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 fix you (nikomedes)

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AuteurMessage
Nikomedes Slughorn
culte de morgane
Nikomedes Slughorn
crédits : méphistophélès (avatar), tumblr (gif)
face claim : Taylor Zakhar Perez
pseudo : figaro/amandine
fix you (nikomedes) Tumblr_pcehu72LeP1qafbb8o4_400
études : poudlard
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Message (ϟϟ) Sujet: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyDim 12 Juil - 17:01


nikomedes pallas slughorn
If you ever find yourself stuck in the middle of the sea,
I'll sail the world to find you
If you ever find yourself lost in the dark and you can't see,
I'll be the light to guide you


Keyword





Ft taylor zakhar perez
méphistophélès

pseudo/prénom : amandine/figaro âge : 28 ans personnage préféré dans la saga : luna/remus sort préféré : ridiculusvoudrais-tu être parrainé ? : non fréquence de connexion : 6/7 comment tu as connu FTGG : ici première impression sur FTGG et/ou suggestion : perf  :nova:
- important : attention de bien éviter les anachronismes ou visuels étranges avec vos avatars.








Dossier n° 2415

nom et prénom(s) : Nikomedes, la victoire inattendue, grandissant dans des entrailles à la psyché tourmentée. Le seul mâle de la fratrie, celui que le père aurait dû regarder avec attention si les jupes maternelles n’étaient point devenues refuges. L’appropriation de la mère, son héros, celui qui la sauvera, celui qui les sauvera tous. Lui, Pallas, le géant, fils de Gaïa, la mère la terre, source de toute vie, la sienne, celles qu’il défendra. La carte de la vie, la certitude maternelle venant se murmurer à l’oreille enfantine, renforcée la sensation déjà là, sauveur il sera. Les convictions dans les tréfonds de l’être là, l’entrainant parfois vers ce qu’il croit, laissant de côté le chemin de neutralité qu’il aurait dû faire perdurer bien davantage. Slughorn, le non qu’il n’aurait sans doute pas dû porter quand le regard paternel vient se projeter vers lui, la rancune tenace d’un choix qui ne l’a pas vraiment été. D’une allégeance que rien maintenant ne pourra plus échanger. C’est pourtant bien lui qui fera perdurer le nom dans les générations à venir. Et pourtant, il restera toujours le fils de sa mère, père se retirant de lui-même d’une équation qui ne peut se résoudre sans sa présence. Slughorn, il reste pourtant dans la fierté certaine du nom qui est sien, de l’héritage même s’il est compliqué, même si le nom maternel aurait été plus aisé à faire perdurer. Slughorn, le goût des non-dits, des secrets gardés dans le foyer bancal pour que l’image lisse continue d’exister. Cacher les faiblesses, les secrets inavouables. Parce que le monde extérieur ne cherchera point les secrets si la façade de la maison est jolie à regarder et elle l’est toujours même quand les cris résonnent, même quand tout part de travers. Nikomedes Pallas Slughorn, l’identité sienne et pourtant rarement prononcée en entier.

âge et date de naissance : L’opposition des naissances pourtant commune par leur caractère inattendu, non voulu finalement. Demetria, fille de l’hiver, première née, onze années avant ce fameux 27 juin 1886. L’été débutant à peine, l’été et toutes ses couleurs flamboyantes, opposé au possible à l’hiver et sa nature morte. Le signe dans l’esprit maternel particulier. Les cris venant pourtant, envahissant le silence autrefois si plaisant, tu pleurais trop qu’elle lui répétera encore aujourd’hui. Justifiant par la sorte ce lien plus compliqué à créer. Mais le silence n’a jamais été le fort des naissances multiples, de cette autre personne avec qui sa vie a commencé. Gémellité entrainant l’impossibilité de se satisfaire dans la solitude, le besoin d’une âme à ses côtés, la nécessité même, pour ne pas dépérir. Les années s’écoulent, passent trop vite finalement, voilà déjà les vingt-huit ans, pas encore totalement adulte, plus vraiment jeune non plus, bientôt le trois viendra remplacer le deux, entrainera son lot de changement, d’attentes à son égard. Mais la jeunesse coule encore dans ses veines, lui rappelle que même père il n’est point vieux, que la vie l’attend encore, longue et pleine de rebondissements. Profiter du temps, toujours.  

origines et degré de la branche familiale (mineure ou majeure) : Un peu de Grande Bretagne qui se retrouve emportée ailleurs, vers ces terres d’Amérique latine, le Pérou exactement. Les origines maternelles dont elle lui parle si souvent, la terre des ancêtres, un monde différent, une langue dans laquelle il s’exprime clairement, parlait si souvent avec elle. Le mélange dont il est issu, celui qui n’aurait jamais dû voir le jour, seulement une aventure de passage, un amusement nécessaire avant de se caser définitivement mais le vendre s’est arrondi et l’amour volage est devenu autre, là, amenant Demetria, les entrainant eux aussi, les jumeaux des années plus tard, Lyssa et Nikomedes. Eux, ils ne sont que la seconde branche et cela convient, prôner la neutralité pour continuer de faire grandir le nom, pour cacher les secrets qui jamais ne quittent la demeure. Le foyer bien trop souvent bancal, le comportement inadéquat d’une mère, le maintient des apparences avant tout le reste. Seul enfant mâle de la fratrie, celui qui devra faire perdurer le nom, la bague ornant déjà le doigt, le premier enfant de quatre déjà, la petite fille, Kallisto. Et les autres enfants quand viendront-ils ? La suite qui devrait s’écrire, au moins un mâle mais non rien ne vient et le sorcier ne le sait que trop bien. La potion versée pour que le ventre reste vide, pour que les complications premières ne reviennent pas. Et pourtant dans le fond de l’esprit la pensée reste, un garçon devra arriver un jour ou l’autre. Quand la psyché le permettra.

état civil et orientation : Les courbes féminines, toujours, l’hétérosexualité qui jamais n’a été remise en question. Les femmes, toujours, la malédiction certaine, l’attrait se portant vers celles qui ne feront que complexifier son existence. Toujours le même schéma, le même modèle, l’attirance certaines pour celles qu’il faut sauver, oh non, pas les jouvencelles en détresse, celles qui ne demandent pas toujours à l’aide, celles qui s’enferment dans la psyché destructrice. Celles qui rappellent la mère jamais oubliée. Attirance pour les êtres en train de se briser, ceux qu’il faut aider à reconstruire, sauver dans la pensée elle-même compliquée, déformant parfois la réalité. L’attrait pour ce qui pour d’autres prendrait le nom d’anormalité mais jamais dans la bouche du Slughorn.

La bague orne le doigt, jamais cachée, jamais enlevée, la fierté, l’attente si longue, les mois, les années, elle depuis tant de temps, avant même de connaitre l’arrangement des pères pour marier les deux bambins. Elle le premier baiser, elle et tout ce qu’elle représente, elle malgré les difficultés. Le long fleuve n’est point tranquille, les hauts et les bas, la protéger de tout surtout d’elle-même, de ce comportement qui pourrait trop facilement attirer l’attention. Qui pourrait l’emmener loin de lui, refus dans sa totalité. L’amour est là mais parfois les êtres s’aiment mal, dans des directions opposées, dans les tensions, dans le bancal, dans ce qui ne peut rester en équilibre. Supporter les pires moments pour se réjouir des meilleurs, pour les chérir. Tenter de trouver la solution aux maux, la quête du Saint Graal, les erreurs en chemin, la perdition, tout ce qui se retrouve conduit par le seul désir de l’aimer encore et à jamais. Eux qui n’auraient dû être deux noms sur un bout de papier, eux devenus bien davantage, trop certainement par moment. Mensonges, secrets et amour ne font jamais bon ménage dans le temps mais l’impossible changement. L’amour avant tout, surtout dans les imperfections.

profession : Psychomage à Sainte Mangouste, réparer les esprits, tenter en tout cas d’en sauver le maximum, de ne point laisser l’intérieur devenir une prison. Sauver avant tout, trop sans doute pour son propre bien. La vocation ombrageuse, les motivations perverties, l’image de cette mère incapable de le sauver, lui n’étant qu’à Poudlard. Lui étant bien trop loin d’elle. La culpabilité du survivant, de celui qui n’a pas totalement aidé. Plus jamais juré, promesse qui vient se perdurer sur la sœur aux humeurs parfois compliquées et sur celle qui est aimé, trop, mal sans nul doute. La sauver d’elle-même, détruire les maux, mauvaise approche, certainement, les cordonniers sont les plus mal chaussés, il en va de même pour le psychomage, incapable de concentrer assez les pensées pour apporter la meilleure aide qui soit à l’aimée. Complexité de l’amour, poussant aux extrêmes à la folie. Besoin de sauver, trop surement pour ne point laisser poindre la réalité familiale, la normalité si éloignée du foyer bancale dont il devient le digne héritier.

nature du sang : Le carmin est pur mais il coule aussi rouge que n’importe quel autre, non perdurer cette pureté n’a nullement compté dans l’union, est bien la dernière chose à laquelle il ait pensé… Même si le père a répété l’importance de garder cette pureté, de la préserver, même si cela permet d’élever le nom des siens.  L’avis gardé pour soi, la neutralité d’apparence à préserver, ne pas crier sur tous les toits les pensées qui ne font finalement que se développer davantage avec les années.

lieu de vie :Bilbury, loin de tout, loin de tout ce qui pourrait faire du mal à l’aimée. Elle, le calme et le silence de la campagne, désert, personne pour observer le comportement étrange parfois, les cris qui résonnent. Personne pour lui enlever celle qu’il ne cessera jamais d’aimer. L’appartement existe également à Londres, un pied-à-terre dans lequel il ne passe que si peu de temps. Sainte Mangouste, comme une seconde maison quand la première ne prend pas tout son temps.

baguette : Confectionnée en bois d’aubépine, le cœur est composé d’un poil de fourrure de demiguise. Mesurant trente-deux centimètres, elle est relativement souple et prédisposée pour les sorts de guérison. Difficile à maitriser, Nikomedes en a fait une alliée sauf que la sensation de non maitrise totale vient s’imbriquer dans son être et se répercuter sur son bout de bois.

épouvantard : Le manque, la perte, la solitude, sa Griselda criant, là, entrainée par deux hommes, loin d’elle, enfermée dans une pièce dont elle ne sortira plus, trop dangereuse pour ce monde, trop risqué de la laisser retrouver le monde des sorciers. L’impossible coupure, la destruction assurée finalement. Il ne survivrait pas sans elle, en aucun cas, ne pourrait se permettre de perdre un autre être, de ne pas réussir à la sauver. Depuis la naissance de leur fille, l’épouvantard a changé, s’est modifié. Elle est là, emmenée à son tour, depuis l’ascension de Grindelwald, dans le cauchemar sa peau se parme également d’un symbole, l’impossible protection, la faille, il n’a pas réussi…

miroir de risèd : La simplicité de l’instant, le désir le plus important, Griselda loin de ses démons, ils n’existent plus, il a réussi à la sauver, à trouver le remède détruisant les complications de la pyschée. Le rêve impossible. Ils ne sont pas seuls non, Kallisto est là également, dans les bras de sa mère, d’une manière que Zelda n’a encore jamais réussi à faire. Elle n’est pas leur seul enfant, ils sont nombreux, les entourant, une belle et grande famille avec la femme de sa vie. Rien de plus pour satisfaire l’homme finalement.

particularité :La légilimencie (niveau trois) est élevé au rang d’art chez les Slughorn et aucune animosité, aussi forte soit-elle, n’aurait empêché le patriarche d’enseigner son savoir à son unique fils. Et rien n’aurait empêcher le jeune homme de rater cette chance unique. Cette manière particulière d’apprendre, intransigeante, loin de tout ce qui aurait pu être enseigné autre part. La patte des siens, la dureté nécessaire pour formater l’esprit, pour lui permettre d’aller déceler dans d’autres. Le jeune homme s’en est toujours voulu de ne pas avoir pu commencer plus tôt, assez tôt pour pouvoir aider sa mère, pour dans son esprit aller chercher les erreurs, les contrer, lui permettre de la sauver, l’idée qui hante, quelque part. C’est à pied joint que l’homme a sauté dans cet art du haut de ses 16 ans, s’y consacrant avec assiduité, autant que possible, toujours poussé par la volonté d’apprendre, de réussir, de percer l’esprit si mystérieux, de trouver la clé cachée. Ce besoin qui l’a conduit vers sa profession actuelle. Rien n’est aisé dans l’acte, chaque niveau amenant davantage de concentration, davantage de maitrise et finalement davantage de besoin de savoir, toujours, bien trop. Une drogue étrange, l’unique moyen de s’assurer de la vérité, de la bonne vision des choses, une manie qui n’est nullement bonne. Nikomedes sonde, trop souvent, l’esprit d’autrui sans vraiment leur demander leur autorisation, pour leur bien qu’il ne cesse de répéter, pour que tout se passe pour le mieux, pour que tout le monde soit heureux. Si les intentions sont louables, l’acte n’est l’est pas autant. Cependant, ce besoin de connaissances vient surtout dans sa vie privée. Dans son travail de psychomage, l’être tente, au possible, de respecter les limites imposées, de ne pas s’imposer d’une mauvaise manière mais la tentation est toujours là. Elle n’a fait de cesse de grandir au fil du temps, lui naviguant sur la mer déchainées des pensées, tentant de se frayer un chemin, cassant de temps en temps un mur pour tendre vers l’essence de l’être, l’inaccessible, l’effort ultime, le joyaux précieux.  

L’occlumencie est venu par après, à la majorité, bien moins enthousiasmée par la possibilité de fermer son esprit. Le jeune homme n’en voyait que peu l’utilité jusqu’à ce que Zelda arrive dans sa vie, jusqu’à ce que la bague ne soit à son doigt, jusqu’à ce qu’il ne comprenne la valeur des secrets, celle qui échappait jusque-là c’est à son parrain Horace que l’être demanda de le perfectionner, ce besoin se fit davantage ressentir après la naissance de Kalisto, le secret de sa condition de métamorphomage à préserver coûte que coûte. L’entrainement encore plus assidu. Nécessaire, les heures, les complications, le tout se créant, le besoin d’y arriver. Cela fait seulement quelques mois que Nikomedes peut être considéré comme stade deux, il vacille encore parfois, rien n’est encore parfait mais il continuera encore et toujours, ce besoin nécessaire pour protéger la somme des secrets qui continue d’augmenter chaque jour.



Informations

groupe L U M O S - Chez les Slughorn, encore davantage dans la branche de Nikomedes, il est de coutume de ne pas se mêler des affaires, de laisser le monde se déchirer s’il le désire et de rester dans cette neutralité qui laisse une certaine aisance, qui entraine une grande liberté. Qui permet la survie, qui laisse les affaires privées où elles doivent se trouver, qui permettent de ne pas égratigner l’image familiale. Un discours, une manière de faire que le jeune homme a suivi dans sa propre maison, dans sa propre demeure pendant quelques temps avant que tout ne change, avant que Kallisto ne dévoile son côté métamorphomage, que la protection ne devienne et que des idées parviennent, si silencieuses au départ et de moins en moins. Les enfants de Morgane rejoint depuis quelques temps seulement, nouvellement membre. Pour que la paix soit, pour que sa fille puisse grandir dans un monde qui ne la juge pas, pour que son aimée puisse comprendre finalement qu’il n’y a rien de mal dans sa condition, que cette capacité ne fait que la rendre plus intéressante, unique, qu’il l’aime comme ça tout simplement. Nikomedes ne se retrouve nullement toutefois dans cette faction qui a décidé d’empoisonner tous les sorciers, parce qu’il était là, parce qu’il a vu les enfants, les femmes, tout ceux qui n’avaient rien demandés, tout ceux qui ne le méritaient pas et il ne le comprend pas, pas totalement. Ce pourquoi qui reste toujours sur ses lèvres, qui ne s’en va nullement. L’homme reste de ceux qui veulent la paix, un monde meilleur et nullement davantage de violence et de complications dans son existence.
caractère ou réputation :Il y a la réputation qui poursuit, celui de gentil, d’homme prompt à aider, en toute circonstance. De celui qui toujours aura un sourire à vous accorder. Du trop gentil aussi, de celui qui ne sait pas s’en empêcher. Du preux chevalier qui vient toujours à la rescousse des gens en détresse. Il y a cette réputation, si belle, si brillante comme une armure mais elle n’est que faussée, que l’image cachant la vérité tout autre finalement. L’incapacité de renoncer, de ne pas aider, le besoin profond, l’idée malsaine finalement, ce n’est pas par plaisir, par altruisme, pour toutes les belles raisons que les autres pourraient imaginés, c’est pour faire grandir le propre égo, c’est pour pousser encore davantage les sombres dessins, le besoin si présent, si important de plaire, de remporter le combat, d’être le héros, cette fois-ci. Le complexe du sauveur, qui pousse à vouloir au possible se trouver dans cette position, s’entourer de personnes qui l’aideront à satisfaire cette pulsion incontrôlée.

Nikomedes c’est la famille, l’amour qui déborde, qui ne cesse jamais, le rire aussi mais c’est parfois le trop plein, l’incapacité de voir certaines limites, de ne pas les dépasser en pensant bien faire. C’est le matraquage familial, le besoin de maintenir le voile, de cacher ce qui doit l’être, c’est ce qu’il impose à l’épousée qu’il aime pourtant plus que tout.

Nikomedes ce sont les erreurs qui viennent parsemées la route, les regrets, tout ce qu’il garde enfuit, tout ce dont il ne parle plus, bien plus prompt à aider autrui qu’à parler de soi, de ses idées, de ses ressentis, qu’à tout exprimer, jusqu’à craquer, jusqu’à tout déverser comme il ne le faut pas, quand il ne le faut pas.

Nikomedes c’est le protecteur, de ceux qui comptent, de ceux qu’il apprécie, ceux pour qui il cacherait un corps, pour qui il serait prêt à tout, ceux qui vivent à ces côtés, qu’il côtoie dans le quotidien. C’est toujours l’amour, parfois dans sa forme un peu moins belle finalement. C’est le sourire qu’il vient redonner, c’est la joie, c’est l’envie toujours, le premier pas, c’est un tout, une étoile qui un jour s’éteindra à force d’avoir trop brillé, de s’être trop montré. C’est aussi cette jalousie certaine, envers la seule qu’il aimera toujours, quand elle disparait, quand il les imagine ces autres, quand tout prend forme. C’est parfois l’envie de baisser les bras qui survient, qui emporte tout avant de le ramener vers la surface, vers les pensées plus rationnelles.

C’est bon dans l’ensemble mais c’est bien loin d’être parfait.

signification des reliques de la mort pour iel : Un conte pour enfants qu’il aime raconter à sa fille, non les reliques n’ont pas vraiment d’attrait pour l’être, il ne cherche en aucun cas le pouvoir, pas sous cette forme non, il veut protéger les siens coûte que coûte, le reste n’importe pas, importe peu finalement. Le tout ne restera qu’un conte.





Dernière édition par Nikomedes Slughorn le Lun 3 Aoû - 18:54, édité 12 fois
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyDim 12 Juil - 17:02

A tale of three brothers

who became the masters of death

Chronologie
26 juin 1886. Deux pour le prix d’un, Lyssa et Nikomedes, la naissance multiple, l’arrivée groupée, le piège se refermant encore davantage sur le patriarche. 1891. Maman l’a vu dans ses cartes, il sera un héros, son héros, il la sauvera du mal, de tout, elle le lui fait promettre d’être là, toujours, de devenir le preux chevalier des histoires racontées. 1892. Les familles amies, il est normal de se voir non ? De se rencontrer, là, eux, elle, Griselda Nott, là, devant lui, elle qui n’est encore rien seulement une petite fille se cachant bien trop, ne voulant point se montrer, trop en montrer. La main tendue, le regard, le tout se créant sans imaginer le reste. Sans savoir que les parents ont décidé, que leurs destins depuis leur naissance sont liés. Mariage arrangé bien loin de leurs pensées enfantines. 1897. L’entrée à Poudlard, la soif d’apprendre, de comprendre, de savoir comment aider, comment la sauver. Serdaigle, bleu et bronze, ses nouvelles couleurs, celles que l’âme sœur prendra également, réveillant en lui ce sourire, venant se glisser à ses côtés à sa table, la main venant contre la sienne, la rassurant sur ce nouveau parcours qu’ils feront ensemble. Un regard laissant tout entendre finalement : je serais toujours là pour te cacher si besoin, je serais les bras qui te soutiendront, je serais l’ami dont tu as besoin, je serais là tout simplement. 1902. L’annonce des fiançailles qui surprend, qui réjouit pourtant, elle, seulement elle, toujours elle et finalement elle pour le restant de ses jours. Le sourire, la bonne humeur, la sensation, le tout, c’est plaisant, c’est rassurant, c’est simple, c’est tout ce qu’il voulait mais pas elle. Et elle le montre, l’exprime ce non, les mots qui viennent, qui blessent, qui détruisent, les accusations et ce tout venant, ce non, il est là, il s’enfonce dans le cœur, vient le briser. Non, elle ne veut pas de lui, non, pas comme ça, non même s’il connait le gout de ses lèvres par cœur. Non même quand au détour d’un couloir il la glissait dans ses bras laissant le murmure d’un je t’aime se perdre. Non incompris mais il n’oblige pas, s’y refuse. Si elle ne veut pas de lui, il ne peut rien faire n’est-ce pas ? Il promet d’être là, toujours, incapable d’être autrement, pas avec elle. Et elle hurle qu’elle le tuera s’il l’approche encore. Tout meurt à l’intérieur, se perd dans ce qu’il n’accepte pas, une vie sans elle…  Et s’ils sont toujours fiancés à la fin de cette entrevue, le jeune sorcier sait que la bague au doigt de l’aimée ne deviendra plus réalité. 1903. La lettre qui parvient, la réalité, tout ce qu’il ne voulait pas entendre, tout ce qu’il ne pouvait pas supporter ! Tout ce qui vient s’ancrer dans son être ! Non, il se devait de la sauver, de l’aider coûte que coûte, de tout faire mais non. Elle n’est plus, est partie et lui, il n’a pas su aider, pas su contrer, à laisser sa mère terminer ses jours, sa vie trop rapidement. Le héros a failli à sa mission… 1904. Début de la formation en apprenti psychomage à Sainte Mangouste, l’envie si grande, le besoin d’aider son prochain, de pouvoir rien qu’une fois être le héros de l’histoire. De pouvoir aider d’autres à défaut d’avoir pu sauver la mère tant appréciée. L’année des contacts retrouvés avec Demetria, la mort rapproche les êtres qui son restés derrière. 1909. Le plus beau jour de sa vie, celui qu’il n’attendait plus, qu’il n’imaginait plus, elle devient sienne, il devient sien, la promesse, l’amour qui renait comme au premier jour. Il se lit dans le regard de l’homme. Griselda Slughorn, plus personne ne pourra l’ignorer, plus personne ne pourra la lui enlever, il se le promet, de la protéger, de tout, même d’elle-même, de la faire reine de son royaume, de tout lui offrir, d’être celui qu’il faut, celui dont elle a besoin. Et de l’aimer, toujours, de ne jamais laisser cet amour se flétrir. Non, en aucun cas, pas maintenant qu’elle a accepté l’union, que tout reprend le court normal, dans son esprit à lui. Car au fond, elle est la seule qu’il a su réellement aimé, la seule qui a réussi à s’infiltrer dans son cœur, depuis trop longtemps pour qu’une autre fleur puisse y fleurir. 1910. Elle s’appelle Kallisto, il la tient dans ses bras, là, il la regarde si souvent, il a peur de la blesser, elle a l’air si fragile, si jolie, sa fille, leur fille. Le premier joyau de leur couronne, il en imagine encore tellement, d’enfants, là, dans leur vie. Mais il le voit, le remarque, Zelda ne va pas bien, Zelda ne veut pas l’approcher, Zelda ne se lève pas la nuit, Zelda ne supporte pas les pleurs. Zelda s’éloigne de Kallisto et lui ? Il reste dans l’entre deux, devient l’unique parent et tente de tout sauver : sa fille et son épouse, de ne pas laisser l’une des deux sombrés… Mais parfois, lorsque la fatigue vient submerger, les pensées divaguent pour l’aimer, l’incompréhension de la situation, de l’amas de fatigue, de ce refus de cet être pourtant là, du rêve devant cauchemar… Et le cercle vicieux se renforce…  1912. Sauver Zelda, à tout prix, pour que les autres ne la découvrent pas, pour qu’on ne lui enlève pas son aimée. Les intentions sont nobles, les méthodes le sont moins, la potion calmante qu’il verse parfois, pour qu’elle aille mieux, les mélanges, les tests, tout ce qu’il ne devrait pas faire pour que jamais elle ne se retrouve en quatre murs enfermés. Mais ce n’est pas ce qu’il fait ? Là ? Dans leur belle propriété quand il refuse qu’elle aille en ville, quand il tente de lui montrer les bienfaits de la campagne, de la nature, de contrôler ses déplacements, de tout surveiller, pour ne pas qu’elle se blesse, pour ne pas qu’elle détruise, pour la sauver, toujours, trop finalement. Le pas de plus, celui qui ne devrait pas, cette potion de contraception demandée à la sœur. Parce que le rêve est devenu cauchemar, parce qu’il meure chaque jour un peu plus de la distance existant entre mère et fille. Parce qu’il sait que son aimée ne se remettrait pas d’une nouvelle grossesse, d’un nouvel enfant. Alors l’être renonce au rêve d’une grande famille pour conserver celle qu’il a déjà, coûte que coûte.   1914. Les changements ne sont jamais bons, renforcent trop souvent ce qui devrait rester dans le lointain et elle, sa fille, son don devenant malédiction pour d’autres, méthamorphomage non recensée, non, personne ne doit savoir, il refuse qu’on l’emmène loin d’eux, qu’on la regarde de travers. Un monde où tout le monde pourrait vivre, en paix, une idée, un murmure, la neutralité délaissée pour sauver la prunelle de ses yeux, sa fille, pour lui offrir un monde qui ne la rejettera pas. Parce que le monde part de travers et il ne peut le laisser devenir de la sorte, pas pour les gens qu’il aime.  



I. lyssa Le double, la seconde partie de lui-même, jamais seul, toujours entouré de son autre, de son ombre. Qui est lumière ? Qui est l’ombre ? Impossible de savoir finalement. Les langages secrets, leur langue, leur manière d’être ensemble, de se comprendre sans avoir besoin d’un seul mot. La difficulté que provoque l’ensemble et pourtant, ils ont tous les deux leurs vie, leur propre famille et ce besoin de se voir souvent même si les années ont éloignés les idéaux, les pensées, même si tout n’est pas toujours évident. Lyssa a conduit l’être à ne savoir apprécier la solitude, à l’exécrer plus que tout. Etre toujours entouré, un besoin, une totale nécessité et tout cela vient de ce lien exitant depuis le début des temps, de son temps, de son premier cri. Une sensation qu’il aurait tant aimé que Kallisto connaisse tant elle est unique et particulière. Et pourtant parfois, même le jumeau ne peut s’empecher de sonder l’esprit de sa jumelle. II. demetria les années, trop nombreuses sans doute pour que le lien soit aussi fort qu’espérer, que désirer. Non, les choses ne sont pas déroulées totalement comme prévues. Non, les choses ne sont pas aussi évidentes que le petit enfant désirait. Demetria lui a appris la patience, l’acception du refus, tenter en tout cas de le comprendre. Même quand il est difficile, même quand il prend cette forme étrange. Parce qu’il l’aimait et qui’l l’aime toujours, plus qu’elle, il le sait bien mais a appris à l’accepter que tout ne serait jamais équivalent. Nikomedes voit les efforts de sa sœur depuis le décès de leur mère, cette acceptation grandissant avec les années et l’importance prise finalement. Un lien où les sentiments n’ont jamais guères leur place et où les non-dits sont légions mais un lien quand même. III. zelda il serait impossible pour l’homme de résumé tout ce qu’elle lui a appris. L’amour dans sa forme la plus pure, la pire également, les hauts et les bas, les premiers émois et les derniers. Il ne voit qu’elle, toujours elle pour le restant de ses jours, pour le restant de son existence, eux deux, vieux et toujours aussi amoureux. Il n’a jamais osé parler de tout ce qu’il a fait, entamé pour elle, de tout ce qu’il a choisi, l’épouser, la fois où il a pu choisir, où il a su. Pas comme la première ayant tout gâché. Aimer ne veut pas dire bien aimer et parfois, c’est mal qu’ils avancent. Par les mauvaises humeurs de son aimé, par son incapacité parfois à tout accepter, à ne pas craquer, rien qu’un peu, s’énerver ou pire, tenter de tout contrôler, de la contrôler pour sa propre sécurité. Mais il l’enferme, l’éloigne du monde, se perd dans des travers ayant toujours pour étendard l’amour, il est là, toujours là, il ne s’éloigne jamais. Le bras pour l’aider à se relever, l’épaule sur laquelle elle peut pleurer, le corps qui acceptera le coup partant trop rapidement. Tout accepter tout en voulant en même temps aider, modifier, pour son propre bien, pour chasser ses démons, totalement, pour la sauver, pour réussir ce qu’il n’a jamais su faire avec sa propre mère. Un besoin devenu obsession et c’est impossible de l’éloigner totalement. Zelda lui a appris à être la meilleure comme la pire version de lui-même. A toucher du doigts les limites de son être dans ses tréfonds les plus lumineux et les plus noirs. Et l’être le sait, sans elle, il ne pourrait pas survivre. IV. kallisto et c’est ça d’être père. Un regard et tout change et le monde se retrouve bouleversé et l’amour qu’on pensait unique se multiple en deux pour deux êtres appréciés de la même manière. Et pourtant cet océan de choix involontaires. Cette sensation parfois d’être si seul face à tout ce qui arrive d’être à la fois le père et la mère. Le manque de lien entre la mère et la fille et toutes les inquiétudes que cela créé. Kallisto lui a appris l’amour unique qui lie un père à sa fille, les inquiétudes qui n’auraient jamais exister autrement, le besoin de se battre pas seulement pour soi mais pour l’avenir de son enfant. Et chaque fois qu’il sourit, il en oublie tout, tout ce qui pourrait compliquer son existence, tout ce qui ne va pas. La fille de son père, sa protégée, coûte que coûte et tout ce qu’il tente de créer, pour que lien augmente de l’autre côté, pour que Zelda prenne conscience de la merveille qui grandit, qui bientôt comprendra que tout n’est pas totalement reçu, les manquements et il ne veut pas de cela, seulement du bonheur, espéré, tenté mais tout ne vient pas, aussi facilement, aussi simplement. Mais jusqu’alors et même après, il continuera de tout faire pour contribuer au rire si précieux. V. Eux et elles des inconnus, des noms oubliés sauf un, celui de cette Ginny, eux, ils ne sont rien et tellement à la fois, des cailloux dans le pied, des épines dans les doigts, des désagréments contre lesquels il ne peut rien faire. Attendre et laisser passer la tourmente, l’idée qui vient s’implanter dans l’esprit de l’épousée. Combien de fois n’a-t-elle pas fait ses valises ? Combien de fois n’a-t-elle pas annoncé le nom d’un autre, d’une autre avec qui elle partait vivre une autre vie loin de tout ? Combien de fois son cœur ne s’est-il pas brisé en silence. Combien ? Trop sans doute, la jalousie, il la connait grâce à eux, il aurait aimé ne jamais l’apprendre. Et pourtant il sait, croit toujours en leur amour, plus que tout mais parfois tout prend l’eau, parfois le doute survient, parfois il est compliqué de ne pas perdre pied. Mais toujours d’un baiser, d’un regard, d’un câlin, Zelda arrive à le rassurer même s’il y aura toujours cette méfiance. Il pourrait tuer pour sa femme, il pourrait encore davantage détruire pour la garder à ses côtés. VI. elle il aimerait oublier l’erreur, la faute commise, celle qui n’aurait pas dû arriver, celle qui aurait dû ne jamais voir le jour, lui qui aime pourtant son aimée mais la fois de trop, la sensation de tout perdre, de se perdre et l’impossibilité de garder la tête hors de l’eau. Elle l’amie, toujours là, pour lui, pour Kallisto, pour le soutenir dans les épreuves et ce jour, cette nuit, l’alcool bien trop et ce besoin rien qu’une fois d’être aimé, sans contrepartie, sans ressentiment, sans haine, sans tout ce qui peut naitre quand il ne le désire nullement, seulement lui et l’erreur commise, une nuit, un regret immédiat. On n’en parle pas, on l’oublie, il n’existe pas cet instant, cette erreur, celle qui pourrait tant lui prendre, celle qui n’a apporté que si peu, un sentiment bien trop passager de bonheur, seulement quelques secondes avant d’emporter bien plus, bien trop. Non, il n’aurait pas dû céder en aucun cas, oui tout est de sa faute, Nikomedes n’est pas parfait, il l’est bien moins que ce que les autres imaginent. Elle lui a appris la boule dans le vente, le mensonge qui détruit à petit feu. VII. Horace le parrain, la faible différence d’âge finalement, le lien qui se créé facilement et l’homme devenant un tout. Horace a appris le dépassement de soi, à se laisser entrainer dans d’autres directions, à accepter l’apprentissage de l’art des duels si opposé à sa personnalité. Horace a contribué à faire de lui l’occlumens qu’il est aujourd’hui, nécessaire pour la survie de sa famille. Mais la plus grande leçon qui lui apportera l’être et celle qu’il ne connait pas encore, celle dont il n’a aucune idée. Une faute, pas vraiment et en même temps, si tout ce qu’il lui a pris, tout ce qu’il ignore de tout ce que l’être pourra lui apporter, cette leçon sera sans doute la plus cruelle, la plus difficile et délicate.  VIII elles. elles n’ont été que des ombres, un passage, la zone d’ombre, l’après fiançailles ratées, le besoin de se changer les idées. Elles n’ont pas été importantes, n’ont pas réussi à atteindre totalement son être, cette partie de lui, ce cœur qu’il maintenait encore pour elle, qui restait à elle, encore et toujours. A elles, il demande pardon, de ne jamais vraiment avoir été disponible, de les avoir malmenées, de ne pas avoir su être le petit ami idéal, l’homme qu’elles attendaient. De ne pas avoir su les aimer à leur juste valeur. Elles n’ont rien fait pour, elles n’étaient seulement pas assez, elles n’étaient pas elle. Et cela, à tout changé.  IX les patients. ils sont de passage ou de longue durée, ils sont ceux qui lui permettent chaque jour de s’en sortir, de toucher du bout des doigts la promesse maternelle, celle qu’il a manqué, celle qu’il tente de rattrapé maintenant. Ils sont ceux qu’il tentera d’aider coûte que coûte, parfois trop, poussé par ce besoin qui n’est nullement bon, nullement sain, ce complexe du sauveur dans lequel il s’enferme depuis des années, créé par l’esprit maternel, renforcé par le manque du père, par la parentification enfantine, parce que sa mère ne savait pas toujours. Par ce besoin de rester entouré d’être à aider, par le bonheur provoqué par l’entraide, par tout ce qui prend une forme presque malsaine. Alors oui, il devrait s’en rendre compte ? Non ? Mais c’est ancré en lui, dans le plus profond de son être, c’est vicieux, invisible, c’est ce qui le détruira certainement à jour, c’est ce qui lui permet d’avancer pourtant maintenant. X. les petits à côté note dans un carnet fermé à clé toutes les informations sur son entourage, tout ce qu’il ne devrait pas savoir, tout ce qu’il a appris sans leur laisser le choix, ce carnet ne peut s’ouvrir que grâce à une formule qu’il est le seul à connaitre. – Ne fais pas totalement confiance aux plumes à papote - apprécie d’écouter de la musique – lit pas mal – ne peut pas passer une journée sans avoir au moins vu sa femme et sa fille – ne pourrait vivre sans son métier – a tendance à être secrets envers les inconnus mais ouvert à la rencontre pour autant – bon vivant – apprécie de cuisiner – fait souvent trop plaisir aux autres – ne peut s’empêcher d’aider les autres -


Dernière édition par Nikomedes Slughorn le Lun 3 Aoû - 21:08, édité 7 fois
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particularité : Louve (avril 1914). Morsure récente, pulsions décadentes, difficile d'apprivoiser la bête qui gronde en elle.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyDim 12 Juil - 18:32

Encore un Slughorn omg ! :brille: Trop hâte de lire vos aventures ! Et ce choix d'avataaaaaar, omg Denverrrrr (tu m'as mis son MAUDIT rire dans la tête ! :mdr: )
Rebienvenue :inlove:
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études : autrefois élève sous les couleurs des lions d'or.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyDim 12 Juil - 19:05

CET AVATAR :diva: :diva:
je décède :keur:
trop de perfection, tu nous sors à chaque fois des personnages tellement parfaits I love you
rebienvenue ma belle I love you
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyLun 13 Juil - 10:07

ooooof jaime lorente mais mama mia :diva:
encore un personnage de fifou toi, tu t’arrêtes pas :tombe: :inlove:
je vous ship déjà trop avec zelda je plaide coupable.
EN PLUS un enfant de momo...

EMPOISONNEUR !! MEURTRIER !!

:fist: :fist: :fist:
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyLun 13 Juil - 10:46

:kikou: :kikou: :kikou: :kikou: :kikou:
:hihi: :hihi: :hihi: :hihi: :hihi:

:pleure: :pleure: :pleure: :pleure: :pleure:

MON FRERE :miguel:
ptn il est beau la famille est réussie :perv:
j'ai tant hate qu'on joue encore ensemble et de vous shipper avec zelda, ca va être perf.
Voilà un quatrieme compte parfait, encore, et ta plume; damn I love you

:bises: :bises: :bises: :bises: :bises:
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyMer 15 Juil - 20:16

Nikomedes :yamlove:
J'adore ce prénom, omg
Rebienvenue! I love you
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyMer 22 Juil - 14:54

rappeltout

peux-tu donner des nouvelles ?

coucou petit monstre, on a remarqué que cette fiche n'était pas tout à fait terminée. on te file un balai et un chat, pour chasser ses vilaines araignées pour t'aider ? ta fiche sera archivée dans 3 jours sans nouvelles. peut-être aurais-tu besoin d'un délai supplémentaire d'1 semaine pour le faire ? si tel est le cas, n'hésite pas à nous l'indiquer à la suite de ce message afin que l'équipe t'ajoute du temps pour compléter la rédaction.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyJeu 23 Juil - 19:16

Coucou j'aimerais bien un délais, j'ai quelques petits soucis en ce moment mais j'essaye de terminer rapidement I love you
merci d'avance I love you
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyVen 24 Juil - 11:20

je t'ajoute ça de suite love I love you rebienvenue amor
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyLun 27 Juil - 23:10

Bienvenue et bon courage pour ta fiche
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyLun 3 Aoû - 22:15

@Scylla Potter @Edelgard Umbridge @Asteri Black @Albus Dumbledore @Ngolomingi Zabini
merci beaucoup :brille: :brille: :brille: à vous tous et toutes vous êtes des amours :brille: :brille: :brille:

@Prudence Prince
il a rien empoisonné lui :red: :red: :red:
et ouiii ils vont faire des étincelles le couple zelko :megusta:

@Demetria Quirrell
:kokoro: :kokoro: :kokoro: t'es un petit coeur et puis trop contente de jouer leur lien :brille:

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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) EmptyLun 3 Aoû - 22:25

un peu triste d'être lente à crever et d'pas pouvoir te valider avec zelda (ça ferait pas trop sérieux :ohno:) MAIS
:dayum:  :dayum:
best mari ever, j'aurais tellement pas pu rêver mieux (enfin si, s'il évitait de droguer sa femme maybe Arrow) j'adore niko, son apparence d'homme parfait qui cache finalement quelque chose de très égoïste et aussi fragile, le contrôle, l'amour qu'il a pour sa famille, ta pluuume :keur:
j'ai si hâte de jouer zelko, ça va être tragique et beau :miss:
toi non plus j'te dis pas rebienvenue tho :regis:

 
te voilà des nôtres

félicitations, tu es validé.e ! des dragées surprises s'abattent sur toi.

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à l'intrigue (voir le lien en page d'accueil), à la loterie rp pour se trouver quelqu'un avec qui rp. il y a aussi la section du marché aux liens pour te trouver des liens. n'hésite pas non plus à éplucher notre face claim et à contacter directement ceux qui te semblent convenir pour un lien. il y a aussi la section rappeltout pour les parrainages, l’évolution et les points. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à l'intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.
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Message (ϟϟ) Sujet: Re: fix you (nikomedes)   fix you (nikomedes) Empty

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