celle du sang qui habite Adetokunbo. c’est un homme d’honneur, de paroles, rien n’est laissé au hasard avec lui et les promesses sonnent autant comme des menaces selon la personne qui lui fait face. il a le potentiel d’un héros qui refuse de l’être, préférant l’ombre à la lumière, les coulisses à la scène. extrêmement fidèle à ses convictions au point d’agir de manière dangereuse, d’occulter certains de ses désirs pour le bien des autres, pour redorer un blason terni. héritier parfait d’une famille en pleine déchéance, aîné désireux de retrouver ce qui lui a été pris et de condamner les responsables, qu’importe si le cœur doit en pâtir.  bend your knee. loyauté aveugle difficile à accorder, celleux à qui Adetokunbo a offert ce privilège sont rares. sa méfiance naturelle l’empêche de donner sa confiance au premier venu, défaut qui se mue en qualité quand elle lui évite bien des situations épineuses. l’idée de prêter allégeance à un despote ou à une personne trop enfoncé dans la folie ne lui effleure même pas l’esprit, refusant de s’enfermer dans une prison dorée qu’Ade aurait lui-même choisi. sorcier trop fier pour se laisser charmer par le premier venu et ses belles paroles, trop noble pour accepter de se soumettre via le chantage ou l’obligation. chevalier d’une autre époque préférant la mort plutôt que de dire adieu à son libre-arbitre. il est le seul à choisir son propre chemin et laisse le soin à d’autres de se laisser dicter chacun de leur pas. in cold blood. visage qui se veut stoïque alors que les émotions bouillonnent intérieurement. gamin ayant toujours appris à faire preuve d’un calme olympien devant toutes les situations possibles et inimaginables. sensibilité que l’ancien Gryffondor cache derrière un millier de masques. peu nombreuses sont les personnes pouvant se targuer de savoir ce qui se passe dans la tête et le cœur de l’éphèbe, tant il refuse de se montrer vulnérable ou de craquer, qu’importe si plus rien ne va. Adeto préfère se terrer dans les secrets plutôt que de se forcer aux confidences sans intérêt. du moins, il aime le prétendre. illusion qui ne résiste pas face à celleux le connaissant par cœur, bien malgré lui. il préfère penser avec sa tête qu’avec son cœur, moteur à trop de mauvaises décisions. unstoppable siblings. fratrie unie sur tout les fronts, malgré les non-dits et les divergences d’opinions. meurtrie depuis la capture du patriarche, depuis qu’ils ont vu le sort immonde réservé à celui qui inspirait le respect et la sympathie, à une autre époque. révolutionnaires dans l’âme qui sont prêt à tout pour retrouver un semblant de gloire et à libérer celui qui est injustement traité de la pire des manières. complices depuis toujours, malgré les éclats et les tensions, toujours à veiller les uns sur les autres. cadets qui voient bien que l’aîné n’est plus vraiment le même, semblant en proie à des cauchemars inconnus. ils sont l’avenir d’un clan brisé par les évènements, cabossé et méprisé par des anonymes pensant avoir la sainte vérité. relève qu’ils doivent assurer, qu’importe les coups.  collect their weaknesses. déformation professionnelle ou accro aux informations, il est le genre de personne à enregistrer tout ce qu’il entend. secrets dérobés, rumeurs plus ou moins vrais, fait étranges… tout est bon pour lui. il n’a cesse d’observer son monde et de noter chaque détail, chaque faux pas afin de déceler le vrai du faux. éloquent quand il le veut, artiste en matière de persuasion, Adetokunbo ne laisse jamais ses pistes s’évaporer, appréciant bien trop ce jeu où de simples broutilles peuvent devenir des armes, où chaque faits insignifiants peuvent être le début de quelque chose de beaucoup plus intéressant. pour vaincre, il faut connaître son ennemi et ça, il le sait depuis des années.  war of heart. l’orgueil en péché capital, fierté non-dissimulée qui attise la haine de celleux qui le considère comme impur. comportement presque royal alors qu’il n’est plus et qu’au fond, il n’a jamais été de ce rang-là. pas pour eux, pas pour ces gens qui se pensent dans une bulle, qui s’imaginent plus fort que tout alors que leur entêtement les emmène tout droit vers leur propre perte. successeur d’un clan détruit qui n’attend qu’un faux pas pour les atteindre parce qu’ils ont osé le blesser, parce qu’ils ont entaché les souvenirs de son enfance et de son adolescence. fierté ignorée mise à mal. la vengeance brille dans ses iris sombres, attendant l’heure parfaite pour les faire tous sombrer, même celui tant aimé appartenant à l’autre camp. dark place. malgré sa tendance à la réserve, Adetokunbo a le silence en horreur. adepte du bruit, des endroits illuminés débordant de vie où les pensées négatives semblent l’épargner. intérêt qui s’est renforcé depuis l’avalanche de drame qui se sont succédés. il ne supporte pas de se retrouver seul avec lui-même où les regrets peuvent l’accabler, où la colère le gangrène et où le dégoût le submerge. adulte perdu dans ses propres décisions à prendre. il rêve d’une nouvelle paix sorcière sans mégalo pour la ruiner tout en espérant que ce monde finisse à feu et à sang. paradoxe dont il ne parle à personne, sachant pertinemment ce qu’on pourrait imaginer. enfant perdu qui ne sait plus quel chemin choisir et dont la haine semble prendre un malin plaisir à s’immiscer dans toutes ses réflexions, même les plus superficielles. toxicité qui l’envahit un peu plus et ce dans l’indifférence générale. golden squad.  trois gryffondor, un serdaigle, amitié tissé dans les couloirs de l’école pour ne jamais se briser. Albus, Mina, Tommy. famille choisie, famille sacrée. quatuor réputé à Poudlard, autant pour les 400 coups que pour les prouesses. complicité qui s’est consolidée avec les années, confiance instaurée au point que les secrets ne demeurent pas longtemps dans l’ombre. ils s’aiment, malgré les affinités plus aisés entre certains, malgré les disputes qui éclosent parfois, malgré tout. alliés de taille qui savent compter les uns sur les autres. personnalités distinctes qui fonctionnent dans une alchimie presque parfaite. trois personnes pour qui Adeto est capable de tout. sans eux, il ne sait ce qu’il ferait, il ne sait pas comment il aurait vécu les derniers évènements. tout semble parfait entre eux, peut-être trop.