l'invisible (Rickon)

12 mai 1897: Naissance de Rickon Potter au manoir de Pré-au-lard, deuxième fils de Scylla Potter et Faust Potter, frère cadet d’Icare Potter
15 juillet 1905: Lors de vacances chez Henry Potter, Rickon tente d’intégrer le cercle de ses cousins, décidant de les suivre dans une partie de quidditch, il tombe de son balais, c’est Antarès Black son cousin qui lui sauve la vie
1908: Première année à Poudlard, choixpeau flou entre Serpentard et Serdaigle il suit les pas de sa mère chez les bleu et or. Il rejoint directement le club de potion.
1911: Au cours de sa quatrième année, suite à une dispute avec Icare a propos des sélections de quidditch auxquelles le gamin ne s’était pas présenté, il va se réfugier dans la bibliothèque, découvrant la réserve et des grimoires sur la magie noir qu’il volera pour étudier. - Début des crises de paralysies du sommeil et apnée du sommeil.
1912:Il tombe sur des ouvrages traitant de la légilimencie, il entreprendra des recherches sur le sujet.
1913: Il pense être amoureux, caché dans les couloirs d'un manoir pendant les vacances de Noël une réception de sang-purs à laquelle il a été convié, il a trouvé cavalier pour cette soirée, quelques baisers se perdent, et l’autre tente d’aller plus loin, les doigts sous le tissu, il le repousse mais l’autre insiste. Les baisers ne lui plaisent pas et ça commence a aller trop loin, on entends pas les non qui se répètent. Crucio pour se défaire de l’agresseur. Première mise en pratique de la magie noire.
Avril 1914: Les yeux se posent sur les gros titres, attaque de l’arène, le gamin est encore à Poudlard et contacte sa mère pour avoir des nouvelles.
Juin 1914: Poudlard terminé, ASPIC décrochées haut la main, il se lance directement dans ses études de médicomagie, usant de l’avance gagnée grâce aux enseignements maternels. Il commence également a apprendre la legilimencie, passant de théorie a pratique.
Juillet 1914: Témoin d’une dispute entre Faust et Scylla, terrifié par le père, le gamin tente de son mieux d’aider sa mère. Le lien déjà fragile se brise. Rickon envisage de suivre les conseils d’Henry et d’entraîner sa mère avec lui. - Puisqu’il était à Poudlard lors de l’attaque de l'arène, il n’a pas été interrogé.
Fin Août 1914: Il surprend sa mère recouvrir une cicatrice qu’il reconnaît bien rapidement, les symptômes sont là, tout prends enfin place dans sa tête. Il ne sait pas trop comment il doit réagir, il aime sa mère, et soudainement toutes les histoires sur les hybrides n’ont plus d’importance, il faut la sauver. Il décide de s’atteler en secret à des recherches sur une potion pour soigner la lycanthropie.

Echec au Roi

Alors, monsieur, madame
J'l'avoue, j'suis malheureux
Et pourtant je vis de mon rêve de morveux
Mais c'est plus fort que moi
Il me manque encore ça
Ça et ça là-bas
Toujours plus, j'suis comme ça
Loic Nottet

Tes yeux rivés sur le plateau, ton visage bien trop sérieux pour les quinze années que tu trimballes sur ton dos encore fragile. Le silence à peine perturbé par le léger bruit du cigare aux lèvres du titan. plus que quelques secondes l’horloge tourne et ton cerveau carbure plus que jamais, une sensation bien étrange alors que tes lèvres s’ouvrent légèrement. ”Cavalier en E7” La pièce se déplace, le cavalier prends sa courses et tes yeux s’éclairent. ”Echec et mat” Ta voix est un souffle elle s’échappe pour remplacer la moue sérieuse par un sourire enfantin. Après tant d’années à t’acharner, tu agrippes la victoire sous les yeux étonnés de l’Oncle. Il crache la fumée de son cigare, à son habitude, rictus léger au bord des lèvres. Et toi tu souris comme un gosse, parce que y’a cette étincelles dans ses yeux, alors que son neveu lui prends sa couronne pour quelques secondes, dans l’intimité de leurs rencontres. Lui que tu dois éblouir, lui qui guide tes pas bien plus que ton propre père, il parle et tu écoutes, tu apprends, parce qu’il t’offre tellement plus, qu’il fera de toi celui que tu désires devenir, nourrissant des ambitions qui ont souvent été tenues secrètes, partageant des idées que tu n’oses même pas articuler. Et il t’intrigues le titan, il t’impressionne. Alors la partie recommence, encore et encore, et il t’apprends ce que tu dois savoir, nourris ta curiosité et tes idées noires. Et cette promesse secrète, que grâce à lui, un jour tu seras plus fort que ton frère, un jour, Icare tomberait comme le roi, brisé sur l’échiquier. ”Joues quelque chose veux-tu” Le sourire sur les lèvres, le gamin se dirige vers le piano, les doigts qui volent doucement sur les touches, la musique qui s’élève, tu t’amuses a changer parfois quelques notes, quelques accords qui arracheront sûrement des grimaces à l’autre, parfois des soupirs. Et parfois c’était quatre mains sur le clavier, la mélodie qui s’envolait doucement. Un lien fort, une symbiose bien étrange entre le neveu et son oncle, l’aigle observe le cerfs, il l’admire. Et plus le temps place, plus tu le laisses te glisser des paroles intriguantes, alléchantes, des idées des visions bien particulière de cette vie que tu pourrais saisir, de ce nom que tu pourrais redorer, rejoindre les Potter que ton père avait trahis, parce qu’avec lui c’est plus simple, les mots viennent plus facilement, les idées se retrouvent, les ténèbres aussi.

Cain et Abel

Ange plein de bonté,connaissez-vous la haine,
Les poings crispés dans l'ombre et les larmes de fiel,
Quand la vengeance bat son infernal rappel,
Et de nos facultés se fait le capitaine?
Ange plein de beauté,connaissez-vous la haine?
Baudelaire

Tu le regardes, tu remarques les ressemblances, pourtant ce n’est qu’un étranger, et tes poings se resserrent quand il entre dans la pièce, rictus sur les lèvres tremblantes de colère. Vous n’arrivez jamais à vous entendre, trop différents, trop déchirés. Le lion face à l’aigle. Les mots sont durs et tu ne t’y habitues jamais vraiment, quand bien même cette scène a lieu trop souvent. Elle est toujours nouvelle, toujours une nouvelle phrase qui réveille le monstre en toi. ”Tu n’es qu’un lâche Rick !” Et toi tu fonds sur la proie, l’aigle dont les serres deviennent des poings, tu pousses tu cries, tu tente de faire tomber le Prince, celui qui ne perds jamais une occasion de te rappeler qu’il est bien meilleur, qu’il est plus fort, baguette à la main ou non. Il te mets au sol, te pousses dans tes retranchements, vaincu encore une fois, tentative fratricide tuée dans l’oeuf sans doute pour le meilleur. Pourtant chaque entrevue aggrave la chose, le lien du sang se fait poison. Dans tes yeux c’est des larmes qui se mêlent au venin. ”T’auras beau essayer tu ne gagneras jamais, tu ne seras jamais assez fort” Et le lion rugit quand ses crocs se plantent dans ta chaire, tu t’envoles, tu l’évites, tu cherches a te mettre en sécurité, et pourtant tu te promets de lui faire ravaler sa fierté, de briser sa confiance en lui. Le préféré. Le bon fils. Le guerrier. Tu le détestes, tu aimerais le voir disparaître, parfois tu te perds a le cracher a son visage, il ne mérite pas ce nom, il t'as volé l'attention du père, il a volé la force, il brille trop, plus que toi, et quoi que tu fasses tu n'arrives pas a te démarquer, toujours le second, jamais assez, jamais aussi bien que le premier.

Au nom du père

Tu tiendras, dans tes mains,
l'héritage iconique d'Apollon
Et comme tous les garçons,
tu courras de ballons en champion
Et deviendras mon petit héro historique
Eddy de pretto

Au début il y avait eu le bonheur, les yeux encore gamin, qui se posaient sur le héros de tous les mythes. Tu l’admirais, tu l’admires toujours a ta manière. Et pourtant le bonheur s’est échappé au fil du temps.

Il est là, proche sous tes yeux discrets, toi le gamin qui ne parle pas beaucoup, qui reste silencieux, dans son coin, le nez plongé dans des bouquins. Tu l’observes pourtant, sans vraiment le comprendre. Lui qui a l’air de ne pas vraiment être là, distance qui s’est creusée au fil des années, des incompréhensions, de l’âme d’un fils qui ressemble peut-être un peu trop à la mère, moins que le premier, le vrai guerrier. Les indices légers d’un mensonge que tu as créé de toute pièce, dans ton esprit souvent embrumé par la fatigue. Tu l’aime, tu le sais, tu le sens, tu n’essaies pas de te convaincre du contraire, ce serait perdre ton temps. Ce que tu ignores c’est que lui aussi t’aime. De là où tu es pourtant tu le vois couvrir l’autre frère d’attentions, les quelques phrases que tu captes de travers sans t’en rendre compte qui te confortent dans l’idée que tu ne seras jamais au même rang qu’Icare dans le coeur du Paternel déchiré. Alors tu t’enfuies, petit a petit, peut-être pour te protéger, toujours pour prouver que toi aussi tu peux briller. Ce besoin de reconnaissance, transpirant l’insécurité par tous les pores. Et peut-être qu’il suffirait de mettre les mots sur les émotions que tu ne comprends pas, mais les mots tu ne les trouve pas, et lui non plus ne les trouve pas. Alors tu t’échappes de son emprise, sans vraiment combattre, tu traces ton chemin, tu évites de regarder derrière pour ne pas souffrir. Et puis il avait laissé s’échapper la bête. Tu avais vu la main se lever mais tu avais été pétrifié par la vision, parce que tu l’avais vu dans tous ses états, mais jamais encore tu n’avais aperçu la violence qui débordait, et ça t’avais effrayé, alors tu n’avais pas réagis quand il avait franchi la limite, le bruit, la gifle, la mère qui se retrouvait au sol et le souffle qui se coupait, la gorge nouée. « Rickon, aide ta mère. » les mots qui font l’effet d’un choc électrique, le gamin qui tombe aux côtés de sa mère, ton corps encore chétif se fait protecteur, d’une aile tu la prend dans tes bras, tu te tais, parce que tu n’as pas l’habitude de parler, pourtant c’est un regard nouveau que tu ose lancer sur le père. le début de la chute les iris tremblant de colère, un voile trempé qui se glisse alors que la silhouette paternelle disparaît. Tu ne comprends pas ce qu’il s’est passé, tu ne l’apprendras que trop tard. Raphaêl, le traître, l’idiot qui n’avait jamais profité de ce que le monde lui avait offert. Raphaël le seul responsable. Tu te tais mais tu te ranges du côté d’Henry, encore une fois, tu suis le titan. Et Scylla encore sous le choc entre tes bras qui te recouvre des siens, qui tente de calmer, qui réconforte, qui aurait sûrement préféré que tu ne sois pas là, pourtant tu as vu, tu sais, et tu lui en veux, ça te bouffe et tu ne sais pas comment t’en débarrasser.

le serment d'hippocrate

As to diseases, make a habit of two things
— to help, or at least, to do no harm
Hippocrates

Ca avait commencé quand tu étais encore enfant, alors que tes doigts glissaient sur les pages de quelques grimoires que tu ne comprenais qu'à moitié, les images, les illustrations des plantes, de l’anatomie humaine, des sortilèges que tu rêvais déjà d’accomplir. Tu avais absorbé les idées, les informations, et ta mère t'avait aidé, t’apprenant peu à peu quelques bases, elle avait fait naître la flamme de la passion, et tu l’avais entretenu au fil des années. La baguette en était la preuve, le bois fait pour soigner, encore gamin et tu te voyais déjà destiné à quelque chose de grand. Poudlard t’as accueilli à bras ouvert, le gamin un peu étrange, un peu à part, suivant les pas de cette mère à laquelle tu ressemblais sûrement trop, Serdaigle, a deux doigts de finir à Serpentard. Mais Serdaigle te plaisait, tu te reconnaissais chez les aigles et tu en avais fait ton cocon, solitaire, la tête plantée dans des bouquins, tu te différenciais en tous points d’Icare et c’était sûrement là que votre relation avait été enterrée.

Tes doigts glissaient doucement sur divers ingrédients, un chaudron au contenu déjà bouillant, le bruit qui te calmait alors que tu te concentrais sur tes mesures. Avec la médicomagie, l’art des potions était ton deuxième talent, ton échappatoire, un moyen de tout évacuer, de ne plus penser à rien sinon les bruits habituels des ingrédients que tu travaillais. Tu avais commencé à t’y intéresser des les premiers jours à Poudlard, brillant dans cette matière, aujourd’hui encore tu ne peux t’empêcher de tenter de nouvelles potions, parfois risquant quelques catastrophes. Aujourd’hui, tu voues tes jours et tes nuits aux potions médicinales et a ton apprentissage en médicomagie. Tu es de ceux qui apprennent vite, et tu te donnes entièrement à ton art, plus qu’un métier c’est une passion, une ambition de faire la différence. Tu t’intéresse de près à l’anatomie humaine, espérant pouvoir devenir chirurgien médicomage. Tu imagines déjà parfois, en déambulant dans les couloirs de l’hôpital, ton nom en lettres dorées sur une des ailes de l’établissement. Pour quelque percée dans la médicomagie.

Je cherche magie noire

Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres;
Adieu, vive clarté de nos été trop courts !
J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres
Le bois retentissant sur le pavé des cours.
Baudelaire

Curiosité.
Intérêt.
Obsession.

Une pente glissante à laquelle tu n’étais pas préparé, pas toi, pas le fils de Faust Potter. Tu n’aurais probablement jamais dû t’y intéresser et pourtant tu t’y étais laissé tomber. Les livres que tu volais, kleptomane dans des heures perdues. Tu avais goûté à la théorie, et chaque jour un peu plus tu avais ressenti le besoin de t’y plonger. Signant un pacte dangereux, des connaissances auxquelles l’esprit n’était pas prêt. T’étais encore trop jeune, trop curieux, les crises avaient commencé à Poudlard. Le sommeil qui venait à manquer tant tu avais peur de fermer les yeux, te retrouvant bien trop souvent immobile, le souffle coupé, des ombres autour de toi. La panique, l’impression de mourir un peu plus chaque nuits. Et pourtant tu refuses de te rendre compte que les deux sont intimement reliés. La quête de pouvoir, de savoir bien trop grande. Tu t’y es essayé plusieurs fois, quelques sortilèges que tu ne connaissais pas, qui ont noirci un peu ton coeur et cerné tes yeux. Pour tes parents, ce ne sont que des terreurs nocturnes, ils ignorent tes penchants dangereux, tu sais bien les cacher, trop dangereux, trop peur de leur réaction s’ils le découvraient, pétrifié par l’idée de voir encore un peu plus de déception dans les yeux paternels. Pourtant tu sais que tu ne peux pas tout comprendre seul, gamin encore ignorant sur tellement de points. Alors encore une fois tu te tournes vers le seul qui comprendrait, qui comprendras ta curiosité, ton envie de savoir, de goûter à ce cadeau qui coulait dans tes veines. Pour atteindre de nouveaux sommets, toujours plus fort, plus puissant, pour prouver que toi aussi tu pouvais voler. Alors pour l’instant tu t’es contenté des livres volés a la réserve, des quelques parchemins poussiéreux qui tu avais eu du mal a saisir mais que tu avais étudié parce que c’était ce que tu faisais de mieux, étudier, rechercher, te perdre un peu plus dans ce monde qui t’appartenais, éclairé d’une bougie, les doigts tachés d’encre noire alors que la plume n’a de cesse de gratter.

C'était ton sourire maman

Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles...
Aucun fils ne sait vraiment que sa mère mourra
et tous les fils se fâchent et s'impatientent contre leurs mères,
les fous si tôt punis
Albert Cohen

Chaleur. Tendresse. Amour. Calme. Sécurité. C’était les bras maternels quand ils enlaçaient ton corps de gamin qui se débattait pour échapper à l’étreinte toi qui n’aimais pas trop qu’on te touche, elle y arrivait, elle avait la douceur qu’il fallait, et son odeur particulière qui se marquait sur ce gamin qui préférait bien souvent rester dans les jupes de sa mère plutôt que d’aller jouer avec les autres. Non toi tu étais le sien, son portrait, sa copie conforme. Des intérêts qui concordent. Pilier, château, empire, elle te faisais prince tout autant que le premier, elle montrait les mêmes caresses. Elle était celle qui restait près de toi la nuit depuis l’arrivée des crises, quand parfois elles se répétaient dans la même soirée et que tu tombais de fatigue. Elle était là, et ses caresses te le rappellent encore. Pourtant tu le vois dernièrement, tu remarques les quelques fatigues, les quelques vertiges, les cernes creusées, de plus en plus couvertes par la poudre qu’elle mettait face au grand miroir, les habitudes chamboulées, ce dimanche où elle n’avait pas passé de longues minutes dans son bain. Les quelques tremblements qu’elle voulait invisible mais que tu percevais malgré toi, parce que tu avais appris à l’observer, toi qui gardait les secrets, qui ne parlais pas beaucoup mais qui regardait qui apprenait. Pourtant tu avais gardé le silence, parce que si elle n’en parlait pas c’est qu’elle allait bien. Et t’as continué a observer, jusqu’à ce jour-là, quelques mois plus tard, alors que la famille semblait avoir trouvé une sorte de stabilité a nouveau, tout s'effondrait, où les cris du père avaient résonné. T’avais depuis ça décidé de la protéger, et tu veux savoir ce qu’elle cache, parce que tu sais qu’elle cache quelque chose, parce qu’elle est différente, et que leur relation n’a plus aucun sens. Les parents déchirés, toi le gamin tu tentes de t’accrocher à la barque de sauvetage, tu essaie de la tenir avec toi, pour savoir ce qui ne va pas. Après tout, tu vas devenir médicomage, donc si elle est malade, tu dois le savoir pour la soigner, pour qu’elle aille mieux, que les cernes disparaissent, que les tremblements se calment et que les sourires reviennent. Et c’était ce jour là aussi que tu avais décidé, décidé de la protéger elle, de la prendre avec toi, de la convaincre d’abandonner ce Potter là et ses idées dangereuses pour récupérer la protection de l’aîné. Et puis après juillet, c'était août, la chaleur, le soleil qui t'avais reveillé de bonne heure, a peine quelques heures de sommeils, les cernes encore trop marqués sur ton visage épuisé. Tu traversais le manoir, cherchant ta mère pour trouver un réconfort, un peu de repos dans ses bras comme d'habitude, et tes yeux se posaient sur elle, dans sa chambre, porte entrouverte, la poudre qu'elle appliquait sur une marque trop bien dessinée. Tremblement léger après quelques secondes le souffle coupé, le gamin qui filait. Tu t'enfermais, le cerveau marchant a cent à l'heure, et tout ce qu'on t'avais dit, tous les préjugés, les monstres, tout changeait. Parce que c'était ta mère, et que tu devais l'aider, tu n'avais pas attendu, te mettant secrètement au travail, recherche d'une potion, d'un sort, d'un soin.

Bric à brac

Passionné de médicomagie et de potions - Sujet à des paralysies du sommeil, pendant lesquelles il se retrouve immobilisé, pris d'hallucinations visuelles et auditives, elles peuvent durer plusieurs minutes pendant lesquelles il a l’impression d’être sur le point de mourir, les premières crises sont apparues au courant de sa quatrième année, après avoir découvert dans la réserve des grimoires traitant de la magie noire. Si les crises en elle même sont inoffensives, elles fragilisent l’état de santé général du gamin, manquant de sommeil, il ne dort que quelques heures par nuit, la plupart du temps effrayé de faire une nouvelle crise. - Préfet de Serdaigle en 6ème année et Préfet en chef en dernière année à Poudlard -  Pianiste, il s’amuse depuis petit à déchiffrer et retravailler les partitions, trouvant par là un moyen de laisser s’exprimer sa créativité. - Réservé, timide, solitaire, à poudlard il est du genre à raser les murs, le nez dans un bouquin, la majorité du temps libre dans la tour d'Astronomie en compagnie de la dame grise, il a du mal à gérer les conflits donc les éviter le plus possible, n’hésitant pas à mentir pour se sortir de mauvais pas, s’il a eu quelques amis, quelques aventures qui étaient plus que des amitiés, il n’a jamais été en couple, n’a jamais sû ce que c’était. - Manque de confiance en lui dans tous les domaines, sauf la médicomagie dans laquelle son égo est sûrement trop développé, le reste du temps il n’a de cesse de douter de ses décisions, préférant laisser quelqu’un d’autre les lui murmurer ou le conseiller, sans se rendre compte qu’il est alors facile à manipuler. Il cherche avant tout à être quelqu’un, a briller, à exister. - A bu une fois une bouteille de whisky pur feu seul pour savoir ce que ça faisait. Il a passé une nuit entière à vomir. Depuis il n’a plus osé toucher à de l’alcool. - Collectionneur de cartes Chocogrenouilles, et grand adepte de chocolat. Il en a toujours sur lui. - Petit mangeur, il passe le plus clair de son temps à jouer avec le contenu de son assiette, picorant simplement. (et se gavant de chocolat tout le reste de la journée) - Grand amateur de thé - Il a commencé à s'intéresser à la Legilimencie à Poudlard, il avait alors 15 ans, il a épluché plusieurs bouquins sur le sujet, c'est en quittant Poudlard qu'il a réussi a trouver un mentor pour lui enseigner cet art - Antarès Black l’a sauvé d’une chute en balais, lorsqu’il n’avait que 8 ans il avait voulu suivre ses grands cousins, n’étant pas doué dans les airs, il avait rapidement glissé et perdu le contrôle, Antarès avait usé de la magie sans baguette pour ralentir la chute et pouvoir le rattraper à temps. Depuis il a une aversion pour les hauteurs et les balais et une admiration sans faille pour ses cousins qu'il cherche a impressionner - Possède un Botruc qui est toujours dans sa poche.

Ta chocogrenouille se fait la malle ! Avant de transplaner, sache que tu es convié.e à participer à notre intrigue, aux rps communs et au rite de passage. il y a aussi la section du rappeltout pour les parrainages, les liens, l’évolution et les points, et à consulter les bottins pour te recenser officiellement dans ce sujet. Tu peux aussi flooder, et voter pour que ton groupe ait l'avantage à la prochaine intrigue. Je te laisse par la même occasion le 06 Discord du forum. Enfin, au besoin envoie un hibou à l'équipe. Ils aiment bien, ça leur passe le temps.