My middle finger salutes you (Eliah Greyback)

Eliah Kovacs-Greyback
Save your feelings for someone who cares

Fuck you

Ft Willy Cartier
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pseudo/prénom : KV âge : 27 ans personnage préféré dans la saga : Still Ginny sort préféré : Still Impervius voudrais-tu être parrainé ? : non fréquence de connexion : Régulière comment tu as connu FTGG : En actualisant première impression sur FTGG et/ou suggestion : La 3e est la bonne?

Dossier n°12873

nom et prénom(s) : Eliah, Jezabel, Kovacs-Greyback. Surnommé Eli. Le masculin et le féminin dans ses prénoms. La mongolie et la hongrie dans son nom. Un mélange improbable. A son image : jamais là ou on s'attends qu'il soit.
âge et date de naissance : 27 ans. 28? Il ne se rappelle jamais. Il est né un 2 février, ça oui. En pleine tempête de neige, ça, il se souvient aussi qu'on lui en a parlé. En 1887. 1914-1887=… Hmm 27, non? Eli n'a jamais été très fort en mathématique
origines et degré de la branche familiale (mineure ou majeure) : Greyback. Branche très, très mineure. A vrai dire… c'est à peine s'il fait partie de la branche. Il aura suffit qu'un Greyback tire son coup, et BAM! Un petit bâtard. Son père était un paumé de la branche tertiaire. Un certain Istvan. Il a engrossé sa mère et s'est tiré. Ou s'est fait tiré dessus, les choses ne sont pas claires. Il ne l'a jamais connu. Autant dire que la branche des Greyback doit même pas connaître son existence.
état civil et orientation : Officiellement célibataire, sans préférence pour le sexe de sa compagnie du moment.
profession : Escroc, vendeur à la sauvette, barman, trafiquant d'objets, de drogues, d'organes pour potions diverses, chasseur de prime, réparateur de problèmes (mais pas de chaudière). Eliah a le bon goût de s'adapter à la demande.
nature du sang : mêlé. Bien mêlé.
lieu de vie : Londres. Une chambre d'hôtel miteuse. Pour le moment.
baguette : Cornouillier, plume de turul, 30 centimètres, très souple. Une baguette à l'image de son maître : qui veut de l'amusement, qui s'adapte… mais qui peut faire sacrément mal si elle s'en donne la peine.
épouvantard : Une cage. Solide. Bien fermée. Des chaînes.
miroir de risèd : Son plus grand souhait change tous les jours. La gloire. La richesse. La reconnaissance. La liberté. La solitude. Eliah souhaite beaucoup. Change souvent de rêve. Quelque chose ne change pas en revanche… le loup en lui n'est jamais loin.
particularité : Lycan… pour le meilleur et pour le pire. Ceux qui ne sont pas lycanthrope ne peuvent connaître cette douleur qui prend possession de leurs corps. Différente pour tous, et pourtant, chaque fois la même. La peau qui se déchire et tombe en lambeaux, les os qui se brisent, uns à uns, l’être qui se déforme pour laisser place au loup gris. A la pleine lune, la meute n’est que corps tordus dans la même douleur… frères. Puis vient la puissance. La force qui l'habite. La sensation de son corps qui parcourt les plaines, les forêts. La vitesse. Les réflexes. Une sensation grisante de liberté. Le lycan l'a révélé à lui-même. Une bénédiction, malgré la douleur, malgré la mauvaise réputation. Tout cela ne compte pas.

Il est loup. Il est libre. Le reste n'a aucune importance.

Informations

groupe Nox. Eliah pense globalement à sa gueule, et sa gueule pour le moment n'a pas été trop impactée par le gouvernement de Gégé le Grincheux. Il va s'arranger pour que ça continue. S'impliquer pour les autres? Oulah. C'est beaucoup lui demander.
caractère ou réputation : Indépendant. C'est le mot gentil pour parler des égoïstes… Et ça, c'est le mot réel pour décrire Eliah. Un sacré égoiste, même. Quoi de plus important que sa petite personne? Rien. Si, tombé d'une falaise, il se raccroche d'une main aux racines et a l'autre pour sauver un frère ou un amour… Il dira qu'il utilise les deux mains pour se sortir de ce merdier, et que les autres n'avaient qu'à faire attention. Eliah est une dilettante. Rien n'est important. Rien n'est grave. Rien n'a de sens, à part son propre amusement. Il fera ce qu'il a envie, comme il a envie, quand il en a envie –autant dire que compter sur lui pour les tâches ménagères, c'est être très optimiste. Toujours le mot pour rire… ou parfois le sarcasme, il manie les mots comme des dagues. Et les dagues comme des quilles de jonglages. Il possède en lui une violence qui s'exprime d'un coup de poing parti trop vite ou d'une joie féroce à l'approche de la pleine lune. S'il est d'une loyauté sans faille envers les rares êtres qui ont mérité son amitié, il a la revanche salée, en revanche, et n'oublie pas le visage de ceux qui la lui ont faite à l'envers : sauf s'il l'avait demandé… mais ça, c'est un autre sujet. Il semble toujours près a faire une connerie. Semble toujours penser à son prochain coup. Et si dans ses yeux brille une étincelle amusée… Probablement que vous en serez la victime.
signification des reliques de la mort pour iel : Un objectif comme un autre : sans doute que ça pourrait se revendre un bon prix.

If you're sad...

add more lipstick and attack.

Chronologie

Février 1887 Tempête. Naissance au sein d'une roulotte. Eli commence à gueuler pour la première fois. Toute la caravane l'entend. 1891 La communauté de sa mère arrive en Angleterre. Ildikó reste avec son fils dans la campagne anglaise, le temps que sa seconde grossesse se termine. Naissance de jumeaux. Moldus. 1893. La famille s'agrandit une troisième fois. Une fille. Quatre enfants… Trois pères différents. Un seul sorcier. septembre 1898 Eliah, un peu encombrant, est envoyé à Durmstrang… sous l'impulsion probable d'une famille qu'il ne connait pas. Une manière pour son père de prendre soin de son fils? Mystère. Ildikó et son quatrième mari n'y trouve rien à redire. Le môme, onze ans, dit au revoir à sa fratrie, à sa mère, à la caravane. Ce sera la dernière fois qu'il les voit. juin 1902 Eliah décide que les études, ça n'est décidément pas pour lui. Il est trop provocateur, trop sûr de lui. Il passe plus son temps puni qu'à apprendre. Et l'environnement strict ne lui convient pas. Il ne retournera jamais à Durmstrang. octobre 1902 Après avoir vadrouillé en Hongrie sur un cheval volé, Eli retourne en Angleterre avec un cirque ambulant, se pose à Pré-au-Lard, ment sur son âge et se fait embaucher dans un pub en tant que barman. Rencontre avec Orfeo 1906 Eli travaille à l'arène des nés-moldus de Londres. Il y rencontre Perseus Parkinson, combattant habitué… Et s'y fait mordre, devenant à son tour un loup. 1906-1913 Vadrouillant entre le Royaume-Uni, la France, les Pays Baltes, Eli se fait son expérience, apprends la vie, la magie auprès de ceux qui ne le chassent pas à coup de balai 1913 Orfeo coupe les ponts. Rien ne retient véritablement Eliah qui disparaît donc de Londres sans donner de nouvelles. septembre 1914. He's back. Back to black. Il est possible qu'un homme influent entre Tallin et Riga cherche des diamants disparus. Oh. Juste deux ou trois. Rien qui ne lui manquera.

"Je bois du champagne uniquement en deux occasions.
Quand je suis amoureuse,
et quand je ne le suis pas."
Coco Channel

._Sans racines. Né dans une roulotte, d'une mère qui ne s'est jamais soucié des convenances, d'un père qui n'est pas resté assez longtemps pour le voir naître. Le voyage a toujours été dans son sang, dans sa nature. Jamais trop longtemps au même endroit. Parce qu'il y a toujours autre chose à voir. Ailleurs. Plus loin. Tzigane dans l'âme par une mère qui ne l'a jamais choyé, mais qui lui a transmis cette volonté farouche de ne jamais s'enraciner. Les racines, c'est pour les arbres : on lui a fait des jambes, c'est bien pour qu'il marche, qu'il courre. On lui a donné des pouvoirs… C'est bien pour qu'il vole.

"La beauté commence au moment où vous décidez
d'être vous-même. "

._Deviance. Homme ou femme selon les jours, selon l'humeur, selon le temps qu'il fait. Eliah se fait appeler "Eli". Et il peut inventer une nouvelle histoire et un nouveau prénom à chaque personne qui l'interroge. Elisa, Elijah, Eliott, Elisabeth, Elmer, Ella. Des alter-egos pour de nouvelles histoires. Il aime en raconter, amuser la galerie. Il virevolte dans l'enfance entre masculin et féminin à l'envie : il faut dire que sa mère et la caravane se soucient assez peu de ce genre de chose. Après tout… N'est-ce pas elle déjà qui lui a donné un second prénom féminin, elle qui rêvait d'une fille? Mais la liberté et l'ouverture d'esprit de la caravane ne se retrouvent pas partout et en entrant à l'école, il doit faire un choix. Et choisir ne lui convient pas. Il se sent amputé d'une partie de lui-même… alors il se travestit, se maquille. Et si certains trouvent cela amusant… ce n'est pas le cas de tout le monde. "Tordu", "Bizarre", "Pervers", il entend ces mots quotidiennement. Souvent alors que des pieds le rouent de coup. Chaque fois, il se relève. Se jure de mérite les noms qu'on lui assène comme des insultes. De prouver qu'il n'y a aucun de mal à être comme il est. Il assume qui il est. Et un jour, se dit-il… la société l'assumera aussi. En attendant… C'est punitions et moqueries, pour essayer de bannir cette attitude jugée insolente et à la limite de la pathologie par ses professeurs. Il part, quitte le carcan et les règles, retrouve la liberté des circassiens. Que les autres le rejettent, qu'ils trouvent son maquillage improbable, ses déshabillés de soie indécents, son manque de rigidité dans le genre insatisfaisant… Eliah s'en moque. Ce qui compte pour lui, c'est de pouvoir être lui-même, et ceux qui ne sont pas content peuvent bien aller au diable. Et puis : porter des talons hauts et des robes ne l'a jamais empêché de casser des gueules. Seulement… seulement la société n'est pas prête. L'homme viril y est trop représenté. Et il faudra a Eli quelques cassages de gueule et plusieurs nuits en geôles pour suspicion de bougrerie pour apprendre à atténuer sa fluidité dans les milieux bien pensants, ou même l'espace publique, se contentant de khôl et de tenue masculine au quotidien… Dans le privé ou les quelques milieux underground ou les gens comme lui sont acceptés sans question, en revanche… C'est à cet endroit qu'il peut être véritablement lui-même, et pas une version fade et édulcoré qui l'ennuie au plus haut point.

"Le luxe, ce n'est pas le contraire de la pauvreté,
mais celui de la vulgarité."

._Luxe. Il n'est pas homme à se refuser quoi que ce soit. Si ça lui plaît… Il l'obtient. L'achète, le négocie, le vole. Les soieries luxueuses de ses kimonos. Ses chaussures. L'alcool qu'il boit sans se priver. La drogue aussi. S'il n'a plus d'argent… Il en trouvera. Vendra, travaillera, escroquera. Peu importe. Il a un certain train de vie… Et compte s'y tenir. Qu'importe s'il n'a pas un sou d'économie, s'il ne sait jamais de quoi demain sera fait. Demain n'est pas important. Aujourd'hui est un grand jour. Pourquoi? Il ne sait plus. Mais cela mérite probablement de dérober le porte-feuille d'un moldu étourdi pour acheter ce déshabillé de dentelle fleurie. "Je vous fais un paquet cadeau? C'est pour votre femme, non?" Eliah rit. "Vous me croiriez si je vous disais que c'était pour porter pendant mes nuits d'insomnie, ma chère demoiselle?" La vendeuse a un sourire gêné, rit finalement, pense à une plaisanterie. Eli n'insiste pas, se contente d'un sourire ravageur et sort, la laissant s'interroger quelques temps sur cet homme étrange qui vient de sortir de sa boutique.

"On ne vit qu'une fois...
autant que ça soit amusant."

._Troisième Sexe. Très jeune, Eli avait compris que le genre n'était pas pour lui un obstacle. Il aimait les femmes et leurs courbes… et les hommes, et les corps longilignes. Avec peut-être une légère préférence pour ceux-ci, d'ailleurs, s'il devait être honnête… Il a fallu qu'on lui explique qu'il n'était pas normal. Que les hommes allaient avec les femmes et vice-versa. Il a toujours trouvé ça affreusement sectaire, de l'empêcher d'aimer la moitié de la population, juste parce qu'il avait des attributs masculins. Il décide rapidement de faire comme il le veut, malgré les remarques pseudos bienveillantes de ses proches, et les commentaires écoeurés des autres. Il apprends aussi à se faire -relativement- discret, même si c'est injuste de ne pouvoir séduire un homme qui lui plaît en pleine rue, quand personne ne trouverait à redire si c'était une femme.

Mai 1910. Le soleil éclaire la peau de l'homme qui dort encore entre ses draps. Eli allume une cigarette et la fume avec un sourire, en pensant à ses ébats de la nuit. Un jeune homme timide de prime abord. L'un de ces hommes qui n'assumait pas ses désirs de corps masculins. Mais un peu d'alcool, quelques mots flatteurs, et le garçon timoré s'était transformé en amant plus que fougueux. Pas de doute, il savait se servir de ce que la vie lui avait offert... Mais alors, le réserver aux femmes, quelle idée stupide... Il rit, seul. Ecrase la cigarette. On toque à la porte. Sans se soucier de sa nudité, il va ouvrir, en s'étirant. La femme qui se trouve derrière la porte est blonde, jolie comme un cœur. Elle rit en le voyant nu, l'embrasse sans chichis. Les femmes de Budapest étaient bien moins coincées que celles de Londres. Sans doute le fait que Magdi n'était absolument pas d'une famille noble ou même importante aidait. Elle passe ses bras autour de son cou, se presse contre lui, semblant assez décidée à profiter de sa présence, de sa tenue, et de la mécanique humaine de cette heure matinale. Elle se fige pourtant. Ha. Elle a vu Laszlo, sans doute. La gifle part, et les insultes aussi. "Eliah? Mi a fasz? Egy férfi? aludtál vele? Te geci! mi a bánatos piscsaért kellet ezt tenned? Nyald ki a seggem! Basszon agyon a kenköves istennyila!*" Eli ne peut s'empêcher de rire. " En voilà un vocabulaire coloré." La jeune femme part e claquant la porte. Tout ce boucan a fini par réveiller le beau Laszlo qui s'étire, s'inquiète. Eliah rit. "Un problème? Aucun. Magdi reviendra quand elle se sera calmée. En attendant... et si je m'occupais de toi, hmm?". Du moins jusqu'à ce que les gendarmes de cette petite ville ne se ramènent, ameutés par une amante jalouse. Oh… ça lui laissait bien une heure. De quoi faire quantité de choses.

*"Eliah? C'est quoi ce bordel? Un homme? Tu as couché avec lui? Tordu! Qu'est-ce qui t'as pris? Va te faire enc…" -la décence nous oblige a censurer le vocabulaire ordurier de Magdi, pardonnez-la.

"Il n'y a rien de plus beau que la liberté
du corps"

._Loup.Il court. A deux pattes ou à quatre, le loup l'habite. Il est son âme, son corps. Modèle sa respiration et la longueur de ses foulées, le silence de ses déplacements. Il court et il se sent libre. Personne ne l'a jamais rattrapé. Personne ne le rattrapera jamais. Pas à cette vitesse. Il entend. Le mugissement du vent, le souffle de la terre. La course des nuages. La moindre des choses entre les deux, aussi. Il entend et il ne craint rien. Ni les bêtes… ni les hommes.
Et surtout pas ceux qui se trouvent à l'obscure limite entre les deux, et se prennent pour des dieux.

"Il y a les gens riches, et ceux qui ont de l'argent.
Ce ne sont pas les mêmes personnes"

._Orfeo.Il se souviendrait à jamais des yeux de ce gamin à peine plus jeune que lui lorsqu'il était rentré dans le pub. Perdu. Seul. Leurs regards s'étaient croisés, et ils s'étaient compris. Reconnus pour ce qu'ils étaient. Tu aimes les hommes? Moi aussi. Aimons les hommes ensemble. Leurs souffles s'étaient mêlés dans l'arrière boutique. Lui, le menteur qui faisait l'école buissonnière, toujours prêt à un mauvais coup… Orfeo, l'étudiant presque sage, parfois effacé? Une rencontre du destin? Deux adolescents de seize ans, des regards partagés dans une étreinte… Puis dans une discussion. Puis une autre. Ils se comprenaient. Eliah, avait sa façon d'exister sans s'excuser, écoutant toujours avec attention ce que son ami avait à lui dire. Les petites joies. Les peines. L'amour naissant dans son cœur aussi. Puis… puis, la discorde, et le nom d'Antarès s'était gravé dans l'esprit d'Eli. On ne blesse pas impunément le seul ami qu'il a jamais voulu. Eliah et Orfeo, c'est beaucoup de rires, et de mots, de l'alcool, la douceur de la soie et d'une amitié profonde. Le charme de courbes masculines qu'il ne retrouve trop peu ailleurs. C'est une visite inattendue dans un atelier, avec une bouteille de champagne pour fêter le retour sur Londres après des mois d'absence. C'est une lettre, de temps en temps. Les chasses aux dragons ensemble, deux corps étalés tête-bêche sur un lit, échangeant des regards mais pas le moindre mot.
Eliah et Orfeo, c'est la douleur d'une disparition après des années d'amitiés.
"Je reviendrais quand tu seras prêt. Comptes sur moi."

"Je n'ai rien à faire de ce que vous pensez de moi.
Moi je ne pense
pas du tout
à vous. "

._Liberté.Dilettante. Il virevolte de boulot en boulot, de pays en pays. De bras en bras, de lit en lit. Sans se fixer nulle part. Manque d'envie. Manque de choses qui le retiennent. La liberté totale, c'est aussi de ne pas se laisser enchaîner par des gens, des évènements. De pouvoir partir, du jour au lendemain, comme il l'a fait. De ne rien laisser derrière lui. La solitude? Pas un problème. Eliah n'est jamais seul très longtemps, il a ce don de se trouver de la compagnie partout ou il passe. De se trouver du travail, aussi. De survivre, peu importe le contexte, mauvaise herbe qu'il est.
Alors ça n'est pas Gellert Grindelwald qui l'enchaînera, il s'en fait la promesse. Il est revenu… mais ce n'est pas pour avoir la corde au cou, ni le tatouage au bras.
Londres est une amante exigeante, qui vaut bien que l'on prenne quelques risques. Tant pis s'il doit accepter de se faire discret sur ses envies et ses talents. Après tout… Londres possède quelques endroits intéressant ou il pourrait se permettre d'être lui-même. Et puis…
Sans doute que se cacher en Angleterre, à l'endroit ou personne n'irait le chercher, est une bonne idée. Probablement pas la meilleure. Mais… il n'a pas tant d'options que ça, cette fois.
Au moins jusqu'à ce qu'il revende les diamants et se fasse un peu oublier.

"L'argent n'a pour moi qu'un seul son :
la liberté"

._Voleur, vaurien. Eliah a toujours grandi en prenant ce dont il avait envie, quitte à ce que le propriétaire ne soit pas d'accord. Si des années d'expérience en avait fait un pickpocket fort habile –une alliance de diversion et de main très fines- il y avait eu des échecs. Des coups de pieds au cul, quand, gamin, il s'était fait prendre à voler une pomme. Des dénonciations à la police pour un vol de bijou un peu trop évident. Quelques amendes, ou nuits en prisons, pour des altercations violentes. Il avait dû apprendre à se faire oublier… Quelques endroits aux alentours de la mer baltiques le recherchaient peut-être encore. Mais voler des voleurs… est-ce vraiment voler?

Septembre 1914. Il avait hésité. Environs deux secondes et demie. Il faut dire que l'occasion était trop belle. Ce demeuré, ivre et presque mort dans un bar glauque de Budapest… Ses fanfaronnades. Le sac de diamants qu'il avait posé pour appuyer ses dires, et faire briller les yeux des quelques minettes de vie discutables qui traînaient autour de lui, avide de se l'assurer pour la nuit. Cela avait été un jeu d'enfant d'en voler quelques uns, il n'avait eu qu'à faire une diversion grossière. Cinq pierres avaient disparues dans ses poches. L'une d'entre elle avait été revendue sur place pour avoir les moyens de retourner à Londres… il faut dire qu'il était plus fauché qu'un champ de blé. Le reste… Et bien, pour s'assurer un train de vie un peu confortable. Peut-être offrir à Orfeo un kimono des plus flamboyants. S'il n'est pas encore sorti de sa torpeur, ça devrait suffire, non, un ami, un amant, qui revient et le couvre de cadeaux achetés avec de l'argent volé?

" La force est construite par les échecs, pas par les réussites."

._Greyback. Le nom d'un père qu'il n'a jamais connu. Un homme qui a engrossé celle qui lui a donné la vie, à peine une mère, surtout une génitrice. Ildikó Kovacs lui a légué son nom à elle, et le nom d'un géniteur. Il a tenté de le retrouver, après avoir quitté Durmstrang. Avait perdu sa trace en Angleterre, et s'était dit que ça ne l'amusait plus de courir après un type qui n'en avait visiblement rien à secouer du bâtard qu'il avait engendré. Il avait juste compris là-bas que Greyback était un nom qui pouvait avoir un poids… et s'en était servi une ou deux fois pour se tirer d'un mauvais pas. Eviter la prison dans les endroits ou être un Greyback faisait trembler de peur. Après tout… ils n'avaient pas besoin de savoir qu'il n'en était pas vraiment un. Voilà au moins une utilité à cet homme qu'il n'avait même jamais rencontré. Eliah Kovacs… Eliah Greyback… Cela ne change pas grand-chose à ses ambitions, sur le principe. Ou… peut-être que si?

Dernière édition par Eliah Greyback le Mer 22 Juil - 20:53, édité 3 fois

willy
o
m
g
:pleure:

je suis si fan de ce petit début de fiche babe
en plus si j'ai tout compris t'es le petit-fils loup d'ica :noel:

famille loup de bégets damn je valide de fou
rebienvenue à la maison amour, amuse-toi bien :albus:

Albus Dumbledore a écrit:: willy
o
m
g

On est d'accord @albus dumbledore, je suis ravie de pouvoir enfin utiliser ce FC.

greybaaaack I love you

je te souhaite la bienvenue parmi nous :keur:

et oui, ce fc est une pépite :diva:

Encore toi, finalement craqué pour ce TC? :yamlove:

Rebienvenue chez toi, encore un perso qui tue :diva:

@Henry Potter Ouais, enfin Fake Greyback :D Il porte juste le nom mais hé! qui sait ce qu'il adviendra par la suite.

@Asteri Black Ouaiiiiiiis j'ai craqué. Mais je m'arrête la. Le premier qui m'entends causer de QC me fout une baffe.

En tous cas, merci à vous deux :fab1:

Le titre m'a tué... mais alors "Gégé le Grincheux", Abel au fond de moi t'aime déjà ! :mdr:

@Gellert Grindelwald, dans ta gueule vieux schnock :lalala:

Rebienvenue par ici, Eli a l'air haut en couleurs et j'aime beaucoup ça ! I love you

Superbe début de fiche et puis quel choix d'avatar ! Je meurs nondidiou ! Les Greybacks sont vraiment beaucoup trop cools ! :maniac:

Re re bienvenue avec ce nouveau personnage qui va encore être génial, j'adore ce qu'on découvre déjà de lui et puis ce choix d'avatar et de famille :brille:

@Scylla Potter Merci merci! Je suis sure que lui et Abelforth pourraient copiner!

@Addolorata Alighieri C'est plutôt un faux Greyback qu'un vrai de vrai, mais bon, ça compte! Merci en tous cas Wink

@Gabriel Potter Merciiii! L'ava s'est imposé, et j'espère pouvoir faire maaaasse de trucs cools avec lui :D

cette fiche fkdg merci pour ce personnage de folie, tu t'ajoutes à la grande dynastie des queer de ftgg et je ne peux que m'en réjouir. et puis un greyback aussi fun, ça fait toujours plaisir à voir. il me tarde de voir le petit eliah hurler à la lune. vivement que je puisse stalker tous tes rps. je te valide pour la deuxième fois avec grand plaisir. encore bienvenue love of mine. I love you

te voilà des nôtres

félicitations, tu es validé.e ! des dragées surprises s'abattent sur toi.

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à l'intrigue (voir le lien en page d'accueil), à la loterie rp pour se trouver quelqu'un avec qui rp, et au rite de passage pour rire. il y a aussi la section du marché aux liens pour te trouver des liens, et la section rappeltout pour les parrainages, l’évolution et les points. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à l'intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.

Merciiii

Désolée de vous avoir fait bosser sur cette fiche!

J'ai vraiment hâte de commencer à jouer avec vous :etaine:

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