so you tore my heart out and I don't mind bleeding (a. weasley)

anecdotes — I. Aussi loin qu’il s’en souvienne, Andrew a toujours aimé voler sur un balai et jouer au quidditch. Que ce soit dans le jardin familial, en compagnie de ses cousins et cousines ou encore sur le terrain de Poudlard, il a toujours vu en ce sport en moyen de se libérer, de se défouler et de profiter pleinement de l’adrénaline. A l’heure actuelle, il pratique encore le quidditch dans un petit club amateur, sans toutes les prises de tête qu’engendre la compétition. Seulement, il espère secrètement un jour devenir un grand joueur connu mondialement, même si cela risque plutôt de se passer dans une autre vie II. Malgré la trentaine qui s’annonce, Andrew a toujours été une personne particulièrement fêtarde, trouvant toujours une occasion pour retrouver ses proches, ses amis ou ses co-équipiers pour célébrer tout et n’importe quoi. Gourmand des bonnes choses de la vie, il n’hésitera pas par moments à pousser le vice à l’extrême et à profiter des joies jusqu’au petit matin. Plus le jeune homme va se sentir taquiné par un contexte inquiet, plus il va chercher à se changer les idées de cette manière-là. III. La famille Weasley a toujours été soudée et unie, dans les bons comme dans les mauvais moments. Depuis toujours, Andrew passe beaucoup de temps avec ses sœurs, ses cousins et ses cousines. Dès le temps des premières responsabilités, le jeune homme s’est même vu devenir babysitter avec sa cousine Theodosia, tous deux étant les aînés de leur fratrie, pendant que leurs parents prenaient leur soirée pour eux.IV. A l’âge de vingt-huit ans, lors d’une discussion de bourrés au Chaudron Baveur, Andrew apprit que son co-équipier de quidditch apprenait l’occlumancie. Un concept plutôt particulier, dont il avait déjà entendu parler par le passé, qui l’intrigua au point de vouloir apprendre à l’être aussi. Ce fut à partir de cette conversation de deux gros saoulards qu’Andrew s’entraina quelques fois par mois à apprendre cette particularité magique peu évidente. Aujourd’hui, à trente-ans, il ne se considère toujours pas comme occlumens, il n’est même pas doué pour défaire et refaire les barrières de son esprit et empêcher une personne d’y entrer. Pourtant, il s’y accroche malgré les difficultés et l’épuisement de la tâche. Car, en ces temps troubles, c’est primordial d’avoir ce contrôle sur soi-même. V. Concernant les situations amoureuses, Andrew a eu tendance à les enchainer durant sa scolarité, tel un serial lover en quête de la relation parfaite, celle qui pouvait tordre les entrailles et le faire sentir sur un petit nuage. Malgré les bons amusements, la relation s’approchant le plus de ce genre de sentiments était avec Zoë, jeune anglaise de deux ans plus jeune que lui, de la maison Serdaigle. Une relation complètement idyllique, mélange de up and down, des montagnes russes partant dans tous les sens, quelque chose de peu stable, de par leur jeune caractère fou et fougueux. Cela aura été la seule fois qu’Andrew aura été retourné dans tous les sens dans une relation. Depuis, il a tendance à se dire que toutes les relations se passent ainsi et n’imaginent pas qu’il puisse imaginer un monde où les relations amoureuses sont stables et épanouies.