| | (h/libre) alexander skarsgård — harold skeeter | |
| Auteur | Message |
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| (ϟϟ) Sujet: (h/libre) alexander skarsgård — harold skeeter Sam 28 Mar - 19:01 | |
| harold skeeter ft. alexander skarsgård (au choix) | nom et prénom(s) : harold skeeter ( prénom au choix). âge : trente-huit ans. origines : anglais. état civil et orientation : marié, hétérosexuel. profession : rédacteur en chef pour la gazette du sorcier ( ou un métier en lien direct avec la gazette). nature du sang : mêlé. personnalité : particularité : au choix, voir la liste des particularités. crédits : @gallifreys.
GRANDES LIGNES le background du personnage reste relativement libre, les éléments écrits ci-dessous ne sont pas forcément à prendre en considération et ne sont là que pour guider ou faire germer des idées. l'histoire reste donc assez modifiable au bon vouloir de la personne intéressée.
ce qu'il est ; harold, c'est le premier fils de la branche majeure. personnalité copie conforme du paternel, décalqué au millimètre près. pas le choix que de suivre des préceptes qu'on lui a inculqué depuis petit, valeurs suivies et convictions affirmées, avouées : malin mutin perturbateur, provocateur téméraire, déterminé à arriver à ses fins, peu importe les moyens mis en œuvre. conditionné par les aïeux, famille et affaires avant le reste. affaires avant famille, parfois, quand bien même les deux restent étroitement liés. la tête à la réussite, indulgence face aux capotages et ratés, aussi dur envers lui-même qu'envers les autres. ambitieux mégalomane irrépressible, avare autant que curieux. fourberies envahissantes, oreilles qui traînent et dénichent, mémoire qui retient. utilise les chuchotis discernés dans des tentatives d'intimidation qui servent les intérêts de son lignage plus qu'aux autres. égoïsme familial, lui sur le piédestal, mais pas que. autrefois sa femme à ses côtés, la satisfaire et la rendre heureuse, non pas par obligation conjugale mais par amour. aujourd'hui difficile pour lui que de penser à elle sans faire ressurgir une aigre rancœur.
partisan de grindelwald. l'état actuel du monde magique anglophone lui profite plus qu'il ne l'espérait. papelards se vendent comme s'ils étaient nécessités, chacun au petit matin à tourner les pages du journal, la tasse de thé entre les mains. glisse sur les opportunités, oblige journalistes, rédacteurs, larbins à exagérer les propos écrits, à omettre des vérités. au sein de la gazette, on a du mal à lui refuser quoique ce soit. pas une question de poste, uniquement une question de patronyme qui suit le prénom. en profite allégrement pour faire passer sous silence certains scandales contre dédommagement en gallions, ou avantager des partenaires d'affaires sur qui il peut présentement compter.
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| @malyen skeeter / keira knightley - épouseTous deux se souviennent encore de la fois où ils se sont rencontrés. N'osent certes pas l'admettre, mais dans l'essence, images claires et précises esquissent ce qui a été le début d'un éprouvant attachement. Pavés du Chemin de Traverse, été 1898. Il avait vingt-deux ans, elle en avait dix-sept et allait rentrer en septième année à Hogwarts. Malyen Vulchanova, marmot de Dara Vulchanova et Pavel Krum, fortune bulgare, investisseurs dans la recherche phamaceutico-magique, aux mains salies par des activités illégales de drogues sorcières longtemps tues. Scandale pourtant éclate, murmures laissent entendre que les Vulchanov vendent sur le marché des potions et poudres aux effets dévastateurs, poisons meurtriers. Réputation sur le point d'être renversée et plaintes accumulées, tirer les ficelles et faire changer l'opinion publique comme seule alternative possible. Sui d'autre que les incontestés Skeeter ? Argent contre articles les innocentant, mais pas que. faire affaire sur le long terme, donner la seule fille Vulchanov à leur aîné : promesse que de pouvoir piocher dans les réserves financières des bulgares pendant encore de longues années sans avoir à laisser de potentielles traces de leurs dépenses. Au loin, il distingue la silhouette de celle qu'on lui a promise, adossée à la façade d'une des boutiques de l'allée. C'est qu'il la reconnaît à peine, pourtant déjà croisée dans les couloirs de l'école avant son départ. Puberté a encore joué de ses tours. Mais Harold, il n'a aucune envie de se marier. Que ce soit à la fin de la scolarité de la Vulchanov, donc dans un an, ou même plus tard. N'imagine pas partager son quotidien avec quelqu'un. « Seulement si tu me bats aux Bavboules. » qu'elle lui lance sans même le saluer. « J'accepte de me marier avec toi seulement si tu gagnes. » On pourrait croire qu'elle n'était pas en position de négocier ou de temporiser, néanmoins, les Skeeter avaient besoin de cette nouvelle mine d'or qui leur était offerte contre presque rien. Alors pendant les deux mois de vacances scolaires, ils se sont vus. Un nombre incalculable de fois. Si les premières entrevues étaient davantage silencieuses, les langues ont fini par se délier. 1 janvier 1900 marque le jour de leur mariage et de leur nouveau quotidien. Habitent dans un grand appartement sur le Chemin de Traverse, encore vrai aujourd'hui quand bien même quatorze ans plus tard, leur relation ne tient que par la volonté d'une quelconque force supérieure qui souhaite qu'ils restent ensemble. Tout allait bien jusqu'à il y a trois ans. Duelliste hors catégorie, titres après titres, compétitions raflées, encore d'autres à venir quand bien même elle porte leur premier enfant. Promet de faire attention, promet de ne pas trop en faire. Promesses récitées avec convictions, mais cela n'a pas suffi. Fausse couche à trois mois, en plein milieu d'un duel qu'elle perdait. Douleurs insupportables qui surgissent, a voulu les ignorer, s'est emportée, a lancé des sortilèges qu'on n'a pas le droit d'utiliser car l'opposant prenait le dessus. Disqualifiée, bannie même des arènes. Ce jour-là, elle n'a rien gagné. A tout perdu. La renommée contre l'enfant. La notoriété contre le mari. Et même sa réputation a été entachée. Remords, dirons-nous même rancœurs. Harold ne parvient pas à pardonner l'égocentrisme de son épouse pour qui il a tant donné. Lui qui ne voulait pas de famille, ne voulait pas se sacrifier pour un foyer, s'était finalement préparé à devenir père. Etait prêt, même impatient, et elle lui a privé de ça alors qu'elle lui avait promis de prendre des précautions. Convaincu qu'elle n'a pensé qu'à elle. Ils ne se sont pas remis de cet épisode. N'ont pas réussi à féconder de nouveau. Il n'arrive pas à oublier. Elle non plus. Pourtant, l'un comme l'autre se tait. N'expriment pas ce qu'ils ressentent. Elle n'ose pas avouer à quel point elle se sent coupable et que si elle le pouvait, elle demanderait à échanger sa propre vie à elle contre celle de celui qu'ils n'ont jamais connu. Lui, n'arrive pas à exprimer cet amas de déceptions qui le submerge quand il croise le regard de celle qu'il, au fond, aime encore. Éloignement, fracas, fissures, trahisons. Trompe sa femme. Se déteste de l'aimer alors qu'elle est la cause de l'enfant perdu. Essaie de l'oublier en passant d'une femme à une autre. Essaie, seulement. N'y parvient que pour quelques heures. Retour poignant à la réalité. Malyen l'a découvert. Brisée, mais trop fière. Vengeance infructueuse, liaison et flirt dont il est au courant, mais fait l'indifférent comme elle de son côté. Communication troublée. Se lancent des piques plus qu'ils ne déballent ce qu'ils ont sur le cœur. Ne savent tout bonnement pas y faire avec les sentiments et leur ego surdimensionné. | |
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Dernière édition par Malyen Skeeter le Dim 29 Mar - 1:40, édité 21 fois |
| | | | (ϟϟ) Sujet: Re: (h/libre) alexander skarsgård — harold skeeter Sam 28 Mar - 22:41 | |
| Informations complémentaires exigences, informations, etc Hola Déjà, première chose, si tu as réussi à lire ce pavé tout décousu que j'ai pondu dans le premier message, bravo. Même si tu n'as lu qu'en diagonale, congrats. :plz: Parce que je sais que j'ai tendance à partir à droite à gauche en même temps, donc c'est pas forcément facile de suivre mais trève de bavardages, passons aux choses sérieuses Pour ce qui est du personnage, comme déjà mentionné, l' histoire et le background sont relativement libres, si ce n'est qu'il faut tout de même un minimum respecter les grandes lignes de la description des Skeeter qui se trouve ici Pour tout ce qui est enfance, éducation, adolescence, ses années à Hogwarts, la voie est libre et je te laisse façonner tout ça comme tu le sens. De même pour sa relation avec ses parents, quand bien même il agit dans l'intérêt de la famille et le sien, il n'est pas obligé de tous les porter dans son cœur. Niveau avatar, c'est vraiment au choix. J'ai mis Skarsgård en premier choix mais c'était vraiment parce que je n'avais pas d'autres idées et parce que lui et Keira ont joué ensemble dans The Aftermath, alors y a tout un tas de gifs coolos mais, tu as le choix de la trogne, vaut mieux que tu puisses jouer avec quelqu'un qui t'inspire Pour ce qui est du lien entre lui et Mal, je tiens à préciser que je préfère davantage développer tout ça à deux et ne pas imposer ma vision des choses et de l'histoire, donc c'est franchement malléable et si besoin, on peut enlever/rajouter des choses pour davantage de dramas. De même pour la direction future de leur relation, on pourra y réfléchir ensemble et combiner nos idées et envies :plz: J'en profite pour mettre un extrait de ma fiche (qui se trouve ici) quant à leur relation actuelle et la façon dont ils se comportent l'un envers l'autre - Spoiler:
Journal dont les pages tournent les unes après les autres, pupilles scrutatrices qui lisent chaque phrase avec une attention toute particulière. Titres racoleurs et faits racontés dans une démesure considérée et savourée par la majorité des lecteurs, nouvelle édition parue comme tous les matins et qui a pris une place toute particulière dans le bon commencement de la journée. La tasse de café noir qui ne fait qu'un avec sa paume, elle en prend une gorgée dans un silence distingué et inhabituel. C'est que ce n'est pas même naturel pour elle d'être si réservée. Parle. Regard appuyé, nullement le besoin de relever le menton pour sentir les mirettes qui la dévisagent, traits blasés. Inspiration forcée, soupir téméraire. Je n'ai rien à dire. Tasse qu'elle pose sur le bord de la table sans même croiser l'oeillade criminelle qui décèle le mensonge exhibé. Il se frotte les tempes, serre la mâchoire, prend un temps pour faire attention à l'impact des pensées qu'il souhaite déclarer. Se retient, mais pas trop. Le don de gâcher les journées à peine commencées, sifflé sans douceur aucune. Les épaules se haussent, façade carapace, le sourire agaçant dégainé comme bouclier qu'elle croit blindé. - Mieux que celui de répandre l'écœurant parfum de l'autre poissarde de mégère sur mes draps. - Nos draps. Pose finalement ses yeux sur la face qui la toise, sourcils se froncent et laissent apparaître les ridules sur le front. N'fais pas ça, ça t'enlaidit, il a le sourire tout plein de dédain et la posture de celui qu'on ne peut pas faire flancher. Plus tu les fronces, plus les entailles s'inscrivent sur ton visage même quand il reste étrangement et faussement indifférent. S'approche, deux pas suffisent pour l'atteindre alors qu'elle reste à sa place, tentative de rester droite. T'étonne pas du fait que je préfère l'autre poissarde de mégère, elle, elle reste belle. Sûrement parce que l'égoïsme n'l'a pas rongé comme il l'a fait avec toi. Les mots sont coincés dans le fond de la gorge. L'insulter, l'accabler par tout ce qu'elle ressent à cet instant quand bien même il ne ferait que feindre le désintérêt. Malyen, elle n'a pas besoin de parler. Putain de sortilège informulé qu'elle peut lui lancer sans même desceller les lèvres nouées, quand bien même l'impact sera beaucoup moins puissant que si elle faisait tournoyer la baguette entre les phalanges qu'elle recroqueville dans sa paume, poing serré. N'ose pourtant pas. Peur de ne pas pouvoir revenir en arrière si elle pousse les choses trop loin. Si elle outrepasse une ligne pas si claire à laquelle il l'abandonnera sans la rejoindre de l'autre côté. Préfère prendre son manteau sans dire ne serait-ce qu'un mot, l'enfiler et passer le pas de la porte sans la claquer. Je crois avoir fait le tour Sache que tout un tas d'autres liens t'attendent patiemment compte tenu de l'importance de la famille dans le monde magique actuel grâce à la Gazette qu'ils dirigent, y a tellement matière à faire et à créer que ça va tout bonnement envoyer du lourd J'espère que tu céderas à la tentation, en tout cas, moi, de mon côté, j't'attends avec la masse de brownies tout chaud |
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