ressacs mugissants (ravel)

face claim : cameron monaghan. pseudo : knick.

ravel mulciber
much of your pain is self-chosen.

Keyword

ft cameron monaghan
vocivus
pseudo/prénom : knick knack. âge : pfiou. personnage préféré dans la saga : crockdur. sort préféré : arresto momentum. voudrais-tu être parrainé ? : non fréquence de connexion : tout les jours. comment tu as connu FTGG : j'ai fait une grande pause dans le monde du rpg, je suis passé sur bazzart, j'ai craqué. première impression sur FTGG et/ou suggestion : oskour, ça à l'air trop bien. :quoua:

Dossier n° 2879

nom et prénom(s) : réputation précède les infamies, daron tyran aux méfaits ayant fait grand tour du pays, horreur des gros titres des quotidiens britanniques, réputation dégueulée, chacun se fait son idée, coupable de raison, innocent du moindre mal, mulciber sujet de maintes causeries, fierté en poitrine, frisson en râble, sussures trainassants d’une réputation plus à faire. ravel, digne drôle du pater, traits pour traits d’une gueule qui fût autrefois jeunesse, à l'identique décadence, au destin tout autant casse-gueule, pente descendante se dévale tête en première, terminera peu ou prou bien pire que l’hideur familiale.
âge et date de naissance : vingt-neuf printemps désossés, faciès clame une histoire bien ancienne, traits suintent aux horreurs d’une adolescence anormale, d’un gosse muté homme à la force des choses, au nul temps de vivre quand celui de la survie à tout pris a gagné tous les dessus du premier au dernier jour. nul temps de se bonifier à la lenteur d’une jeunesse profitée, digne des pires vinasses âcres, caveau déjà prêt, déraisons n’ont jamais trompées personne, vieillesse n’étant pas destinée au canevas cramant chandelle par les deux bouts.
origines : acadien à la force des choses, surannée canadienne lignée s’est systématiquement insupportée au métissage, pureté foutrement crasse, nul doute que consanguinité se faisait suintante des générations précédentes, des traces généalogies qu’on a aujourd’hui cramé, pas de doute sur les frasques putrides du passé, descendant souillés aux dingueries, guère grand chose à sauver du désespoir, condamnée à se nicher aux rubriques des pires nouvelles, nécrologique marquera extinction du mal en pis.
état civil et orientation : héritier du fou, problématique prise de chou, quelle sanité voudrait bien se lier au dingo, essai avorté par le passé, jouvencelle n’a su tenir l’aliénation du futur époux qu’on a tant voulu chercher à dissimuler, à vendre comme la perfection d’un bon parti sur lequel on ne tombe pas deux fois. colossale amas de pognon n’en fait rien, ne suffit pas à effacer les salissures cancan qui précèdent, collent au derme comme pourriture indécrottable. les travers ne sont guère bon à marier, juste à fuir. jean-foutre n’a guère temps et envie de s’avouer difficile, tiédeurs éphémères se ponctuent ici et là, marque les fugaces sans s’accrocher aux barbaques.
profession : incapable face à l’autorité, paranoïaque peine à accorder confiance, délires clouent animal bien trop souvent au plumard pour le rendre en capacité d’un emploi plein-temps, cloaque de thunes de la fratrie suffiraient amplement à la glande pour le reste des jours mais loup se mordrait constamment frein à l’ennui. occupation toute trouvée, fin limier du ministère sans véritablement être à sa botte, rameute recherchés, traîtres et autres engeances du monde magique pas systématiquement en un seul morceau, toujours grand bruit, qualités font qu’on ne questionne guère les méthodes, tout au plus interloqué au refus des récompenses, giboyeur de plaisir sans ressentir besoin de réclamer quelconque pécule à la tâche.
nature du sang : pureté crache à l'inférieur, se questionne au comment sociétal à pu s'affaisser à la fange, chacal veille au grain des impuretés, lignée préservée des pourritures, endoctrinement du passé en gravure cabèche, les répétitions sont rentrées au cervelet, pas de place à la souillure, sorcellerie dévoyée pour l’indéniable moins bien, incompréhension niché d’autant de dégoût.
lieu de vie : tottenham marshes, zone marécageuse au castel rongé au lierre et à la moisissure humidifiée des rivières alentours, vieille bicoque craquante à son historique répugnante, d’apparence extérieure populace moldue imagine bastille bonne à visiter pour se faire des pointes au coeur à coup de frayeur, aux potins de certains aventuriers ayant pénétrés les lieux sans jamais en ressortir, ragots participent à la légende alors qu’il ne s’agit là que de propos véraces, hôtes ne supportent que peu pèlerins curieux, d’autant plus concernant la crasse humaine.
baguette : bois d’aubépine, os de jeune harpie, vingt-neuf centimètres virgule sept, relativement inflexible, trace de cassure magique en son axe causée par la confiscation de la dernière par le gouvernement précédent, remise en état et rendue à son propriétaire lors de sa libération d’azkaban.
épouvantard : faiblesse dans toutes ses formes, physique ou mentale, aux esprits pauvres et influençables ne baragouine que son infâme mépris, haine personnelle autant que chez les autres, pauvreté apathique qui mène bien souvent aux déchéances les plus sévères, salope existence aux pardons inexistants des pâmoisons laisser-faire.
miroir de risèd : un frangin fusionnel arraché, encore sous les barreaux de l’infâme en en mer du nord, libération temporaire déniée pour assister aux funérailles, rage absolue de ne pas savoir su dire au revoir encore moins la chance de pouvoir le protéger, retour en arrière, impossibilité fumiste rongeant sang, courtoisie daignerai brisure de la psychée aux échos douloureux, au bien de tous.
particularité : demi-décade passé entre la pierre frigorifique de la tristement célèbre prison pour sorciers à esquinté garçon plus que de raison, rares instants de démences poussées, poignée de jours ou monstre devient bien incapable de quoique ce soit, privé de sa logique à la pesanteur des voix tantôt sussures, tantôt gueulardes infestant crâne, palabres insensées, délirium aussi compacte que complet, famille n’a eu que autre solution que de recourir à la sédation partielle pour calmer les crises bordéliques. récurrence du traitement commence néanmoins à montrer faille ultime, régularité tance à amoindrir effet de la médication de dernier recours et marasme péril ne cesse de grandir de frénésies en frénesies, crise toujours plus rageuse en rapport à la précédente.

paranoïa est devenu fiel du quotidien, les proches les plus chers du jour n’hésitent pas à muter en fielleuses méfiances du lendemain, doute devenu paravent de ses propres psychoses, parano voit en tout les âmes qui l’entourent des surins vengeurs parés à lui causer le plus de mal possible une fois le dos tourné, toqué n’accorde que plus rarement sa confiance, persuadé que la traîtrise et les coups bas règnent tant en maître qui finiront par avoir sa peau.

Informations

groupe crucio, la confédération sorcière par pur intérêt que pour autre chose, les ambitions ne se partagent guère envers une cause encore moins de celle qui laisseront les aliénés de son espèce sur le côté une fois usé jusqu’à la moelle. pater du drôle a passé deal avec nouveau maître briton, libération du fils immédiate de derrière les barreaux contre un soutien pécunier et social de la fédération à peine éclose, bien maigre prix par rapport au poids du support offert. individu fraîchement à l’exterieur de son étouffoir n’a guère vu de différence entre l’avant et l’après mais s’est rallié naturellement au libérateur, gouvernement précédent l’avait enfermé, actuel l’a sorti de cellule, pourrait ou devrait se sentir redevable quand pourtant rien n’y fait, pas garant d’une promesse ou d’une dette a défaut de son aïeul ayant vendu magot et concours à une cause qui lui passe à des kilomètres au dessus de la cervelle.
caractère ou réputation : remembrance jamais zappé des caboches, ingénue rousseur en première page de toutes les gazettes sorcières, digne héritier n’a pas tourné mieux, sans doute bien pire. pages et pages de procès retranscrits, pater avait réclamé un huis clos, magenmagot a daigné pour la préférence d’un procès public, à l’indignation publique bazardée en pâture aux journaleux avides d’ichor. scandale national, prévenu sans regrets, au culot dégueulasserie, premier mineur de l’histoire sorcière envoyé croupir dans au schéol d’azkaban. chacun s’est fait son avis, dans la forme comme sur le fond, chien fou dont majorité le pense encore croupir derrière les barreaux, personne n’a oublié l’hideur horreur. personne.
signification des reliques de la mort pour iel : foutaises bonnes à divertir les drôles en manque de sensations fortes avant l’heure du coucher, racontars de bonnes femmes dans les salons de thé, passion pour le bien plus concret, ésotérique lui refile désaffection la plus complète, amateur de la croyance sur pièce, guère de temps à courir après des fables millénaires. bien entendu les allégations du grindelwald en possession de la soi-disante baguette de sureau, vérités ou balivernes, bien persuadé pourtant que malgré les artifices déployé paraît-il plus puissant sorcier de sa génération, si on cingle chair d’un coup de surin, individu saigne, pas différent des autres.

face claim : cameron monaghan. pseudo : knick.

A tale of three brothers

who became the masters of death

Chronologie

1887. naissance d’une matrone, mecton des terres canadiennes désertées lors de la naissance, territoire aussitôt quitté pour les terres angliches symbole de bien plus de prospérité, patrie n’ayant plus rien à offrir hormis un historique suranné et quelques vulgaires coutumes aux intérêts peu diable. 1892. éducation à l’avantage du pater, mère prête-nom, chouchoutage maternelle dont le récipient ne se sera jamais trouvé en sa maigrelette personne, aux bordéliques brouhaha des porcelaines ancestrales brisées, à la fureur puis au silence, ire tue, compagne sauve-qui peut d’après dires du patriache, mouflet n’en a guère cru une seule palabre, persuadé au plus jeune âge d’être le tyran qui l’a faite à jamais se dissiper de la surface terrestre. 1893. pater condamné au bagne pour des méfaits, larcinateur au professionnalisme incontesté pris main dans le sac, confession toute faite et procès expéditif, famille guère du genre à se planquer sous de faux prétextes, assume ses actes. conséquence suit, parenté indisponible, chiard se voit confier à une tantine éloignée, inconnue au bataillon mais qui de grâce accepte de ne pas le laisser pourrir aux bras d’anonymes triés sur le volet. 1894. germaine de bon coeur se montrera foutre tyrannique, piteuse tenancière de sa bicoque, gripsou jusqu’à son dernier penny, môme récupéré pour la bonne cause se fera boniche à tout les désidératas de la madone infernale, du ménager à la graille, du lever au coucher, existence ne sert qu’à servir sienne sous les ecchymoses des coups de canne, réguliers marquants carne à chaque à la moindre erreur ou au cruel plaisir des lacrymales. carcasse squettée aux années maltraitances volontaristes, jamais un mot pipé, une confession au détour d’un traumatisme au pater tout juste sorti de détention. mutisme pesant amochera un peu plus juvénilité. 1896. admis au sein de la majestueuse école de sorcellerie, scolaire s’avère relativement médiocre avec toute la mauvaise volonté du monde, partisan du pas moindre effort lui coûtant temps et intentions, élève taiseux dont les palabres se font raretés, axe d’un mutisme attire maints ragots causeries sur une personne qui n’en a guère intérêt. partisan de laisser les cancan faire, réputation de tempétueux tranquille fait petit bonhomme de chemin, ponctué par des esclandres foutrement méritées, les noises qu’on vient lui chercher sont singulières et se comptent en doigt d’une main, parlote se daigne à la préférence de se faire en son râble tourné, désintéressé des potins médisances. 1901 (tw). impulsion morbide face à une sotte vantarde, serdaigle fanfaronnant sur ses qualités de pianiste amatrice, esbroufe à l’insolence de se targuer d’être bien meilleure musicienne que comparse au blason cobra, coup de sang de l’adolescent à l’insupportable vantardise de l’autrui qui se contentera de lui trancher les phalanges d’une main maîtresse pour lui enseigner les politesses lui faisant indubitablement manque. étudiant convoqué en conseil de discipline n’éprouvant nuls remords face à la brutalité sauvagerie acta son renvoi définitif de l’académie en cours de sixième année. 1901 (tw). aussitôt suspendu, juvénile sorcier convoqué devant sénat de psychomages réputés qui concluent à sa mise en danger pour autrui et lui-même suivi d’un internement sous contrainte immédiat, captivité éphémère échappant à ses bourreaux, gaillard fuguant une poignée de semaines après son admission un soir de crise, tragique continuité de l’escapade se concluant en barbarie rare d’un charnier meurtre d’une famille de trois moldus, peu de temps rattrapé par les autorités, renvoyé à mangouste en attente d’un procès faisant les choux gras d’un monde magique gagnant une once d’ébullition. 1902. stupeur du monde magique, procès de cinq mois, monstre tant décrit dans les journaux se révèle n’être drôle suintant la juvénilité sur le banc des accusés, dégoût pour l’acte guère les mésententes de sa jeunesse, nul n’ignore l'opprobre déversé dans les quotidiens, les avis tranchés, nuls défenseurs pour soutenir les flancs du prévenu, quand bourgeoisie sorcière n’en pense guère moins, trépas des non-magique n’est qu’un détail. affaire fait grand bruit, à la fois par sa dimension unique, d’autant plus au mulciber qui déclare haut et fort devant les jurés ne regretter aucun de ses actes, plaider coupable et jurer d’autant que si c’était à refaire, mecton ne ferait pas preuve d’hésitation. s’en suit jugement attendu mais lourd, ferme à azkaban, premier mineur de l’histoire du bagne sentencé aux barreaux infernaux, photographie en sappes de détenu marqueront l’histoire des unes gazettes. 1902. (tw) sur le papier dix ans d’incarcération, détenu au visage d’enfant paré à se faire croquer par tous les autres, insomnies chroniques provoquée par simple fait que endormissement est une preuve faiblesse dont autres bagnards n’hésiteront pas à user et abuser. repaire de lie de l’humanité, lascar fait preuve d'impitoyable, surin aux entrailles d’un garde ayant mal causé de sa famille lui vaudra rallonge de peine, réputation d’infâme frappe à l’imprévisibilité, pensera un instant trouver trouble repos en la confiance duo d’un bougre qui traîne sacrée réputation, gardé baissée, infâme aux abus charnels épouvantables, personnel pénitentiaire n’ayant que faire des saloperies commises, injustice d’un violenteur retrouvé pendu à la cellule partagée, suicide en cause, déni de réalité, le mulciber mis à l'isolement dix mois sur douze. 1914. (tw) sortie prématurée, deal crasseux du pater avec grindelwald, soutien inconditionnel contre libération anticipée, arraché à l’océan noirceur, retour à l’hélianthe disparu depuis une quasi décade, taule a muté enfant toqué en monstre ravagé, poignée sont mis au courant du retour mais cancan se fait ouïr à la communauté, bonze discret ne gagne nécessité d’un regain putride en notoriété mais fiel baigne au bide, revanchard décidé à punir une condamnation vécue comme injustice. ravel est mort à seize ans jour de son entrée à azkaban le reste depuis n’est que foutu sursis.

« If I tell you I didn't do it, you'll tell me you have proof, and that's probably true. I'm not going to lie in court, sir. I plead guilty. There's no harm in hurting anyone who was born to do it, and I can see no more evil than that in cutting off the fingers of a girl who was playing a good tune falsely anyway, one mudblood less, it wouldn't do any harm to magical society. Could we make this quick? »

— dernières paroles retranscrites de Ravel Mulciber au terme de son procès.

un le doute n’a pas place dans les mémoires du bonze, ravel est convaincu : n’a rien fait de mal, affaires ne sont que des injustices amplifiées par des hypocrites incapables de passer à l’acte pour mettre en oeuvre véritables idéaux qui se nichent en fond de cabèche. lors des interrogatoires et procès, manque d’empathie lui a souvent été reproché, ni regrets, ni remords, insolence lui a valu toutes les peines du monde, adolescent a été jugé en homme ordinaire nimbé de toute la capabilité des actions siennes. deux frangin comme phare dans l’océan brumeux du bagne, étincelle lumineuse de l’obscurité bouffante au halo des créatures dévoreuses de toutes jouasseries demeurantes, trépas soudain alors que frérot derrière les barreaux implore foutue grâce d’accès aux funérailles, ministère demeurera faire sourde oreille et mulciber sombrera dès lors ce jour dans un peu plus dans une dinguerie sans retour, ulcéré de ne pas avoir pu faire adieux à l’un des rares hélianthes de son existence, bourreau vengeur conserve chaudement une rancoeur contributrice au cardiaque peint de sainte-douleur qui ne se paiera qu’à l’immonde tarot de l’ichor. trois noctambule contraint, rêveries tempétueuses, nuitées ne sont plus aisées depuis un lustre d’antan, terreurs nocturnes à la régularité quasi horlogères, astre nocturne caresse faciès d’insomnies qui ne guériront jamais. nuls thérapies, nuls traitements. cris, sueurs, débâcle d’un caboche ayant lâché prise depuis une paye, horreurs sont devenues si familières que si lascar n’en tient plus rigueur, carence morphée lui attaque un peu plus les miettes restantes de sanité, déraisons maîtresses des lieux, dinguerie s’embourbe un peu plus, fils marionnettistes d’une perdition définitive. quatre monde à l’ébullition fumante, opportunistes de tous bords quêtent miettes d’un pouvoir que chacun s’esquinte à obtenir de mille et une manière, d’un monde qui part à vau-l’eau, le mulciber n’a que guère d'intérêts aux intrigues politicardes, aux saloperies traîtrises et son barda d’immondice. société condamnable et condamnée d’avance, charnier sur lequel monstre se fait déambulateur, y colle un peu plus le miel de ses épouvantes, répugnances au plaisir de les causer sans chercher à y retirer le moindre intérêt, sévices aux maintes saveurs caressé aux charités sans retour. cinq mémoire relativement photographique quand celle-ci pas rongé par la démence, difficulté à retenir en crâne les patronymes quand faciès demeurent à l’ancrage plusieurs décades après avoir ne serais-ce que fréquenté à l’unique une personne. aucune absolution pour les pourtours de ses bourreaux du tribunal ou de prison, mines amarrées au ciboulot, pas bien décidée à y foutre le camp, peut-être en temps en heure quand les bons comptes feront des bons amis et que dettes seront définitivement closes. six examen médical aux cellules psychiatriques de mangouste a été l'occasion d’une démonstration corporelle aux maintes cicatrices un peu partout au canevas de chair, brèches anciennes auto-causées par des sortilèges de coupe à la guérison plus que douteuse. entailles filiformes marquées en creux de gorge, râble, scarifications diverses, balafres en masses qui témoignent d’un historique alambiqué qui ne laisse guère de doute aux échos d’une vie bâtarde. sept vocables qui bruissent au cervelet, tantôt aboyeuses, tantôt discrètes, murmures dégueulasseries qui ne lui laissent guère moment de solitude paix, apprentissage tendax pour ne plus jamais leur répondre en public ou alors dans une rareté admirable, ne pas boire leurs palabres est parcours du combat quotidien, seul à l’impossibilité sûreté, gnôle et narcotiques en quantité apaisent le boucan du là-haut, tant que possible et parfois d’une réussite relative, mal chaos ne se bastonne que par le mal, jamais véritablement vaincu, boxon rôde plus que de raison. huit établissement pénitentiaire n’a été que le nid de traumatismes sur traumatismes, persuadé à son arrivé d’y gagner son plumard de macchabé, sortie inattendue sous les magouilles d’un pater qui ne supportait guère de laisser croupir un rejeton en prison après avoir paumé second au catafalque du trépas. crainte justifiée d’un retour en bastille infernale, frousse aux tripes que tout bonze ayant subi aliénation encagée ferait bien de craindre, angoisse d’un mitard rôdant jamais bien loin, ambition délirium de la déflagrer de ses propres mimines.

Wow

j'viens d'avaler me début. Cette plume. Je suis sans voix

Bienvenue a toi ! Hâte d'en voir plus :diva:

Quel mirifique prénom, j'adore :brille:

Bienvenue

Sois le bienvenu sur le forum ! J'aime ce que je lis ! C'est terriblement bien écrit, ça en jette sur les mirettes :brille:

wow.

je suis époustouflée par ce que je lis
divine plume que tu as
et ce personnage semble tout particulièrement intéressant
pressée d'en lire plus

bienvenue

dayum
oh boi
:wow:

ce personnage et ce début de fiche, je me joins aux babes du dessus et je bave devant ta plume et tes idées
ravel promet, c'est dingue :body:

garde-moi un lien au chaud pls, je suis si hyped :sagan:

si tu souhaites que ravel soit issu d'une famille au sang pur aussi, tu peux en inventer une de toute pièce tant qu'elle est non-britannique. si tu souhaites qu'il soit anglais, tu peux alors choisir d'en rejoindre une dans les listes ici, tu verras la mention pur quand elles le sont. :bises:

sois le bienvenu à la maison, il me tarde de lire la suite du chef d'oeuvre qui se dessine ici. I love you

ce filou à la caboche malmenée :ohm:

cette trogne trop rarement aperçue :yeah:

j'fais courbette pour tes mots :tombe:

qu'il rapporte des bouts de gibier à léo, il recollera les morceaux pour rendre les gueux présentables :mhaw:

bienvenue

CAMERON
my shameless heart

puis cette plume
et ce personnage du tonnerre

bienvenue

ta plume est un délice et ce personnage :diva:

ravel est déjà très alléchant, j'ai hâte d'en découvrir plus I love you

tu lui offres une envergure incroyable !
bienvenue parmi nous I love you

mais cette plume juste diosqfisql :woo:

Bienvenue parmi nous, j'ai hâte de lire la fin I love you

euuuuuh c'est quoi cette plume, qui vous a permis d'écrire aussi bien ??? :diva:

je suis shook, et beaucoup trop fan de comment tu écris j’étais jamais tombée sur quelqu'un comme toi avant c'est si bien :inlove:

bref, bienvenue et tout, limier ça lui va si bien comme métier en plus :yeah:

Je vais faire écho à tous mvdd mais j'ai dévoré tes mots, c'est beau ! :inlove:

Bienvenue sur le forum, ton perso est proche en âge de mon dc Abel, on se trouvera peut-être un petit lien I love you

face claim : cameron monaghan. pseudo : knick.

je décède.
vous êtes des amours complets.

je vous remercie tous, j'vous fait plein de bécots sur vos museaux.
et à très vite avec des liens et en jeu.

bordel,
ce clebs
ça grogne dans les pas de l'auguste
on peut tripoter museau de l'égorgeur?
:regis:

cette gueule de folie
cette plume à faire tomber les bikinis
tu nous crayonnes joli monstre
:justright:

je réclame lien avec ton bébé titan
je t'offre une glace vanille choco
:fab1:

Bienvenue avec ce personnage qui s'annonce plutôt intéressant ! :hinhin:

Ohalalal ces choix de folies et puis le personnage :brille:

bienvenue et cameron quoi cameron :lamur:

damn, merci encore pour cette fiche. ça fait un bout de temps que je n'avais pas pris autant de plaisir à lire une plume et à decouvrir un personnage. ravel est glacant, et son histoire bouleversante. je suis contente que tu en aies dresse un portrait aussi sombre. un grand merci aussi pour les petites modifs apportées à ta fiche, c'est apprécié. elle est parfaite et il ne me reste plus qu'a te valider. j'ai hâte qu'on se croise en rp. :yey:

encore bienvenue parmi nous, je te souhaite de t’éclater à la maison.

te voilà des nôtres

félicitations, tu es validé.e ! des dragées surprises s'abattent sur toi.

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à l'intrigue (voir le lien en page d'accueil), à la loterie rp pour se trouver quelqu'un avec qui rp, et au rite de passage pour rire. il y a aussi la section du marché aux liens pour te trouver des liens, et la section rappeltout pour les parrainages, l’évolution et les points. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à l'intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.

quelle plume :cute:

c'est un délice à lire !
bienvenue :amen:

» ravel mulciber (10/08)