We burn our ennemies - Isobel

Décembre 1864. Naissance d’Isobel sur l’île de Skye, elle sera rapidement accompagnée d’une soeur qu’elle aimera dès son premier cri. 1875. première année à Poudlard, un caractère déjà bien forgé qui la conduira à Gryffondor bien qu’elle aurait également pu aller à Serdaigle. Elève studieuse elle est néanmoins connue pour avoir la langue pendue.. 1882. Fin de Poudlard, début d’une nouvelle aventure, elle se met en quête de voyages pour en apprendre toujours plus sur les dragons à travers le monde, elle intégrera également l’affaire familiale, devant dresseuse de dragon dans l’élevage des McGonagall.. Janvier 1883 Elle rencontre un moldu en écosse, Robert McGallaghan, prise d’un coup de foudre, il ne faudra pas longtemps aux deux amoureux pour consommer leur union encore jeune. Elle prendra alors la décision de lui cacher sa vraie nature, malgré les conseils de sa mère. 8 Juillet 1883 Naissance de Lysander alors que le ventre de Isobel est lui aussi arrondi, les deux soeurs partageront ensemble les joies de la maternité pour la première fois. Novembre 1883. Naissance de Marius, son fils, son soleil, persuadée d’avoir réussi a contrer la malédiction familiale, Robert toujours vivant et Marius désormais respire l’air écossais. mai 1884. Marius meurt suite aux complications d’une maladie infantile, Isobel est déchirée par le décès de son fils, si elle pratique les rites mortuaires moldus pour satisfaire Robert endeuillé, elle finira par récupérer la dépouille de son fils pour en disposer selon les traditions McGonagall, le dragon attribué à Marius a pris son envol, disparaissant dans le ciel écossais, Isobel ne s’est jamais remise de la mort de son fils. Octobre 1885 Isobel donne naissance à Minerva, sa fille, sa lune, l’amour de sa vie, elle chérira l’enfant et la couvrira de tout l’amour dont elle dispose. 1890 Minerva fait une démonstration de magie, Isobel s’attendant à ce que sa fille développe ses pouvoirs un peu plus tard se retrouve contrainte de tout révéler à Robert. Si le couple décide de rester ensemble pour leur fille, la révélation du secret a brisé quelque chose. Ils s’aiment d’un amour inconditionnel mais n’arrivent plus à se comprendre. 1891 Naissance de Léocadie, Isobel est présente lors de l’accouchement et le sera jusqu’à la fin. 1892 Décès de Robert, elle le retrouve victime d’une crise cardiaque lors de son retour d’un voyage. Coeur brisé par une malédiction qu’elle pensait avoir réussi à éviter, elle a pleuré le départ de son seul réel amour, mais s’est relevée pour prendre soin de sa fille, devenant une mère lionne, elle a refusé de se remarier, ravie de la fille que Robert lui avait laissée. 1908 Première publication de la rubrique féministe d’Isobel dans les colonnes du magazine Sorcière Hebdo Mars 1914 Elle apprends de Minerva et d’Albus la création de l’Ordre du Phénix, elle leur informe alors de sa décision de rester neutre dans la guerre qui se profile, n’hésitant pourtant pas a leur faire part de ses conseils ou de ses remarques. Pointant souvent du doigt leur impulsivité qui lui rappelle ses jeunes années. Avril 1914 Un fantôme du passé surgit alors qu’Isobel est en voyage, Minerva est attaquée par son amant du passé, Henry Potter, Ia lionne va alors lécher les blessures de sa fille, dardant sur l’ennemi un regard de glace. Il a osé s’approcher de sa chaire et son sang, elle lui ferait regretter d’avoir posé le pied chez Minerva. Juillet 1914 Nouvelle apparition du Potter dans sa vie, les interrogatoires terminés Isobel décide finalement de prendre position, rejoignant l’ordre du phénix elle y aura cependant un rôle secondaire, laissant sa fille et celui qu’elle considère son fils mener la danse, étant pour eux un pilier, un soutien infaillible, un bras armé.

Enfant elle vivait déjà les doigts griffant les pages cornées de divers manuels volés en douce dans la bibliothèque de sa mère. Perdue dans des mots souvent trop compliqués, dont elle allait ensuite chercher la signification, elle a toujours aimé lire, d’ailleurs il y a toujours un bouquin dans sa pochette ensorcelée pour n’avoir pas de fond. Elle aime se perdre dans des histoires différentes, tantôt moldues ou sorcière sans discrimination pour les talents des uns et des autres. Elle s’est plongée très tôt dans divers ouvrages féministes, se découvrant peu à peu une voix affranchie des obstacles placés par une patriarchie trop ancrée. Menant son combat à bras levé, elle a toujours cherché à faire ses preuves, prouver sa valeur. Elle a d’ailleurs montré à Poudlard des résultats plus qu’excellent, se retrouvant chez elle autant sur le terrain de quidditch en tant que Gardienne de l’équipe de Gryffondor, elle a également été capitaine durant ses deux dernières années à Poudlard, première capitaine de l’histoire de la maison. Ses examens ont toujours été un succès qui a su rendre fière sa mère qui gardait sur la jeune lionne un regard aimant et protecteur, tout en faisant en sorte de la laisser faire ses erreurs, leçon qu’elle a reproduit en élevant Minerva, puisque c’est là la force des McGonagall, grandissant entre soeurs, offrant au monde des individus à l’esprit vif et libre.

Toujours brillante lors des examens elle a remporté ses BUSES haut la main décrochant les notes suivantes

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C’est l’année de ses buses qu’elle a également commencé son entraînement afin de devenir Animagus, sous les conseils et enseignements avisés de sa mère, l’entraînement fut long et compliqué, pourtant elle s’y est jetée entièrement, ne désirant rien de plus que de pouvoir elle aussi développer ce don qui s’était installé comme tradition dans le clan des Amazones. Au fil du temps elle est parvenue à maîtriser sa transformation, une Lionne aux crocs acérés. Elle se plaît souvent à se balader sous forme animale pour couvrir des distances plus longues dans les plaines écossaises. On peut également la retrouver dans la réserve familiale, féline au milieu des dragons habitués à son odeur et sa présence, ne craignant jamais que les créatures se retournent vers celle qu’ils reconnaissent comme dresseuse. Si au fil des années elle était touchée par la fatigue de transformation trop longues, elle peut aujourd’hui se transformer à volontée et le temps qui lui plaît, des années de pratiques lui permettant d’achever ce petit miracle. Cependant avec l’âge, les instincts de l’animal se font plus violents, plus agressifs, et se reflètent aussi beaucoup plus clairement dans le caractère de la sorcière sous sa forme humaine. C’est Isobel qui a entraîné Minerva et Lysander a maîtriser leur animagus. Elle a profité de ces leçons pour renforcer son lien avec sa fille, les deux alliées devenant plus inséparables que jamais, il n’était pas rare de voir une lionne et une chatte tigrées endormies l’une contre l’autre face à la cheminée les nuits d’hiver ou d’orages écossais.

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Elle a fini Poudlard avec sur un grand boum, décrochant des Optimals à tous ses ASPICS sauf en Potion et Arithmancie où elle s’en sortira avec un Acceptable, ayant délaissé ces deux matières afin de se concentrer sur les autres. A sa sortie de Poudlard, on lui a proposé un poste d’Auror au ministère de la magie, cependant elle a décidé de se concentrer sur sa passion, les dragons. Elle a donc rejoint le refuge familial en tant que dresseuse de dragons, menant au parallèle de nombreuses recherches sur ces créatures trop souvent incomprises. A la mort de sa mère, elle a récupéré aux côtés de sa soeur les rennes de l’entreprise séculaire des McGonagall, cependant si sa soeur s’occupe de gérer le refuge Isobel a préféré se concentrer sur ses recherches, redoublant les voyages à travers le monde, l’emmenant à partager son savoir avec ceux qui le désiraient, menant de front des combats pour la protection des dragons et pour voir les barbaries infligées aux créatures ailées disparaître. Elle est par la suite reconnue comme l’une des plus grandes Dragonologiste d’Europe. Décrochant un poste de consultante dans la banque de Gringotts ainsi qu’au Ministère de la Magie. Son côté studieux et son envie de transmettre ses connaissance l’ont aussi poussée à apprendre plusieurs langues, cherchant à pouvoir se faire comprendre de tous les publics sans discrimination des classes sociales habituées à parler Anglais. Elle parle donc couramment le Français, l’Anglais, l’Italien, le Russe, le Norvégien et l’Espagnol. Elle parle aussi le gaélique écossais, fière de ses racines qu’elle ne pourrait jamais oublier.

Au fil des années, la jeune féministe au poing levé s’est rapidement transformée en une femme à la verve acérée. Friante de sarcasme et de joutes verbales elle est de ceux qui choisissent leurs mots avec soin, capable de captiver une foule lors de ses exposés ou séminaires. Elle porte aussi haut le combat des femmes dans la société sorcière, si elle peut être perçue comme autoritaire et agressive, elle le fait toujours avec une élégance parfaite, prenant soin de son apparence en tous lieux, elle sait que les yeux des hommes se posent sur ses courbes et utilise ses talents pour en faire ce qu’elle désire. Elle a d’ailleurs décidé de se lancer dans des colonnes féministes dans le magazine sorcière hebdo, si elle écrit principalement pour le plaisir, elle cherche aussi à dresser le portrait de sorcière aux caractères forts et ambitions brillantes. Cherchant à montrer au monde que les Sorcière méritent tout autant d’attention que les hommes. Elle peut parfois se montrer passionnée sur le sujet, ne supportant l’injustice ou l’inégalité. Elle n’a pas honte d’accuser le Ministère de faire perdurer une tradition élitiste et machiste. Il lui arrive parfois de perdre son sang-froid est alors elle crache sans aucune gêne des mots empoisonnés pour détruire l’égo de celui qui lui fait face.

En Mai 1914, Isobel a pris la décision de s’impliquer d’une nouvelle manière dans la lutte contre les inégalités infligées aux minorités par la société sorcière du 20 eme siècle. En effet, suite à l’effet explosif de l’article de sa fille sur Henry Potter, article dont elle était particulièrement fière - secrètement elle avait même célébré l’humiliation de cet amant du passé -. Cependant, lorsqu’Henry a attaqué Minerva, la Lionne était prête à aller le tuer sur le champ pour avoir osé toucher sa fille, Minerva l’en a empêché. Elle a alors décidé de se lancer dans l’ouverture d’un ouvrage critique, dénonçant les abus du Ministère de la Magie et de la société sorcière envers les femmes, les homosexuels, les hybrides et les né-moldus. Elle recueille pour se faire des témoignages de personnes touchées par ce sujet ainsi que de détracteurs, désireuse de rendre un bouquin neutre et suffisamment rempli pour qu’il ne puisse être démonté par des voix qui se lèveront sans aucun doute lors de sa publication. Elle n’a toujours pas décidé cependant si cet ouvrage sera publié anonymement, comme celui de sa mère, ou si son nom apparaîtra en lettres dorées pour rire au nez de ceux qui cherchent a la faire taire.

Lorsqu’elle travaille, la lionne a souvent un style assez sobre, elle a rapidement laissé les robes cintrées de côté pour mettre des pantalons, habituée à en avoir lorsqu’elle travaille avec les dragons. Elle porte cependant souvent des talons, des vestes cintrées et des chemises laissant apparaître légèrement son décolleté. Ses cheveux coiffés en dreadlocks fines sont souvent ramassés dans un chignon tenu par une broche faite en griffe de dragon. Elle porte des bijoux représentant la passion de sa famille. Elle entretient son style et son image, légèrement provocative comme à son habitude. Cela lui assure le regard et l’attention des hommes, quand bien même c’est pour lui jeter des regards mauvais.



Depuis gamine on lui a appris à aimer son corps, a vivre libérée sans craindre le regard des gens. Des conseil qu’elle a toujours pris soin de vivre. Ayant grandit entourée de femmes fortes au caractère bien trempé, elle a tout récupéré comme une éponge, arrivant à Poudlard non pas comme une enfant mais déjà comme une guerrière au coeur brûlant de briser les stéréotypes et les attentes d’une société à laquelle elle ne correspondait pas. Elle n’avait cependant aucune gêne à l’ouvrir quand il fallait et ne se laissait jamais diminuer. Cependant l’époque était différente, encore moins ouverte que maintenant, son côté sauvage lui a valu de nombreuses retenues et tête à tête avec le directeur de l’école.

C’est aussi Poudlard qui a été témoin de son émancipation. Elle a toujours été joueuse et séductrice, découvrant ce pouvoir qu’elle avait sur ses pairs, de quelques clins d’oeils de biche aux crachats embrasés et violents qui parfois plaisent tout autant. Elle était de ces jeunes filles à part, qui pouvait sans craindre se rouler dans la boue ou récurer les fientes des oiseaux à la Volière et le soir même être la plus féminine et douce des fleurs du château. Elle n’a pas tenu très longtemps les idées d’abstinence qui faisaient rage à l’époque, censée attendre le mariage pour goûter aux plaisirs de la vie, très peu pour elle, non elle voulait découvrir toutes les saveurs que le monde avait à lui offrir. Et elle secouait ses tresses fines à coup de sourires et de clins d’oeils, à coup de soupirs et de murmures enjôleurs. Elle s’est vite rendue compte que son coeur ne battait pas que pour les hommes, mais qu’elle se sentait aussi bien dans les bras féminins, quand bien même les jeunes filles prêtes à passer le peu ne courraient pas les rues. Elle a d’ailleurs accepté ça sans vraiment y réfléchir, élevée par une mère qui a publié un livre sur la vie sexuelle des femmes, bouquin qu’elle a toujours gardé et transmis par la même occasion a sa fille, elle a toujours disposé de secrets légers, rendant les nuits passées à ses côtés toujours plus enflammées. N’hésitant pas à tenter de nouvelles choses, de nouvelles expériences, toujours bousculer la bienséance et les frontières tangibles de la morale.

L'affaire Henry - tw -18 relations sexuelles:

Ce ne sera qu’après la mort de Robert qu’elle ne s’envolera de nouveau de  bras en bras, de bars en bars. Elle était de ces femmes libérées, veuve mais indépendante. Jurant de ne plus jamais se marier. Elle a vécu certaines amourettes de quelques jours, certaines fois c’était une nuit et ça se répétait plusieurs fois. Elle avait appris à faire ses propres potions contraceptive avec le temps (1). Elle ne souhaitait pas retomber enceinte, encore touchée par la mort de Marius, elle ne voulait pas risquer d’avoir un nouveau fils, persuadée qu’une nouvelle perte due à la malédiction familiale la tuerait. Elle a aussi voyagé dans les bras des femmes, plus les années passaient plus certaines s’offraient à la nuit et aux plaisirs passionnés. Elle n’était pas regardante, parfois même se laissait aller à séduire des moldus, toujours sulfureuse, charmeuse, séductrice. Elle dansait dans les soirées huppées du monde sorcier, distribuant sourires et clins d’oeils à tour de bras. Elle avait toujours sû se présenter à la foule, des habits toujours particuliers qui captent l’attention, ses robes étaient souvent couvertes par endroit d’écailles de dragons, parfois même elle portait des tissus enchantés. N’hésitant pas à utiliser ses courbes pour capter les attentions, féminine et féline. Dans ces soirées elle était bien différente de celle qu’elle était lorsqu’elle travaillait.

Si elle est de celles qui se laissent aller aux pulsions séductive, elle peut sortir les griffes lorsqu’on menace son indépendance. C’est ce qu’elle chérie plus que tout, elle ne veut plus être vue comme une épouse ou comme une femme qui a besoin d’un homme pour s’assumer. Elle le fait très bien seule, aussi elle ne supporte pas les hommes au tempérament machistes. Se faisant un devoir de les remettre à leur place, bien que si elle souhaite goûter aux délices de leurs corps, elle jouera le jeu pour mieux les briser.

(1) Les potions contraceptives utilisées par Isobel sont des variantes plus efficaces que celles que l’on peut trouver. La recette de la potion lui a été donnée par sa mère, bien que prévenant sa fille du risque d’une utilisation trop régulière. Isobel est maintenant stérile, elle le sait depuis déjà 10 ans, alors qu'elle se plaignait de douleur abdominale ayant été vue par un médicomage. Elle n’en parle pas, n’est pas gênée par cela. Elle n’a plus voulu d’enfant après la naissance de Minerva. Distribuant son amour de lionne vers d’autres gamins recueillis.

S’il y a une chose que Isobel a toujours porté dans son coeur, y consacrant chacune de ses actions, chacune de ses décisions, il s’agit bien de sa famille, de ce clan constitué d’âmes pures et guerrière. Les Amazones avaient fondé leur propre coin de paradis dans l’île de Skye, régies par des traditions particulières, les dresseuses de dragon ont toujours tenu a faire perdurer leurs coutumes anciennes. Elles sont souvent surnommées les Amazones d’Ecosse, et quelque part, ce nom n’est pas volé, en effet elles savent toutes qu’il est possible de remonter leur lignée aux Amazone du Dahomey, ces guerrières entraînées par leur roi au XVIIIème siècle pour devenir ses gardes du corps. Il est dit que l’une d’entre elle s’est retrouvée sur l’île de Skye, s’attachant a l’endroit elle y a planté la graine sur laquelle poussera l’histoire des McGonagall. Dresseuses de Dragons. La famille McGonagall peut être confondue avec une sororité tant elle est presque majoritairement composée de femmes qui se considèrent comme des égales. Il n’est pas rare que les époux des McGonagall acceptent de prendre le nom de leurs épouses afin de faire perdurer la lignée. Cependant la famille est frappée d’une légendaire malédiction, les croyances veulent que les fils de la lignée McGonagall soient maudits, condamnés à mourir prématuréments, maris et fils sans distinctions. Et si aujourd’hui la croyance s’est érodée, dans le coeur d’Isobel elle brûle encore de vérité, parce qu’elle veut y croire parce que c’est la seule explication au fait que son fils lui ait été retiré, que son mari lui ait été volé. Pourtant elle ne peut s’empêcher d’observer Lysander, le garçon qui a survécu, le premier depuis bien longtemps, ce garçon qu’elle aime comme son fils, qui n’est né que quelques mois avant celui qui a jailli de ses entrailles. Elle sait que Minerva s’intéresse a la malédiction, elle a donc décidé d’aider sa fille à briser le sort.

+ Elora McGonagall - La matriarche

Elora a été pour Isobel plus qu’une mère, elle a été une soeur, une meilleure amie, une confidente, un soutien sans faille. Isobel a beaucoup appris de sa mère, c’est d’elle qu’elle tire sa force de caractère, elle a toujours admiré la femme qui avait élevé seule deux puissantes sorcières. Toujours les plaçant en avant, se sacrifiant corps et âmes, griffes et crocs sortis de celle qui prenait la forme d’un puma, pour protéger ses deux filles. Elora a donné naissance à Isobel en premier, puis quelques années plus tard elle a donné naissance à une deuxième fille, ses deux trésors, ses deux diamants d’une pureté bien rare. Deux déesses au caractère enflammé, n’hésitant pas à montrer des dents quand il fallait. Elle les avait élevé comme on élève une lionne, leur a appris à assumer leur condition de femme, a en faire une arme, à marcher sur les plates bandes de la patriarchie. Ne jamais hésiter à hausser le ton, à parler plus fort, à assumer ses idées. Elle a toujours été force d’inspiration et une oreille attentive pour Isobel, dispensant ses conseils avec la sagesse d’une mère, utilisant des mots que parfois elle n’avait compris que lorsqu’elle les avait répétés à Minerva au fil des années. Elora était aussi de celles qui vous apprenait à assumer vos erreurs, c’était de ça qu’on apprenait, qu’on forgeait le caractère et le coeur, n’hésitant pas a user de poison et de venin, elle était parfois sévère, la verve tranchante, sarcastique au possible. Elle souhaitait également que ses filles apprennent a assumer la responsabilité de leurs actions, chose qu’Isobel avait appris très tôt. Féministe des premières heures, la madone était une guerrière féroce, brisant les modèles attendus d’une femme dans ses années, elle avait vécu une vie heureuse et emplie de rires et de folies. Si elle était une dragonologiste reconnue, elle a également laissé derrière elle une marque, un livre, 50 nuances draconniennes, publié anonymement, elle a cependant signé quelques exemplaires qu’elle a distribué aux membres de sa famille. Le bouquin contient différents conseils sur le plaisir féminin, sans tabou ni retenue, sur la dernière page figurent la liste des amants d’Elora ainsi que des notes.
Elora est morte en 1904 à l’âge de 65 ans des suites d’une chute du dos de son dragon. Si Isobel et sa soeur ont tout tenté pour réanimer leur mère, elles n’ont pas pu la sauver. Cependant, elles n’ont jamais connu de deuil, la matriarche ayant pris la décision de rester dans la demeure écossaise, hantant les lieux de son fantôme. Isobel apprécie énormément pouvoir toujours converser avec sa mère, consciente du sacrifice fait par l’esprit maternel en tournant le dos à l’après vie. Elle prodigue toujours à Isobel les conseils qui avaient aidé la sorcière à mener sa vie jusqu’à maintenant. Cependant Isobel a rapidement appris a maîtriser le sortilège d’Electoplasmus, lui permettant de se débarrasser de sa mère lorsque celle ci devenait trop envahissante, la bannissant d’une pièce temporairement. Toujours avec un sourire joueur sur les lèvres. Le dragon d’Elora n’a jamais quitté les terres de la réserve, se baladant souvent au dessus des maisons McGonagall

Elora est le fantôme de la maison McGonagall, douée d’un sarcasme et d’une franchise hors du commun, il n’est pas rare de voir Isobel s’emporter sur le fantôme de sa mère en pleine partie d’échec version sorcier.

+ Robert McGonagall (né McGallaghan) - Mari


Robert a été l’amour de la vie d’Isobel, elle n’avait pas bien compris comment c’était arrivé, alors qu’elle se baladait dans un village moldu de l’île de skye, elle avait croisé le regard de ce jeune homme. Il n’avait pas fallu longtemps, que quelques mots, quelques sourires, ce garçon moldu impressionné par la jeune femme en pantalons qui marchait à l’allure rapide la tête haute et le regard droit, bottes en cuir, gants épais sur les mains, chapeau en paille sur la tête. Elle avait ce genre de beautés étrange qui attirent, qui envoûtent et il était tombé dans ses bras, elle dans les siens. Elle ne s’était pas posé beaucoup de question, elle ne savait pas ce qu’était l’amour, mais elle savait qu’elle voulait finir ses journées à ses côtés, et commencer les matinés sous son regard aimant. Cependant ils venaient de deux mondes différents, Isobel a passé de nombreuses heures à converser avec sa mère et sa soeur, pesant le pour et le contre, mais finalement l’amour a eu raison du bon sens, elle ne pouvait pas vivre sans lui, pas a l’époque, pas quand le myocarde s’emballait trop fort, trop vite, trop passionnément. Elle pris la décision la plus difficile de sa vie, cachant son secret, elle ne lui avouera pas sa vraie nature, la gardant cachée au fil des jours qui devinrent semaines et moi, puis au final un ventre arrondi, et une femme comblée, brillante de bonheur, le coeur débordant, la lionne se sentait vivre, pensant avoir vaincu le monde, elle mettait au monde un fils, un guerrier, un combattant, mais le guerrier était fatigué, trop fragile pour ce monde, lui glissant entre les doigts. Et les parents avaient pleuré, pourtant cette tragédie avait rapproché le couple, elle l’aimait toujours de toute son âme, et Robert avait été absolument admirable suite à la mort de Marius, toujours disposé à être l’épaule sur laquelle sa femme avait besoin de pleurer la mort d’un fils, mais les larmes si toujours présentent finirent par se faire plus rares, alors que le ventre s’arrondissait de nouveau. Minerva fut la meilleure chose qui puisse arriver au couple, Isobel ravie de donner naissance à une fille. Soudant le couple plus que jamais, un duo formidable dans l’éducation de cette boule d’énergie qu’était leur fille. Et si Isobel savait que Minerva allait tôt ou tard montrer des signes de magie, elle s’attendait à avoir quelques années devant elle, c’était sans côté sur la précocité de Mina, a 4 ans, elle a fait léviter un gâteau, l’écrasant sur la face d’un garçon qui avait décidé de la prendre pour cible, pour la première fois de leur histoire la sorcière avait tiré sa baguette devant son mari, oubliettant le gamin avant de saisir la main de sa fille pour calmer la gamine qui n’avait pas totalement compris ce qu’elle avait fait. Elle avait finalement tout avoué a Robert, sa vraie nature, son métier, et même sa forme animale. Après quelques heures de silence dues au choc, Robert avait annoncé a sa femme qu’il l’aimait toujours du même amour, et si les premiers jours Isobel n’avait pas remarqué de différence, plus le temps passait, plus un fossé se creusait entre eux, s’aimant toujours autant, leur couple avait été marqué par ce secret trop lourd, ce mensonge trop dangereux. Deux ans après la révélation, Isobel a retrouvé le corps sans vie de son mari, déchirée par la perte, elle avait alors décidé de lui offrir des funérailles digne d’un McGonagall, son dragon Arviax avait allumé le feu qui avait arraché son mari des griffes de cette vie.

Isobel n’a jamais cessé d’aimer Robert, aujourd’hui encore elle assume les sentiments encore brûlants pour ce mari disparu, cependant elle ne s’est pas enterrée dans un veuvage long et complexe, reprenant le cours de sa vie, suffisamment indépendante pour pouvoir vivre sans son allié

+ Marius McGonagall - Le fils

Fils premier né, un bonheur entre les mains d’une mère qui était tombée folle amoureuse de son fils dès le premier cri poussé par ce dernier, encore secouée par l’accouchement, elle avait posé le gamin sur son sein, éprouvant pour la première fois la chaleur d’un amour nouveau, un de ceux qu’on ne peut expliquer tant qu’on ne l’a pas vécu. Son lionceau, son soleil, son rayon de bonheur, elle lui a donné tout l’amour qu’une mère pouvait donner, mais le lionceau était trop fragile, affaibli par un destin mauvais, par une malédiction qu’elle pensait avoir réussi à déjouer. Le gamin est tombé malade a deux mois, Isobel lui a concentré toutes ses nuits et ses journées, s’attachant à l’espoir de pouvoir guérir le garçon, pourtant elle savait au fond, elle le sentait, et il n’y a rien de pire que de se lever le matin en se demandant si ça y est, s’il était parti, s’il avait perdu la bataille qu’il menait en guerrier. Puis un jour s’était arrivé, alors que la mère s’affairait à mettre en place un petit déjeuner pour Robert, quelques secondes d’inattention, elle avait senti un pincement dans son coeur, elle avait senti un frisson dans sa nuque, instinct animal qu’elle ne connaissait que trop bien, elle savait alors, elle savait qu’il était parti, retrouvant le corps sans vie de Marius dans son berceau, les McGonagall racontent que le cri poussé par Isobel avait brisé le ciel. Elle n’avait jamais réussi à expliquer ce qui s’était passé dans sa tête a ce moment là, quand elle avait serré le corps sans vie de son fils entre ses bras, elle n’avait jamais pu expliquer que son coeur n’avait jamais guéri, ouvert en plaie béante, infectée d’un amour trop grand pour un enfant trop petit. Marius n’a jamais quitté l’esprit de sa mère, il l’accompagne chaque jours. Robert a également été détruit par la mort de Marius, il voulait lui offrir des funérailles moldues, et par respect pour le besoin de son mari de faire son deuil elle a acceptait de l’enterrer. Cependant, le soir même, ne pouvant dormir, elle a récupéré la dépouille de son fils, lui offrant un rite digne d’un McGonagall, le dragon lié à Marius n’était qu’un dragonneau a peine sorti de l’oeuf, il s’est envolé à la mort du garçon pour ne plus jamais revenir, c’est le dragon d’Isobel qui a allumé le brasier funéraire. Image gravée malgré le voile de larme devant les yeux, elle l’a gardée au creu de son âme, devenant ainsi son épouvantard.

Minerva McGonagall - La fille

Sa force, sa flamme, son chaton. Minerva est la seconde plus belle chose arrivée a Isobel, lorsqu’elle a donné naissance à sa fille, elle s’est promise de lui donner tout l’amour que son coeur pouvait encore fabriquer. Refusant de tomber enceinte, ne voulant pas avoir un nouveau fils à enterrer, persuadée que cette fois elle n’y survivrai pas, et elle ne pouvait pas accepter l’idée que Minerva traverse la douleur qu’elle avait connu au départ de Marius. Minerva était de ces gamines qui passaient leur temps à sourire, des sourires tantôt espiègles et joueurs, tantôt purs et débordant d’un bonheur contagieux. Isobel avait toujours posé un regard admirateur sur sa fille, même enfant elle voyait déjà dans les yeux de Minerva la flamme des esprits brûlants des McGonagall. Quand bien même elle avait gardé sa vraie nature secrète à Robert, elle s’était promise d’élever Minerva selon les coutumes des McGonagall, désireuse de faire de sa fille une Amazone a l’image de ses ancêtres. Elora avait d’ailleurs déclaré à la naissance de Minerva qu’elle ferait de grandes choses, qu’elle aurait le pouvoir de changer le monde, et Isobel y avait cru au moment même où elle avait posé le nourrisson contre sa peau. Redécouvrant la chaleur de l’amour maternel, Isobel n’a pas honte de dire que Minerva a été celle qui a sauvé la vie de la lionne, lui donnant une nouvelle raison de s’accrocher après le départ de Marius. Elle avait regardé sa fille avec attention, cherchant le moindre signe de preuve de magie, voulant absolument que Robert découvre le secret le plus tard possible. Cependant Mina était destinée a être une brillante sorcière, si Isobel pensait pouvoir attendre quelques années, a 4 ans Mina a fait preuve de sa première démonstration de magie. i Isobel avait été surprise par la précocité de sa fille, elle avait été fière de voir la gamine de 4 ans tenir tête a un garçon qui la harcelait, si elle avait vu le jeu du gamin, Isobel était de ces mères qui depuis le plus jeune âge tenait a laisser sa fille faire ses erreurs, prendre ses propres décisions, elle élèverait une guerrière.

Cependant la révélation du secret a mis à mal la relation des deux époux, Isobel l’avait bien vite compris, mais l’amour qu’ils ressentaient l’un pour l’autre n’avait pas changé, ils se contentaient simplement de le donner à Minerva a défaut de pouvoir continuer à se le donner entre eux. A la mort de Robert, Isobel a fait la promesse de ne plus se remarier, de ne plus enfanter, de concentrer ses instincts maternels sur sa fille. Elle a instauré avec Mina une relation fusionnelle, si bien qu’elles pouvaient se faire passer pour deux soeurs sans problème. Elle était la lionne qui défendait sa fille lorsque cette dernière faisait preuve à Poudlard de la même véhémence que sa mère pour défendre les droits des opprimés. Arrachant à la dresseuse de dragons des sourires fiers. Ravie d’avoir apporté dans ce monde une nouvelle femme forte aux idées bien tranchées qui n’hésitait pas à les faire respecter. Elle lui a également transmis l’histoire de leur familles, de leurs ancêtres, mettant également un point d’or à l’introduire à la culture haïtienne de son père, quand bien même elle n’en maîtrisait pas les subtilités, elle en savait suffisamment pour que Minerva puisse se sentir proche de Robert même si ce dernier n’était pas là.

C’est Isobel qui a entraîné Minerva à devenir animagus, ravie de l’apparence féline de sa fille, elle s’est même parfois surprise à lui envier la forme de chatte, plus passe partout que celle de Lionne. L’entraînement de Minerva avait été long comme le sien, ponctué parfois de dispute lorsque la jeune sorcière était frustrée de ne pas avancer, alors qu’Isobel voyait elle les progrès qui échappaient à l’autre. A cette époque là, il n’était pas rare de voir Minerva, Lysander et Isobel sous leur forme animal traversant la réserve aux côtés des dragons, si ces derniers pouvaient parfois être surpris par les deux jeunes sorciers, ils s’étaient habitués à la présence de la lionne, ne dérangeant pas les gamins sous risque d’être reçu par un sortilège de conjonctivite. Isobel était connue parmis les siens pour souvent se balader sous forme animale, à travers le terrain des McGonagall et également dans la maison, habitude qu’elle a transmis à Minerva. De nombreuses fois la lionne s’était endormie devant l’âtre chaleureux, se réveillant les bras entourant le corps de sa fille, la serrant contre elle.

Mina a toujours été une fierté pour Isobel, chaque jours un peu plus, la mère regardait doucement sa fille se transformer en femme puissante et assumée. Restant toujours un soutien inébranlable, elle n’a jamais tenté de diriger la vie de sa fille, la laissant faire ses erreurs, se perdre parfois dans des relations trop dangereuses, goûter aux plaisirs de la vie et aux plaisirs de l’amour, tentant parfois de cacher les choses à sa mère sans vraiment y arriver, Isobel avait toujours été perspicace et savait parfaitement quand sa fille avait quelque chose à lui cacher, bien que ne lui arrachant pas de réponse, respectant trop l’intimité de la demoiselle pour ça. Persuadée que chacun avait droit a son jardin secret. Ainsi elle avait été présente lors des fiançailles de sa fille avec Ephraïm Webster, si le jeune homme était particulièrement agréable, Isobel savait qu’il n’était pas celui qui rendrait sa fille heureuse, ses agates se tournant plutôt sur le jeune Abelforth Dumbledore qui n’osait assumer ses émotions sous le regard amusé de la matriarche, elle le voyait à la manière que le jeune homme avait de regarder Minerva, il avait dans ses yeux une étincelle qui lui rappelait celle qu’elle avait vue dans les yeux de Robert.

Isobel avait toujours voulu protéger sa fille, pourtant elle savait que pour se faire elle ne pouvait l’entourer d’un cocon, non Minerva allait souffrir, quand bien même Isobel voulait l’empêcher elle ne pouvait tout contrôler, et Minerva avait fini par connaître le même deuil que sa mère, Ephraïm arraché trop tôt des bras de la sorcière. Isobel avait évidemment aidé sa fille à prendre en main les funérailles du sorcier, s’il n’était pas encore McGonagall, Isobel avait accepté sans hésitation de le considérer comme tel, permettant à Minerva de faire reposer sa dépouille aux côtés des autres McGonagall que l’enfer leur avait arraché. Isobel avait alors servi d’épaule pour sa fille, la couvrant de caresses, de baisers, et surtout lui apprenant l’une des leçons les plus importantes. Que la douleur ne partira pas, qu’elle resterait, qu’elle serait insupportable, mais qu’avec le temps, sans même s’en apercevoir, elle deviendrait murmure, toujours là en étant de moins en moins douloureuse, jusqu’à ce que le monde ne lui fasse croiser le chemin d’un nouvel amour, et alors elle ira mieux, et alors elle retrouvera l’espoir qu’elle a perdu dans le dernier soupir d’Ephraïm.

Heureusement, Isobel n’était pas seule pour entourer Minerva, elle pouvait compter sur sa soeur et les cousins de Mina pour l’entourer et la soutenir. Ainsi que sur sa marraine, Artemisia Scamander et celui qui avait rapidement pris le visage d’une influence paternelle pour la jeune chatte, Alphard. Artemisia a toujours été une très chère amie d’Isobel, quand elle était petite, c’était la McGonagall qui allait souvent chez ces voisins pour baby-sitter la jeune fille. Devenant amies, confidentes, alliées, guerrières, sous des relents gaéliques écossais qu’elles maîtrisaient et utilisaient pour discuter, elle racontait à la gamine des histoires sur les dragons, sur les amazones. Artemisia avait été une évidence lorsque Isobel avait choisi la marraine de Minerva, choix qu’elle n’a jamais regretté, sachant bien que les Scamander protégeraient sa fille comme si elle était la leur.

Afin de laisser Minerva vivre son deuil selon ses conditions, c’est Isobel qui s’est chargée d’annuler le mariage. Après avoir surpris Minerva en bras de fer avec un fleuriste refusant de lui rembourser les dépenses. Evidemment, Isobel était rentrée le soir même avec l’argent du fleuriste, accompagné d’une vingtaine de bouquets de géraniums de différentes variétées. Les fleurs préférées de sa fille, arrachant au chaton un léger sourire avant qu’elle ne vienne cracher ses larmes et sa haine dans le cou de sa mère sous les caresses légères du bout des doigts alors que cette dernière avait dû faire un stock incroyable de sorbet de Tayberry, finissant au final par apprendre a le faire elle-même.

Ces derniers mois, Isobel a été forcée d’accepter le fait que sa fille n’était plus une enfant mais bel et bien une femme forte et puissante. Bien qu’il est toujours difficile pour une mère de se détacher du passé; le clan McGonagall avait cet avantage de considérer chacuns de ses membres comme égaux de l’autre. Quand bien même Isobel n’hésite pas a se montrer toujours ferme avec sa fille si besoin. Cependant, lorsque Minerva lui a annoncé la création de l’Ordre du Phénix, Isobel a refusé de la suivre dans l’aventure, rappelant à Minerva que le secret que l’ordre voulait conserver était ce qui avait arraché son père de ses bras, de plus, Isobel était persuadée qu’il y avait d’autres moyens que la force pour renverser le gouvernement dangereux et instable de Grindelwald. Cependant, suite aux derniers évènements ayant frappé Londres, et particulièrement les attaques continues dont sa fille était la cible, elle a décidé de se joindre au combat, la lionne rugissant bruyamment, bras armé d’une révolution. Si elle sert de conseillère à sa fille, celui qu’elle considère comme son fils, et l’homme qu’elle admire, Flamel, elle refuse cependant d’être dans les prises de décision, c’est à la nouvelle génération de se battre pour son futur, elle se contente d’être là quand on a besoin d’elle.

Lysander et Léocadie - Neveu et Nièce:

Albus, Abelforth et Ariana Dumbledore - Foster kids:

Dresseuse de dragon avant tout, c’est écrit dans son sang, marqué dans sa chaire sous la forme d’une rune de feu se trouvant sur son épaule droite. Elle est fière de son héritage familial, une passion réelle pour les reptiles puissants parmis lesquels elle a grandit. Elle est reine dans le domaine, reconnue par delà les frontières d’Albion pour ses connaissances en la matière. Femme de terrain, elle n’a jamais hésité à relever les manches et s’occuper elle même de ses animaux. Pantalon en cuir, bottes hautes, gants en cuir de dragon couverts d’écailles, débardeur recouvert d’une veste en cuir noire. Accompagnée le plus souvent de son propre dragon, celui qui lui a été confiée à sa naissance, la bête était déjà adulte mais n’avait jamais été attribué à une sorcière. Son tempérament de feu avait été compliqué à maîtriser et les McGonagall n’osaient pas l’attribuer a un nouveau-né. Pourtant les deux entités ont développé une relation fusionnelle. Arviax est un Noir des Hébrides aussi écossais qu’elle, l’animal mesure 6 mètres 50 mais n’a pas encore fini sa croissance. Les écailles d’Arviax sont noires, comme tout dragon des Hébrides il est reconnaissable par ses ailes de chauve souris, les yeux d’un violet brillant.

Arviax:

La sorcière est aussi redoutable avec sa baguette, baguette faite sur mesure sous les demandes maternelles, l’arme est puissante, mais la sorcière qui la manie l’est tout autant. Habituée aux duels depuis ses années de Poudlard, elle a continué de s’entraîner après l’école, utilisant aussi parfois la magie pour contrôler les dragons. Cependant, depuis enfant sa magie a été reconnue pour réagir à ses émotions. Il lui arrive encore parfois, lors d’émotions trop fortes si elle tient sa baguette en main de faire exploser des objets sans vraiment le vouloir.

Elle est tout aussi dangereuse quand il s’agit de stratégie, brillante joueuse de poker, elle passe le plus clair de ses soirées au Casino des Umbridge lorsqu’elle est à Londres. Elle a toujours joué aux cartes, c’est sa mère qui lui a appris et elle a transmis quelques uns de ses secrets a Minerva, jouant souvent avec la jeune fille au cours de son adolescence. S’il lui arrive souvent de laisser Mina gagner, sur une vraie table elle est impitoyable, n’hésitant pas à bluffer à sa guise, rodée par des années de pratique et d’observation. Elle est également très douée aux échecs version sorcier, elle y joue toujours avec sa mère parfois lorsqu’elle est en Ecosse.

Isobel n’a jamais vraiment haï quelqu’un, les personnes qui ne lui plaisent pas ou ne l’intéresse pas ne restent jamais très longtemps dans sa vie pour qu’elle n’en vienne à les haïr, pourtant il y en a un qui a su prendre cette place dans le coeur de la Lionne. Si elle pensait l’épisode Henry Potter passé, elle le voit maintenant revenir a la charge. Prenant sa fille pour cible, après que Minerva ai publié un article sur la sacro-sainte personne du sang-pur, révélant ses penchants tordus et sa manie de traiter les femmes comme des objets. Manie qui avait toujours dégoûté Isobel, quand bien même elle avait laissé le jeune homme qu’il était goûter à sa chaire. Ce qui était passion n’est aujourd’hui qu’une haine profonde. Elle veut voir Henry payer, parce qu’il a osé toucher aux siens, Minerva, Artemisia. Et il paiera, cependant, elle a promis à sa fille de ne pas aller elle même planter ses crocs dans la jugulaire du Potter. Et elle tiendra sa promesse, en revanche, elle a aussi ses plans pour l’homme, elle veut le détruire comme il a tenté de détruire sa fille, et à sa manière, elle y arrivera, comme elle avait déjà réussi à l’époque, où le cerf avait été humilié par la lionne.

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